Inscriptions

Et si l'énergie était un bien commun ?
Les président-es des territoires co-organisateurs des Assises et de l’ADEME, échangeront autour de ce fil directeur, particulièrement résonnant dans un contexte international chaotique.
Ils vous présenteront leur vision politique de ce concept, ses intérets, ses limites, et l'illustreront par des projets politiques portés par les territoires.

Il y a 10 ans, l'Union de l'Energie était créée pour que "" les consommateurs de l’Union Européenne (ménages et entreprises) puissent disposer d'une énergie sûre, soutenable, compétitive et à des prix raisonnables.""
Quel bilan peut-on tirer 10 ans après? Comment s'opèrent les choix stratégiques en matière d'approvisionnement, de sécurité, de soutenabilité? Des experts de différents horizons débatteront de l'efficacité de la gouvernance européenne en matière énergétique, et des (r)évolutions à engager pour que l'énergie devienne un bien commun.

Faire de l'énergie un bien commun à l'échelle européenne nécessite de mutualiser des potentiels énergétiques, développer les connexions entre infrastructures, créer les conditions de la coopération.
Un tour d'horizon de différents projets de coopération énergétique entre territoires transfrontaliers révélera les difficultés, et les facteurs clés de succès, humains, politiques, techniques, financiers... Des témoignages éclairants et inspirants seront apportés par des collectivités territoriales et opérateurs énergétiques nationaux.
Enfin, le Danemark, pays à l'honneur de cette édition, présentera les moyens opérationnels déployés pour développer des coopérations énergétiques avec plusieurs états membres de l'Union Européenne.

Instauré par la loi d'accélération de la production d'énergies renouvelables, l'observatoire des énergies renouvelables et de la biodiversité a vu le jour en avril 2024.
Venez découvrir ce nouvel outil, ses objectifs, et ses premiers enseignements.Les experts, représentant le monde institutionnel, associatif et privé, échangeront autour des leviers pour préserver et concilier ces deux patrimoines communs. Des exemples concrets de solutions viendront illustrer les débats, notamment par des focus sur les filières hydroélectricité et éolien.

Les collectivités sont en première ligne pour accélérer la transition dans des secteurs stratégiques tels que les mobilités, l’aménagement du territoire et la rénovation énergétique des bâtiments. Atteindre la neutralité carbone en France nécessite des financements supplémentaires pour ces secteurs clés.

Dans le cadre de la publication du rapport « Plans de financement climat au niveau local », piloté par l’Institut de l’économie pour le climat (I4CE) et Bordeaux Métropole, en collaboration avec une dizaine de collectivités pilotes, dont la Ville et l’Eurométropole de Strasbourg, cette table ronde vise à partager les principales conclusions relatives aux leviers possibles de financement, et s'inspirer de politiques publiques d'autres pays européens.

La géothermie représente aujourd'hui environ 1% de la chaleur produite à partir d'énergies renouvelables en France. Le potentiel en géothermie profonde reste important et peu valorisé. Cette séquence est une véritable source d'inspiration pour comprendre les principes et les contraintes de mobilisation de cette ressource en sous-sol, à travers différents exemples, dans le bassin du Rhin supérieur, de part et d'autre des frontières.

Embarquez pour une journée inspirante dans l’Ortenau et explorez des solutions innovantes pour une énergie locale et durable. Au programme de cette excursion en bus : la visite du parc éolien du Langenhard (Lahr), d’un mur anti-bruit équipé de panneaux solaires par un collectif citoyen (Elgersweier), et de la plus grande centrale de chauffage solaire thermique dans le Sud du Bade (Ettenheim). Cette excursion sera l’occasion d’échanger avec des expert.e.s, de découvrir des bonnes pratiques et de tisser des liens pour de futurs projets transfrontaliers. Une belle opportunité pour s’inspirer et agir ensemble pour la transition énergétique !
Informations pratiques :
Toutes les visites seront traduites simultanément en français et en allemand.
Le départ est à 11h30, devant le Palais de la Musique et des Congrès (PMC). Un panier-repas est fourni par les organisateurs. Le bus sera de retour au PMC à 18h30.
Organisateurs : Eurodistrict Strasbourg-Ortenau et Ortenauer Energieagentur

Découvrez l'installation de méthanisation Methamusau à Oberschaeffolsheim, qui permet la production de biométhane injecté dans le réseau de distribution de gaz, par le traitement de déchets organiques : déchets verts et de cuisine issus des collectivités locales (bornes de collecte), déchets de l'industrie agroalimentaire, déchets agricoles. Les digestats sont valorisés en engrais naturels sur les parcelles agricoles et espaces verts.

Au cœur de la ville de Strasbourg, venez découvrir deux sites engagés pour la transition énergétique du territoire :

- Du chauffage à la mobilité, immersion dans l'avenir du gaz. Découvrez le pôle technique de R-GDS composé d'une plateforme de recherche R-Hyfie dédiée à l'innovation, l'expérimentation et la formation pour l'hydrogène, ainsi que le pôle mobilité durable multi énergies, équipée d'une station d'avitaillement hydrogène (bientôt alimentée en circuit court à partir d’une unité de production d’hydrogène vert sur site) et complétée par 4 pistes BioGNC et 2 pistes de recharge électrique (IRVE) ultra-rapides de 300 kW.

- Visite du nouveau groupe scolaire Krimmeri-Meinau mêlant rénovation du patrimoine ancien existant et nouvelles constructions. Ce projet, intégre également la trame verte, en visant un objectif de « biodiversité positive », valorise le patrimoine naturel existant, et développe de nouveaux îlots de fraicheur (espaces plantés et des potagers pédagogiques). En complement, le groupe scolaire sera alimenté par un réseau de chaleur et 120 m² de panneaux photovoltaïques avec un taux d’autoconsommation supérieur à 50%.

Venez découvrir deux installations photovoltaïque sur le territoire métropolitain.
La première, est l'installation sur le bassin de rétention d'eau de Vendenheim. Cette installation d'une puissance de 30 kWc, permet d'allier production d'électricité et protection du territoire contre les risques de crues.
La seconde, une installation agrivoltaique permet d'associer sur une même parcelle une production agricole à forte valeur ajoutée avec une production d'électricité verte. Située à Brumath, cette installation de 432 kWc permet de produire 464 MWh par an.

Découvrez le fabricant de panneaux photovoltaïques alsacien Voltec Solar : entreprise familiale locale et engagée, les modules sont fabriqués depuis 2010 dans l'usine à Dinsheim-sur-Bruche qui emploie 120 personnes.
L'objectif est la production d'1 million de panneaux photovoltaïques bas carbone par an.
La visite permettra de présenter toutes les étapes de fabrication des modules et de découvrir les dernières innovations.

Le programme « Métropole rafraîchissante », lancé en 2023, répond au besoin crucial d'adapter Bordeaux Métropole à la chaleur. L'atelier « programmer des territoires rafraichissants » explorera comment la métropole déploie une approche multi-échelle pour créer une "armature de fraîcheur" reliant oasis urbaines, parcours de fraîcheur et grandes destinations métropolitaines.

Lors de cet atelier interactif, les congressistes découvriront, par quelques cas d'usages, différentes situations pour programmer de nouveaux services publics de la fraîcheur :
- des outils de diagnostic et d'aide à la décision, notamment les Indices de Confort Thermique Urbain et de vulnérabilité sociale, qui ciblent les zones prioritaires et orientent les actions vers les populations les plus vulnérables.
- les moyens de déploiement variés à travers des exemples de réalisations et de projets illustrés (végétalisation, installation de fontaines et structures d'ombrage avec soutien aux communes, transformation des places en oasis, implication d'associations et citoyens grâce au budget participatif...).

Cette session participative, pensée comme une « boîte à ressources du confort thermique » abordera les défis et les succès d'une planification multi-acteurs pour renforcer le confort climatique des citoyens et contribuer à maintenir des territoires habitables pour toutes et tous.

La réduction du carbone incorporé dans les bâtiments est un défi majeur pour atteindre nos objectifs climatiques. Si la phase d'exploitation a déjà fait l'objet de nombreux progrès, l'aménagement, la construction, la démolition concentrent encore l'essentiel des émissions. Ces phases représentent jusqu'à 90 % de leur impact sur 50 ans. Réduire le carbone incorporé est donc un enjeu incontournable pour réussir la transition.
Avec le soutien de la Carbon Neutral Cities Alliance, nous avons mené une analyse approfondie aux côtés des métropoles de Bordeaux, Lille et Nantes. Objectif : comprendre les stratégies envisagées, identifier les obstacles concrets et mettre en lumière les leviers d'action. Ce travail a donné naissance à un livre blanc qui formule 25 recommandations pour accélérer la décarbonation du secteur.
Cet atelier sera un temps d'échange autour de ces enseignements : comment transformer les intentions en actions ? Quels outils concrets pour surmonter les blocages ? Comment renforcer la coopération entre collectivités et acteurs du bâtiment ? Nous profiterons aussi de cette rencontre pour poser les bases d'un groupe d'échanges entre collectivités, afin de partager expériences, bonnes pratiques et accélérer ensemble la transition vers un urbanisme bas carbone

Sécheresses, inondations, tensions sur les ressources, hausse des coûts des matières premières et de l'énergie...

Alors que La France doit se préparer à un réchauffement de +4°C d'ici 2100, le dérèglement climatique redéfinit dès aujourd'hui les règles du jeu économique dans de nombreux secteurs : BTP, industrie, agriculture, tourisme.

Déjà, plus d'un tiers des PME et ETI françaises ont été impactées par des aléas climatiques. Pourtant, les réflexes d'adaptation restent encore trop lents à se diffuser.

Face à ces défis, chaque entreprise doit élaborer sa propre trajectoire de résilience :

- Comment intégrer tous les enjeux - énergie, ressources, mobilité, production, biodiversité - dans une vision cohérente et actionnable ?

La Convention des Companies pour le Climat (CEC) accélère les dirigeants dans la transformation de leur modèle d'affaires vers l'économie régénérative, pour concilier performance et limites planétaires.

Découvrez les feuilles de route issues des parcours CEC, inspirez-vous des stratégies mises en oeuvre et venez découvrir comment la CEC pourrait aider vos organisations et vos territoires.

Au programme :
- Des témoignages d'Companies ayant déjà amorcé leur transition
- Des exemples de feuilles de route concrètes
- Un espace d'échange avec des alumni et contributeurs de la CEC Grand Est

- Dirigeants, financeurs, élus, acteurs économiques : explorez comment la transition écologique peut devenir un levier de résilience et de compétitivité.

Entre la vélo et la voiture, le champ des possibles est immense afin de répondre de manière plus adaptée à nos besoins de mobilité. Des véhicules moins lourds, plus réparables, plus économiques, moins énergivores et construit en France et Europe.
Faire 1000x mieux que la voiture au quotidien, c'est l'eXtrême Défi Mobilité de l'Ademe. Il passe par l'idéation, les prototypes, les expérimentations dans les territoires et l'industrialisation.

HY-FEN vise à développer une infrastructure de transport d'hydrogène vert reliant Fos-sur-Mer à Obergailbach à la frontière allemande. Ce projet connecte les bassins industriels français entre eux et à des projets de stockage d’hydrogène au sein des régions Sud, Occitanie, Auvergne-Rhône-Alpes, Bourgogne-Franche-Comté et Grand-Est. Il constitue le maillon français d’un large corridor reliant la péninsule ibérique, la France et l’Allemagne.

HY-FEN permettra la décarbonation des principaux bassins industriels sur son parcours en France et vers les pays adjacents, en particulier l'Allemagne. Il pourra servir aussi les différents usages mobilité. Ainsi, le projet sera un facteur clé pour l’essor d’un marché de l'hydrogène renouvelable et bas-carbone à l'échelle européenne.

Ce projet a été lauréat de l’appel à projet Connecting Europe Facility (CEF) en janvier 2025 et les études co-financées par l’Union européenne dans ce cadre permettront d’atteindre un niveau de maturité suffisant pour la prise des décisions d’investissement en vue d’une mise en service à horizon 2030. 

A Lyon, c'est une réalité : la transition écologique se fait main dans la main avec les jeunes ! Avec près d'un-e Lyonnais-e sur 5 âgé-e de 16 à 25 ans, il est apparu évident pour la Ville de Lyon que des dispositifs spécifiques devaient être mis en place pour sensibiliser, mobiliser, aider les jeunes à concrétiser leurs idées et valoriser leurs projets. Dépassant les obstacles juridiques, techniques et financiers, deux dispositifs innovants ont été mis en place en 2023 : la « Bourse Jeunes Lyon 2030 » et « Lyon 2030 : 1 Jeune dans ma structure pour la transition écologique et sociale ». Ils s'inscrivent dans le cadre de la démarche « Lyon 2030 : inspirons le changement », dont l'ambition est de faire de Lyon une ville neutre en carbone en 2030, et associent l'Agora Lyon 2030, collectif de 130 acteurs du territoire engagés au côté de la Ville dans l'atteinte de cet objectif. L'atelier proposé permettra de présenter ces deux dispositifs et la dynamique de mobilisation et d'accompagnement déployée à Lyon qui a déjà permis d'embarquer 150 jeunes. Un projet lauréat de l'édition de novembre 2024 de la Bourse Jeunes, viendra également témoigner sur le projet qu'ils ont imaginé et cours de création grâce à l'appui de la Ville : « Eaux-Vives», un documentaire artistique qui se questionne sur les enjeux de l'eau pour lier les rencontres avec les professionnels et avec les populations en lien avec les enjeux de l'eau avec des séquences dansées !

Venez découvrir l'outil EnR'Scope, mis en place par la ville et l'Eurométropole de Strasbourg. Ce collectif regroupe de nombreux partenaires locaux pour étudier les interactions entre les projets d'énergies renouvelables et leur environnement. Rappel du contexte local : le Schéma Directeur des Energies de l'Eurométropole de Strasbourg a été révisé en 2024 et fixe des objectifs très ambitieux de production d'énergies renouvelables pour 2050. Son élaboration a mobilisé le Conseil de développement et les associations, qui ont souligné l'importance de prendre en compte les impacts des installations de projets d'énergies renouvelables sur le territoire. Or, les impacts de long terme sont peu documentés ou peu connus. La dimension humaine est également essentielle, notamment sur le rapport au paysage, la prise en compte des usages et de la co-activité. EnR'Scope vise donc à partager les connaissances scientifiques et des données liées aux projets EnR dans le but d'améliorer la compréhension des effets « positifs » et « négatifs », d'identifier des mesures de mitigation et des « bonnes pratiques ». EnR'Scope instaure un cadre de dialogue afin de favoriser la compréhension des enjeux et le partage des points de vue. Si vous êtes intrigués par EnR'Scope, l'atelier proposé vous permettra d'en apprendre plus, et, pourquoi pas, d'associer votre structure à cette démarche innovante.

L'Observatoire de la performance énergétique du bâti tertiaire a été lancé en 2024 par l'Agence d'urbanisme de Strasbourg Rhin supérieur (Adeus) pour accompagner les territoires souhaitant favoriser la sobriété énergétique du secteur tertiaire. Sa création a notamment été impulsée par l'Eurométropole de Strasbourg, où le bâti tertiaire représente près de 30 % des consommations annuelles d'énergie du territoire, soit autant que les bâtiments résidentiels.
L'Observatoire a pour mission principale de mettre à disposition, pour un territoire donné, des indicateurs de connaissance et de suivi du parc de locaux à usage tertiaire, des dispositifs d'accompagnement dédiés et du marché de la rénovation énergétique. Il permet ainsi aux collectivités et aux acteurs engagés à leurs côtés d'échanger autour d'un diagnostic commun, de mieux cibler et coordonner leurs actions (en complémentarité avec l'application du décret Éco Énergie Tertiaire et de la plateforme OPERAT), et permettra à terme d'en mesurer les impacts. Après une expérimentation réussie à l'échelle de la métropole strasbourgeoise, il a vocation à s'étendre à d'autres territoires.
Coanimé par l'Adeus et l'Eurométropole de Strasbourg, cet atelier se déroulera en trois temps. Il permettra de comprendre les enjeux qui ont conduit à la création de l'Observatoire, les différentes étapes de sa construction, et mettra en lumière les premiers résultats obtenus en présence d'intervenants qui s'appuient aujourd'hui sur ses productions.

La micro-hydroélectricité est très peu connue aujourd'hui dans les stratégies de développement des énergies renouvelables à l'échelle très locale. Pourtant on sait produire de l'électricité à partir de la force hydraulique depuis plus de 100 ans.
L'association européenne Aqua ! promeut la valorisation et la modernisation des patrimoines de l'eau, notamment via la micro-hydroélectricité. Plusieurs milliers d'ouvrages hydrauliques existent et pourraient être équipés pour assurer une transition écologique des territoires. Des exemples existent dans plusieurs régions de France (et en Europe). Le projet européen RENEWAT porté par le Syndicat d'énergies de Haute-Vienne vise la réactivation de moulins anciens. Un panel de 6 projets de communautés d'énergie soutenus par le dispositif européen Citizen Led Renovation concerne des projets de micro hydroélectricité.
L'Ademe, notamment en Bourgogne Franche-Comté, développe des outils d'accompagnement de cette filière depuis plus de 10 ans. Des syndicats de rivière dans cette région pilotent des projets hydroélectriques. Aqua ! a également développé une formation sur la micro hydro cachée en partenariat avec le Cnam (Conservatoire des arts et métiers).
Cet atelier présentera donc des outils et retours d'expérience existants afin d'affirmer la place de cette filière au sein des mix énergétiques locaux.

L'atelier présentera comment le programme ACTEE CUBE aide les collectivités à réduire leur consommation énergétique grâce aux concours CUBE.Ecoles, CUBE.S et CUBE Ville. Ces concours, axés sur les usages et la sobriété énergétique, constituent une première marche vers l'atteinte des objectifs du dispositif Eco Energie Tertiaire.
Et cela fonctionne ! En accompagnant plus de 1400 bâtiments scolaires et 165 bâtiments publics communaux, le programme a permis de réaliser en moyenne 12 % d'économies d'énergie en un an. Au delà des économies d'énergie, ces challenges ont d'autres effets vertueux : amélioration des relations entre gestionnaires et utilisateurs, meilleure prise en compte du confort, changement des pratiques, éducation à l'énergie... En s'appuyant sur les sciences comportementales, l'accompagnement offert par ces challenges permet une responsabilisation et une implication des agents, enseignants, élèves, personnels techniques et d'entretien. De nombreux exemples seront donnés, ainsi que la présentation d'outils spécifiques.
La collectivité de Strasbourg expliquera pourquoi elle a choisi de s'engager dans ACTEE CUBE.Ecoles.
Les participant·e·s pourront poser toutes leurs questions et découvriront ainsi des solutions concrètes pour optimiser les usages énergétiques dans leurs bâtiments et engager les occupants et citoyens.

C'est en 2018 que la Métropole grenobloise a initié une expérimentation sur une zone d'activité, pour construire une offre d'accompagnement technique à destination des petites et moyennes Companies visant l'amélioration de la performance énergétique de leurs bâtiments et process.
Aujourd'hui, Mur Mur TPE PME est une des briques de la politique de soutien aux acteurs économiques, et propose aux TPE et PME une offre complète incluant un accompagnement technique gratuit de la SPL ALEC et de BE experts, et une aide aux travaux d'amélioration énergétique du bâti et des équipements.
Intervenants et formats d'accompagnement, actions d'amélioration préconisées et financées, profil et nombre d'Companies aidées, stratégie de mobilisation, retours d'expériences... venez découvrir ce dispositif et son ancrage territorial, soutenu par l'ADEME en 2024 dans une expérimentation régionale qui a permis d'inspirer le nouveau Pacte Companies national.

Avec l'outil négaMat, négaWatt scénarise les flux de matières pour mieux anticiper les contraintes techniques et socio-économiques de la transition énergétique.
Cette question prend une ampleur croissante à l'échelle locale. Les collectivités s'interrogent sur l'impact de la transition énergétique sur l'extractivisme, les risques de ruptures d'approvisionnement et la hausse possible des coûts des matériaux critiques indispensables à la transition. Elles jouent également un rôle stratégique en accompagnant la transformation des filières industrielles et en optimisant l'usage des ressources locales.
Cet atelier propose un éclairage unique : d'abord, une mise en contexte des dynamiques françaises et européennes, puis une présentation des conclusions clés de négaMat, enrichies par des échanges sur les perceptions actuelles des liens entre transition énergétique et gestion des matériaux.
Enfin, un temps de réflexion collectif permettra aux participants de partager leurs préoccupations, d'identifier des leviers d'action concrets, et de définir ensemble les meilleures pratiques pour une transition territoriale résiliente et durable.
Un moment de rencontre pour s'inspirer, échanger et bâtir des stratégies d'avenir pour nos territoires !

La coordination des dispositifs et des intervenants dans le parcours de sortie de la précarité énergétique des ménages est au coeur de la réussite de ce parcours. Pour autant, de nombreux obstacles demeurent pour fluidifier l'accompagnement de ces ménages, et notamment : des missions insuffisamment financées pour répondre à la complexité et à la variété des situations rencontrées ; la coexistence de nombreux dispositifs et une compréhension de leurs articulations qui peut devenir un vrai casse-tête pour les professionnels et les collectivités territoriales impliqués dans l'accompagnement de ces ménages... Venez découvrir les histoires de territoires qui ont fait le choix de déployer la palette des programmes CEE mobilisables sur le sujet de la précarité énergétique : Slime, Territoire Zéro Exclusion Énergétique et Bail Rénov'. La Métropole du Grand Lyon et la ville de Besançon expliciteront le contexte dans lequel ces programmes s'inscrivent sur leur territoire d'intervention, pour quoi et à quelles conditions ils ont pu être déployés localement et comment, dans leurs complémentarités, ils servent à renforcer la boite à outils locale en matière de lutte contre la précarité énergétique. Cet atelier sera également l'occasion d'échanger sur la manière dont ces programmes peuvent (et doivent !) être pensés en complémentarité avec les futurs Pactes territoriaux à partir de 2025, dans le but de soutenir et déployer dans les territoires une transition énergétique juste et solidaire.

Venez découvrir l'outil EnR'Scope, mis en place par la ville et l'Eurométropole de Strasbourg. Ce collectif regroupe de nombreux partenaires locaux pour étudier les interactions entre les projets d'énergies renouvelables et leur environnement. Rappel du contexte local : le Schéma Directeur des Energies de l'Eurométropole de Strasbourg a été révisé en 2024 et fixe des objectifs très ambitieux de production d'énergies renouvelables pour 2050. Son élaboration a mobilisé le Conseil de développement et les associations, qui ont souligné l'importance de prendre en compte les impacts des installations de projets d'énergies renouvelables sur le territoire. Or, les impacts de long terme sont peu documentés ou peu connus. La dimension humaine est également essentielle, notamment sur le rapport au paysage, la prise en compte des usages et de la co-activité. EnR'Scope vise donc à partager les connaissances scientifiques et des données liées aux projets EnR dans le but d'améliorer la compréhension des effets « positifs » et « négatifs », d'identifier des mesures de mitigation et des « bonnes pratiques ». EnR'Scope instaure un cadre de dialogue afin de favoriser la compréhension des enjeux et le partage des points de vue. Si vous êtes intrigués par EnR'Scope, l'atelier proposé vous permettra d'en apprendre plus, et, pourquoi pas, d'associer votre structure à cette démarche innovante.

La justice énergétique s'affirme comme un concept incontournable dans les débats contemporains autour de la transition énergétique. Au cœur de ce concept réside l'idée que les systèmes énergétiques ne sont pas seulement des ensembles techniques et économiques, mais qu'ils engagent également des enjeux profonds de justice sociale et environnementale. La justice énergétique permet de reconsidérer la distribution des bénéfices et des charges liées à l’énergie, ainsi que les enjeux de l’engagement citoyen, en se demandant qui gagne, qui perd (et pourquoi) dans les processus de production, de distribution, et de consommation d'énergie. Elle s’intéresse à la répartition équitable des bénéfices (comme l'accès à une énergie abordable) et des coûts (comme la pollution ou les risques industriels) entre différentes populations, à l'importance de processus décisionnels inclusifs et transparents, aux injustices historiques, à la reconnaissance des droits et des identités des différentes communautés et enfin, à la responsabilité partagée des nations et des individus face aux impacts environnementaux, sociaux systèmes énergétiques.

Cet atelier se veut explorer les traductions possibles du concept de justice énergétique en des méthodes et outils applicables sur des projets d’énergie renouvelable. Il consistera en (1) un atelier critique du cadre méthodologique de la justice énergétique qui (2) s’appliquera sur un cas concret étudié de développement d’un projet d’énergie renouvelable.

Le programme « Métropole rafraîchissante », lancé en 2023, répond au besoin crucial d'adapter Bordeaux Métropole à la chaleur. L'atelier « programmer des territoires rafraichissants » explorera comment la métropole déploie une approche multi-échelle pour créer une "armature de fraîcheur" reliant oasis urbaines, parcours de fraîcheur et grandes destinations métropolitaines.

Lors de cet atelier interactif, les congressistes découvriront, par quelques cas d'usages, différentes situations pour programmer de nouveaux services publics de la fraîcheur :
- des outils de diagnostic et d'aide à la décision, notamment les Indices de Confort Thermique Urbain et de vulnérabilité sociale, qui ciblent les zones prioritaires et orientent les actions vers les populations les plus vulnérables.
- les moyens de déploiement variés à travers des exemples de réalisations et de projets illustrés (végétalisation, installation de fontaines et structures d'ombrage avec soutien aux communes, transformation des places en oasis, implication d'associations et citoyens grâce au budget participatif...).

Cette session participative, pensée comme une « boîte à ressources du confort thermique » abordera les défis et les succès d'une planification multi-acteurs pour renforcer le confort climatique des citoyens et contribuer à maintenir des territoires habitables pour toutes et tous.

Sécheresses, inondations, tensions sur les ressources, hausse des coûts des matières premières et de l'énergie...

Alors que La France doit se préparer à un réchauffement de +4°C d'ici 2100, le dérèglement climatique redéfinit dès aujourd'hui les règles du jeu économique dans de nombreux secteurs : BTP, industrie, agriculture, tourisme.

Déjà, plus d'un tiers des PME et ETI françaises ont été impactées par des aléas climatiques. Pourtant, les réflexes d'adaptation restent encore trop lents à se diffuser.

Face à ces défis, chaque entreprise doit élaborer sa propre trajectoire de résilience :

- Comment intégrer tous les enjeux - énergie, ressources, mobilité, production, biodiversité - dans une vision cohérente et actionnable ?

La Convention des Companies pour le Climat (CEC) accélère les dirigeants dans la transformation de leur modèle d'affaires vers l'économie régénérative, pour concilier performance et limites planétaires.

Découvrez les feuilles de route issues des parcours CEC, inspirez-vous des stratégies mises en oeuvre et venez découvrir comment la CEC pourrait aider vos organisations et vos territoires.

Au programme :
- Des témoignages d'Companies ayant déjà amorcé leur transition
- Des exemples de feuilles de route concrètes
- Un espace d'échange avec des alumni et contributeurs de la CEC Grand Est

- Dirigeants, financeurs, élus, acteurs économiques : explorez comment la transition écologique peut devenir un levier de résilience et de compétitivité.

Entre la vélo et la voiture, le champ des possibles est immense afin de répondre de manière plus adaptée à nos besoins de mobilité. Des véhicules moins lourds, plus réparables, plus économiques, moins énergivores et construit en France et Europe.
Faire 1000x mieux que la voiture au quotidien, c'est l'eXtrême Défi Mobilité de l'Ademe. Il passe par l'idéation, les prototypes, les expérimentations dans les territoires et l'industrialisation.

HY-FEN vise à développer une infrastructure de transport d'hydrogène vert reliant Fos-sur-Mer à Obergailbach à la frontière allemande. Ce projet connecte les bassins industriels français entre eux et à des projets de stockage d’hydrogène au sein des régions Sud, Occitanie, Auvergne-Rhône-Alpes, Bourgogne-Franche-Comté et Grand-Est. Il constitue le maillon français d’un large corridor reliant la péninsule ibérique, la France et l’Allemagne.

HY-FEN permettra la décarbonation des principaux bassins industriels sur son parcours en France et vers les pays adjacents, en particulier l'Allemagne. Il pourra servir aussi les différents usages mobilité. Ainsi, le projet sera un facteur clé pour l’essor d’un marché de l'hydrogène renouvelable et bas-carbone à l'échelle européenne.

Ce projet a été lauréat de l’appel à projet Connecting Europe Facility (CEF) en janvier 2025 et les études co-financées par l’Union européenne dans ce cadre permettront d’atteindre un niveau de maturité suffisant pour la prise des décisions d’investissement en vue d’une mise en service à horizon 2030. 

A Lyon, c’est une réalité : la transition écologique se fait main dans la main avec les jeunes ! Avec près d’un-e Lyonnais-e sur 5 âgé-e de 16 à 25 ans, il est apparu évident pour la Ville de Lyon que des dispositifs spécifiques devaient être mis en place pour sensibiliser, mobiliser, aider les jeunes à concrétiser leurs idées et valoriser leurs projets. Dépassant les obstacles juridiques, techniques et financiers, deux dispositifs innovants ont été mis en place en 2023 : la « Bourse Jeunes Lyon 2030 » et « Lyon 2030 : 1 Jeune dans ma structure pour la transition écologique et sociale ». Ils s’inscrivent dans le cadre de la démarche « Lyon 2030 : inspirons le changement », dont l’ambition est de faire de Lyon une ville neutre en carbone en 2030, et associent l’Agora Lyon 2030, collectif de 130 acteurs du territoire engagés au côté de la Ville dans l’atteinte de cet objectif. L’atelier proposé permettra de présenter ces deux dispositifs et la dynamique de mobilisation et d’accompagnement déployée à Lyon qui a déjà permis d’embarquer 150 jeunes. Un projet lauréat de l’édition de novembre 2024 de la Bourse Jeunes, viendra également témoigner sur le projet qu’ils ont imaginé et cours de création grâce à l’appui de la Ville : « Eaux-Vives», un documentaire artistique qui se questionne sur les enjeux de l'eau pour lier les rencontres avec les professionnels et avec les populations en lien avec les enjeux de l'eau avec des séquences dansées !

Venez découvrir l'outil EnR'Scope, mis en place par la ville et l'Eurométropole de Strasbourg. Ce collectif regroupe de nombreux partenaires locaux pour étudier les interactions entre les projets d'énergies renouvelables et leur environnement. Rappel du contexte local : le Schéma Directeur des Energies de l'Eurométropole de Strasbourg a été révisé en 2024 et fixe des objectifs très ambitieux de production d'énergies renouvelables pour 2050. Son élaboration a mobilisé le Conseil de développement et les associations, qui ont souligné l'importance de prendre en compte les impacts des installations de projets d'énergies renouvelables sur le territoire. Or, les impacts de long terme sont peu documentés ou peu connus. La dimension humaine est également essentielle, notamment sur le rapport au paysage, la prise en compte des usages et de la co-activité. EnR'Scope vise donc à partager les connaissances scientifiques et des données liées aux projets EnR dans le but d'améliorer la compréhension des effets « positifs » et « négatifs », d'identifier des mesures de mitigation et des « bonnes pratiques ». EnR'Scope instaure un cadre de dialogue afin de favoriser la compréhension des enjeux et le partage des points de vue. Si vous êtes intrigués par EnR'Scope, l'atelier proposé vous permettra d'en apprendre plus, et, pourquoi pas, d'associer votre structure à cette démarche innovante.

La réduction du carbone incorporé dans les bâtiments est un défi majeur pour atteindre nos objectifs climatiques. Si la phase d'exploitation a déjà fait l'objet de nombreux progrès, l'aménagement, la construction, la démolition concentrent encore l'essentiel des émissions. Ces phases représentent jusqu'à 90 % de leur impact sur 50 ans. Réduire le carbone incorporé est donc un enjeu incontournable pour réussir la transition.
Avec le soutien de la Carbon Neutral Cities Alliance, nous avons mené une analyse approfondie aux côtés des métropoles de Bordeaux, Lille et Nantes. Objectif : comprendre les stratégies envisagées, identifier les obstacles concrets et mettre en lumière les leviers d'action. Ce travail a donné naissance à un livre blanc qui formule 25 recommandations pour accélérer la décarbonation du secteur.
Cet atelier sera un temps d'échange autour de ces enseignements : comment transformer les intentions en actions ? Quels outils concrets pour surmonter les blocages ? Comment renforcer la coopération entre collectivités et acteurs du bâtiment ? Nous profiterons aussi de cette rencontre pour poser les bases d'un groupe d'échanges entre collectivités, afin de partager expériences, bonnes pratiques et accélérer ensemble la transition vers un urbanisme bas carbone

Avec présence de Sylvain WASERMAN, Président de l’ADEME, Avec présence de Sylvain WASERMAN, Président de l’ADEME

Fun Réseau de Chaleur – Le serious game qui chauffe l’ambiance ! 🔥

Dans le cadre des Assises de l’Énergie, venez jouer à Fun Réseau de Chaleur, un serious game immersif et collaboratif où vous développez un réseau de chaleur bois-énergie sur un territoire fictif... mais plus réaliste qu’il n’y paraît ! 🎲🌿

En équipe, vous suivez toutes les étapes clés : repérage des bâtiments raccordables, conception du tracé, contractualisation avec les abonnés, calcul du coût de chaleur… Le tout pimenté par des cartes “événements” et un dé qui introduisent des coups du sort ou des opportunités inattendues : variation des prix du gaz ou du bois, retards administratifs, bonus de financement, etc.

Objectif : concevoir un réseau techniquement viable, économiquement équilibré et suffisamment attractif pour convaincre les usagers… tout en gardant le cap face aux aléas !

Un jeu pour comprendre, échanger, coopérer, et surtout… s’amuser autour d’un projet concret de transition énergétique.

La Fresque de la Précarité Énergétique est d’un atelier participatif inspiré de la fresque du climat, mais qui va au-delà : des causes, conséquences vers les solutions et les acteurs. L’outil est utilisé dans de nombreuses formations, et permet d’aider à comprendre les enjeux de la précarité énergétique, mais aussi de donner envie d’agir.

Un animateur guide jusqu’à 10 participants par atelier :
• Il distribue 5 lots de cartes consécutivement,
• pour chaque lot, les participants lisent les cartes aux autres puis viennent les placer sur la table
• à la fin de l’atelier, une fresque se dessine

Mode codev : les participants sont amenés à apporter des compléments et témoignages grâce à des cartes vierges.

Le programme « Métropole rafraîchissante », lancé en 2023, répond au besoin crucial d'adapter Bordeaux Métropole à la chaleur. L'atelier « programmer des territoires rafraichissants » explorera comment la métropole déploie une approche multi-échelle pour créer une "armature de fraîcheur" reliant oasis urbaines, parcours de fraîcheur et grandes destinations métropolitaines.

Lors de cet atelier interactif, les congressistes découvriront, par quelques cas d'usages, différentes situations pour programmer de nouveaux services publics de la fraîcheur :
- des outils de diagnostic et d'aide à la décision, notamment les Indices de Confort Thermique Urbain et de vulnérabilité sociale, qui ciblent les zones prioritaires et orientent les actions vers les populations les plus vulnérables.
- les moyens de déploiement variés à travers des exemples de réalisations et de projets illustrés (végétalisation, installation de fontaines et structures d'ombrage avec soutien aux communes, transformation des places en oasis, implication d'associations et citoyens grâce au budget participatif...).

Cette session participative, pensée comme une « boîte à ressources du confort thermique » abordera les défis et les succès d'une planification multi-acteurs pour renforcer le confort climatique des citoyens et contribuer à maintenir des territoires habitables pour toutes et tous.

La réduction du carbone incorporé dans les bâtiments est un défi majeur pour atteindre nos objectifs climatiques. Si la phase d'exploitation a déjà fait l'objet de nombreux progrès, l'aménagement, la construction, la démolition concentrent encore l'essentiel des émissions. Ces phases représentent jusqu'à 90 % de leur impact sur 50 ans. Réduire le carbone incorporé est donc un enjeu incontournable pour réussir la transition.
Avec le soutien de la Carbon Neutral Cities Alliance, nous avons mené une analyse approfondie aux côtés des métropoles de Bordeaux, Lille et Nantes. Objectif : comprendre les stratégies envisagées, identifier les obstacles concrets et mettre en lumière les leviers d'action. Ce travail a donné naissance à un livre blanc qui formule 25 recommandations pour accélérer la décarbonation du secteur.
Cet atelier sera un temps d'échange autour de ces enseignements : comment transformer les intentions en actions ? Quels outils concrets pour surmonter les blocages ? Comment renforcer la coopération entre collectivités et acteurs du bâtiment ? Nous profiterons aussi de cette rencontre pour poser les bases d'un groupe d'échanges entre collectivités, afin de partager expériences, bonnes pratiques et accélérer ensemble la transition vers un urbanisme bas carbone

Sécheresses, inondations, tensions sur les ressources, hausse des coûts des matières premières et de l'énergie...

Alors que La France doit se préparer à un réchauffement de +4°C d'ici 2100, le dérèglement climatique redéfinit dès aujourd'hui les règles du jeu économique dans de nombreux secteurs : BTP, industrie, agriculture, tourisme.

Déjà, plus d'un tiers des PME et ETI françaises ont été impactées par des aléas climatiques. Pourtant, les réflexes d'adaptation restent encore trop lents à se diffuser.

Face à ces défis, chaque entreprise doit élaborer sa propre trajectoire de résilience :

- Comment intégrer tous les enjeux - énergie, ressources, mobilité, production, biodiversité - dans une vision cohérente et actionnable ?

La Convention des Companies pour le Climat (CEC) accélère les dirigeants dans la transformation de leur modèle d'affaires vers l'économie régénérative, pour concilier performance et limites planétaires.

Découvrez les feuilles de route issues des parcours CEC, inspirez-vous des stratégies mises en oeuvre et venez découvrir comment la CEC pourrait aider vos organisations et vos territoires.

Au programme :
- Des témoignages d'Companies ayant déjà amorcé leur transition
- Des exemples de feuilles de route concrètes
- Un espace d'échange avec des alumni et contributeurs de la CEC Grand Est

- Dirigeants, financeurs, élus, acteurs économiques : explorez comment la transition écologique peut devenir un levier de résilience et de compétitivité.

Entre la vélo et la voiture, le champ des possibles est immense afin de répondre de manière plus adaptée à nos besoins de mobilité. Des véhicules moins lourds, plus réparables, plus économiques, moins énergivores et construit en France et Europe.
Faire 1000x mieux que la voiture au quotidien, c'est l'eXtrême Défi Mobilité de l'Ademe. Il passe par l'idéation, les prototypes, les expérimentations dans les territoires et l'industrialisation.

HY-FEN vise à développer une infrastructure de transport d'hydrogène vert reliant Fos-sur-Mer à Obergailbach à la frontière allemande. Ce projet connecte les bassins industriels français entre eux et à des projets de stockage d’hydrogène au sein des régions Sud, Occitanie, Auvergne-Rhône-Alpes, Bourgogne-Franche-Comté et Grand-Est. Il constitue le maillon français d’un large corridor reliant la péninsule ibérique, la France et l’Allemagne.

HY-FEN permettra la décarbonation des principaux bassins industriels sur son parcours en France et vers les pays adjacents, en particulier l'Allemagne. Il pourra servir aussi les différents usages mobilité. Ainsi, le projet sera un facteur clé pour l’essor d’un marché de l'hydrogène renouvelable et bas-carbone à l'échelle européenne.

Ce projet a été lauréat de l’appel à projet Connecting Europe Facility (CEF) en janvier 2025 et les études co-financées par l’Union européenne dans ce cadre permettront d’atteindre un niveau de maturité suffisant pour la prise des décisions d’investissement en vue d’une mise en service à horizon 2030. 

Venez découvrir l'outil EnR'Scope, mis en place par la ville et l'Eurométropole de Strasbourg. Ce collectif regroupe de nombreux partenaires locaux pour étudier les interactions entre les projets d'énergies renouvelables et leur environnement. Rappel du contexte local : le Schéma Directeur des Energies de l'Eurométropole de Strasbourg a été révisé en 2024 et fixe des objectifs très ambitieux de production d'énergies renouvelables pour 2050. Son élaboration a mobilisé le Conseil de développement et les associations, qui ont souligné l'importance de prendre en compte les impacts des installations de projets d'énergies renouvelables sur le territoire. Or, les impacts de long terme sont peu documentés ou peu connus. La dimension humaine est également essentielle, notamment sur le rapport au paysage, la prise en compte des usages et de la co-activité. EnR'Scope vise donc à partager les connaissances scientifiques et des données liées aux projets EnR dans le but d'améliorer la compréhension des effets « positifs » et « négatifs », d'identifier des mesures de mitigation et des « bonnes pratiques ». EnR'Scope instaure un cadre de dialogue afin de favoriser la compréhension des enjeux et le partage des points de vue. Si vous êtes intrigués par EnR'Scope, l'atelier proposé vous permettra d'en apprendre plus, et, pourquoi pas, d'associer votre structure à cette démarche innovante.

Incontournable pour la sécurité et le confort des habitants dans les espaces publics, l'éclairage doit cependant intégrer les enjeux de transition écologique et de sobriété énergétique. Lauréat du dispositif Lum'ACTE, le Territoire d'Energie Flandre a ainsi élaboré avec l'appui de l'Agence d'urbanisme Flandre Dunkerque et deux autres syndicats d'énergie (Cambrésis et Oise), un Schéma Directeur d'Aménagement Lumière. Notre atelier propose de définir et de découvrir les objectifs d'un tel outil et d'expliquer cette démarche, du diagnostic aux préconisations finales. Au sein de notre atelier, nous aborderons : - La méthodologie avec plusieurs phases de concertation notamment celle des spécialistes en mobilité, biodiversité et en éclairage ainsi que celle des élus des différentes communes, sans oublier les associations d'usagers à mobilité réduite. - Les grands enjeux identifiés dans la conception des aménagements lumineux, en abordant les préoccupations de sobriété énergétique, les impacts de la lumière sur la santé humaine et la biodiversité sans oublier la sécurité et le confort des déplacements. - Les recommandations des principes d'éclairage retenus en fonction des types de tissus urbains et ruraux. Nous vous invitons à découvrir cette démarche, élaborée grâce aux expertises complémentaires des syndicats d'énergie et d'une agence d'urbanisme, et qui intéressera tous les acteurs chargés de concevoir et de gérer des espaces publics et des infrastructures de mobilité.

Faires des économies d'énergie, c'est compliqué, ce sont de lourds investissement, ça fait râler nos salariés / occupants / usagers...
Le décret tertiaire ? c'est impossible à tenir, on n'est pas du tout sur la trajectoire...

Pourtant, 30% de l'énergie d'un bâtiment est gâchée en raison de mauvais usages !

Comment faire pour aller puiser dans ce vaste gisement d'économies d'énergie ? C'est ce que nous allons voir dans cet atelier en vous montrant comment des milliers de bâtiments réussissent chaque année à faire en moyenne plus de 15% d'économies d'énergie en rentrant dans le Championnat de France d'Economies d'Energie.

Près de 10 ans d'expérience que nous vous présenterons, on vous attend nombreux !

L’application de la loi AGEC de février 2020 est une réalité dans les territoires français, à l’image de l’obligation de tri à la source des biodéchets dès le 1er kilo depuis janvier 2024. Des élu(e)s sont désormais engagé(e)s dans la plupart des EPCI et les équipes techniques sont dotées de moyens pour agir en interne, et en coopérant avec les acteurs. Les politiques publiques en matière d’économie circulaire sont variées et concernent de nombreuses compétences de la collectivité : prévention, collecte et valorisation des déchets, achats responsables et éco-exemplarité, économie et filières locales, transition énergétique et écologique, incitations aux changements de comportements…
Cet atelier vous présentera plusieurs cas concrets en faisant le lien avec le référentiel national économie circulaire, du dispositif de labéllisation des Territoires Engagés Transition Écologique (TETE). Venez prendre connaissance de retours d’expérience en Grand Est, Auvergne Rhône-Alpes et dans le canton de Genève.
Le Réseau des plateformes de l’économie circulaire est une initiative du CIRIDD, soutenue par l’ADEME. Il propose des cartographies de +2000 initiatives, des espaces thématiques, recense des documents de référence et des outils. Il constitue également un réseau professionnel actif avec des contributions volontaires, propose l’accès à des annuaires d’acteurs et d’organisations, et à des communautés de travail en ligne.
Un réseau animé dans les régions de France et à l'international.

Découvrez le guide de la décarbonation élaboré par la SCET et Efficacity avec l’appui du CSTB. Ce guide propose des méthodes concrètes pour concevoir des projets d’aménagement sobres sur les plans énergie et carbone, en s’appuyant sur trois outils récents d’aide à la décision : UrbanPrint, EnergyMapper et PowerDIS. Illustré par des cas d’application à Paris, Toulouse et Auxerre, ce guide montre comment mesurer, optimiser et réduire l’empreinte énergie et carbone d’un projet.
Cette rencontre s’adresse aux collectivités, aménageurs, bureaux d’études, urbanistes, et à tous ceux qui souhaitent intégrer la sobriété énergie et carbone comme un enjeu prioritaire dans la conception de leurs projets.

Se connaître pour mieux se comprendre et agir ensemble : cet atelier vous permettra d'appréhender concrètement l'intérêt commun que peuvent avoir une collectivité territoriale, une organisation professionnelle locale du bâtiment, et un réseau de distribution, autour des objectifs de rénovation énergétique performante à l'échelle d'un territoire.
La Métropole Rouen Normandie vous propose de partager son expérience autour du cadre de dialogue mis en place avec les professionnels artisans adhérents de la CAPEB Seine-Maritime, et avec les enseignes de distribution du réseau Saint Gobain : Point P et CEDEO. En effet, la rénovation énergétique chez le particulier est souvent réalisée par des artisans locaux et/ou des TPME, clients des réseaux de distribution.

Nous partagerons les objectifs et vision commune qui nous ont poussés à nous rapprocher et les actions concrètes réalisées sur le terrain. Nous tenterons de répondre aux questions que vous pourriez vous poser :
- Quel alignement entre les stratégies respectives et la déclinaison interne et opérationnelle au sein de ces réseaux professionnels ?
- Quel cadre juridique et administratif permet des actions croisées public-privé ?
- Quel suivi mettre en place ? Quel rôle de l'espace conseil France Rénov' ?
- Quels écueils éviter ?
Nous insisterons sur la chaîne de confiance nécessaire pour rassurer les ménages dans leur parcours de rénovation. Cette chaine de confiance constitue un écosystème dont les acteurs sont indissociables.

Le développement des énergies renouvelables est au coeur des réflexions des collectivités, pour trouver des solutions de transition énergétique et pour répondre aux réglementations nationales. Mais comment s'emparer d'un tel sujet, demandant des connaissances précises et une stratégie territoriale, pas toujours évident à comprendre ? C'est dans ce contexte que Pays de Montbéliard Agglomération (PMA) engage un Appel à Manifestation d'Intérêt pour le développement de projets photovoltaïques, mutualisé avec ses communes membres volontaires, au sol, en ombrières, en toitures et sur plans d'eau.
Pour conduire ce projet une méthodologie inédite a été mise en place, de l'identification des sites communaux et intercommunaux potentiels, à leur classification selon leurs intérêts et différents critères. En parallèle et avec l'objectif de nourrir cette réflexion, un benchmark a été opéré auprès d'autres collectivités pour notamment anticiper les difficultés. De plus, la démarche de PMA se veut innovante par une phase de sourcing avec des opérateurs du secteur, permettant à la fois de monter en compétence, mais également d'assurer la réussite du projet.
La collectivité souhaite à l'occasion de ces Assises partager son expérience au travers de trois regards complémentaires sur le projet : Magali DUVERNOIS, Vice-Présidente en charge de l'environnement et de la transition écologique, Mickaël BERLOT, Secrétaire Général, et Noémie VIOVI chargée de mission transition territoriale et écologique.

L’engagement dès 2021 de la Ville de Marseille dans les « 100 villes neutres en carbone en 2030 » de la Commission européenne a donné l’impulsion pour structurer ses politiques et son administration vers l’atténuation et l’adaptation au changement climatique. Pour monter en charge, les services font appel à 3 leviers :
• Des créations de postes (en nombre limité) pour impulser les rénovations énergétiques, les stratégies de chaleur et d’électricité renouvelables, de désimperméabilisation, de fraicheur...
• Des financements européens (LIFE, Horizon Europe, BEI...) pour renforcer les équipes grâce à des contrats de projets ;
• L’évolution des postes existants en intégrant les enjeux de transition écologique dans toutes les directions : bâtiments, écoles, parcs et jardins, espace public, santé, logement, logistique…
De plus, les projets européens financent également des prestations et partenaires pour démultiplier l’action de la Ville, accélérer la mise en œuvre des ambitions climatiques à Marseille et consolider sur le territoire un réseau d’acteurs de la transition : associations, entreprises, organismes publics…

À l'approche d'un nouveau mandat, les chargés de mission jouent un rôle clé dans l'accompagnement des élus et la structuration des projets territoriaux. Cet atelier vise à leur fournir des outils concrets pour faciliter le dialogue avec les élus, monter en compétence, s'inspirer des bonnes pratiques et organiser efficacement la mise en oeuvre des actions au sein des collectivités.
Quels sont les objectifs de l'atelier ?
- Mieux communiquer avec les élus et en interne : adapter son discours, identifier les attentes, construire une relation de confiance.
- Renforcer ses compétences : développer des arguments solides, gagner en expertise sur les enjeux territoriaux.
- Trouver l'inspiration et s'appuyer sur les retours d'expérience : où chercher des exemples concrets et comment les valoriser ?
- Aider à construire une vision politique et stratégique : structurer une feuille de route en lien avec les priorités du mandat.
- Faciliter l'organisation et la mise en oeuvre des actions : définir les étapes clés, mobiliser les ressources et piloter les projets efficacement

En réponse aux enjeux énergétiques et climatiques, la méthanisation est une filière en plein essor en France. Depuis 2024, plus de 1700 installations de méthanisation sont opérationnelles en France et elles continuent de fleurir dans le paysage de nos campagnes, parfois à proximité de secteurs résidentiels ou les riverains s’interrogent sur l’impact potentiel de ces installations, tant d’un point de vue qualité de l’air que sur les odeurs émises. C’est dans ce cadre que le projet AQAMETHA, financé par l’ADEME et GRDF, a été développé et porté par les Associations de la Qualité de l’Air, ATMO France et la société Osmanthe afin d’apporter de premiers résultats sur le sujet, en impliquant 12 méthaniseurs dans la démarche. L’atelier sera l’occasion de revenir sur les résultats de l’étude, en s’appuyant d’éléments visuels dynamiques grâce à l’utilisation d’une datavisualisation. L’atelier sera également l’occasion de faire participer le public en leur proposant la reconnaissance d’odeurs associées à l’activité de méthanisation (mais pas que…) par l’utilisation de fioles de composés odorants issues de la méthode du Langage des Nez©, méthode sensorielle appliquée lors du projet AQAMETHA. L’objectif sera de leur montrer qu’une évocation et une gêne est propre à chacun mais que le composé qui caractérise une odeur est unique. Enfin, les échanges avec les participants au cours de l’atelier permettront d’aborder la notion d’acceptabilité sociale au regard des projets de méthanisation.

Bordeaux Métropole développe un ensemble de projets de réseaux de chaleur et privilégie la géothermie. Mais l'équilibre économique des projets est fragile et les forages géothermiques sont couteux.
Utiliser l'eau géothermale comme une nouvelle ressource en eau potable permet d'améliorer l'équilibre économique des projet de réseau de chaleur tout en contribuant à la préservation de la ressource en eau potable.
Comment ?
• Soit en réinjectant l'eau géothermale dans une nappe d'eau potable peu profonde. Dans ce cas, le forage de réinjection est peu couteux et l'économie pour le réseau est substantielle ;
• Soit en traitant l'eau et en l'injectant directement dans le réseau d'eau potable. Le cout élevé du traitement de l'eau est équilibré par sa revente.
Dans les deux cas, cette solution soutien à la fois le développement des énergies renouvelable et la préservation de la ressource en eau potable.
Quatre projets de ce type sont en cours sur Bordeaux Métropole, à des niveaux d'avancement différents : travaux en cours sur le premier, consultation en cours sur deux autres et études initiales sur le dernier. Ils seront décrits dans cet atelier ""Solution"".

Vous avez déjà suivi des formations à la transition écologique sans pouvoir l'appliquer à votre métier ? Avec iTEEnéraire, nous avons fait le choix de co-construire avec des agents de terrain des prototypes de formation adaptés à leur réalité intégrant les enjeux d'adaptation et d'atténuation à leurs gestes métiers, avec quatre premiers groupes métiers concernés : acheteurs, agents des espaces verts, agents d'entretien des locaux, agents de maintenance et d'entretien des bâtiments sur une vingtaine prévue. Découvrez ce parcours de co-construction et les premières formations mises en place avec ceux qui l'ont fait et/ou qui ont suivis ces formations, pour transformer leurs gestes métiers au sein de leurs collectivités.

Le paysage est un fil conducteur pour engager les transitions écologiques des territoires. Elaboré par le Collectif PAP, ETAPE Paysage est un outil d'aide à la spatialisation des actions énergétiques des territoires. Le paysage, qui s'attache aux ressources locales avec un caractère transversal et une attention à l'harmonie du cadre de vie, permet de faciliter le dialogue et d'imaginer des projets adaptés à chaque territoire. ETAPE Paysage s'appuie sur des données énergétiques territorialisées, principalement issues du scénario national de NégaWatt via le dispositif Destination TEPOS.

Vous souhaitez réduire votre impact sur l'environnement et vous engager dans la transition énergétique ? L'autoconsommation collective est un bon moyen d'agir à votre échelle pour changer votre façon de consommer l'électricité. Elle favorise une énergie issue de sources renouvelables et locales, tout en permettant un bénéfice économique.

Vous pouvez monter un projet d'autoconsommation collective ou y participer, que vous soyez un citoyen, une entreprise privée, un professionnel ou une collectivité. Enedis est à vos côtés, de la mise en place à la gestion de l'opération d'autoconsommation collective.

L'objectif de cet atelier est d’exposer les travaux en cours et les perspectives autour de la valorisation géothermique du réservoir de l’Oolithe blanche alsacienne dans l’optique de permettre une nouvelle voie de décarbonation de la chaleur sur la région.
Comment pouvons nous sécuriser la productivité d’une ressource à découvrir ?
Échelle Bassin et Echelle du projet :
Des spécialistes du BRGM et de l’UNISTRA/CNRS présentent les programmes de recherche en cours sur l’étude de la Grande Oolithe et de son potentiel géothermique en Alsace.
De l’échelle du bassin géologique avec la connaissance du sous-sol, le déroulé des études et la gestion des projets en réalisation pour assurer leur sécurité et pérennité.
Réglementation :
La Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et la Direction Générale de l'Énergie et du Climat (DGEC) jouent un rôle clé dans l’attribution des titres miniers et des autorisations de travaux (forages). Les processus d’instructions et d’attribution seront exposés pour aider le public à mieux comprendre le contexte règlementaire.
Technologies :
ENGIE et SLB interviendront pour présenter des techniques innovantes imaginées pour sécuriser la production géothermale dans des contexte similaire à l’Alsace, et en particulier l’utilisation des forages multidrains avec le retour d’expérience technologique de cette méthode.
Conclusion et perspectives

Les collectivités, en pionnières, ont investi dans la décarbonation du transport : En exploitant des réseaux de bornes de recharge pour le transport léger, et en développant les filières hydrogène et BioGNV pour le transport lourd. Cette dernière solution a rapidement trouvé son équilibre économique qui permet, aujourd'hui, un portage serein par les collectivités. La filière BioGNV mise en place permet non seulement de décarboner efficacement le transport lourd (car, bus, bennes à ordures ménagères, poids lourds pour le transport de marchandises, BTP, tracteurs agricoles, engins de manutention) et également de valoriser une énergie produite localement pour tendre vers l'indépendance énergétique d'un territoire. Un atelier où l'on parlera de méthanisation, de station de ravitaillement, de contrats de fourniture, mais aussi, de qualité de l'air et d'analyse cycle de vie. Les textes européens ne seront pas oubliés, pour notamment peser sur l'un d'entre eux qui en l'état pourrait bien ralentir le développement de cette filière vertueuse.

Dans cet atelier animé par l’Eurométropole de Strasbourg et Annemasse Agglo, deux collectivités vous partageront leur expérience sur la mise en place de dispositions relatives aux enjeux Climat et Énergie dans les PLU et PLUi.
L’heure d’atelier permettra d’aborder trois questions transversales éclairées par les deux expériences :
• La définition d’un niveau d'ambitions global avec les communes et parties prenantes, puis la mise en place d’une méthodologie de co-construction
• Les choix entre création d’OAP thématiques et règlements, et leurs conséquences respectives.
• Les enjeux de l'instruction des autorisations d’urbanisme lors de la mise en place d’OAP et de règlements poussés en matière de Climat et d’Énergie.

Les agences nationales de l’énergie du réseau EnR sont à la pointe de la transition européenne vers une meilleure efficacité énergétique, une augmentation des énergies renouvelables et la lutte contre le changement climatique. Ensemble, les agences EnR jouent un rôle de passerelle entre les actions nationales et les institutions européennes et internationales pertinentes.

L’action climatique locale est essentielle pour atteindre les objectifs de réduction des émissions et réaliser l’ambition du paquet « Fit for 55 » de l’UE, qui vise une réduction d’au moins 55 % des émissions nettes de gaz à effet de serre d’ici 2030. Les pays membres du réseau EnR reconnaissent l’importance de l’action locale pour maintenir les objectifs de l’Accord de Paris, atteindre la neutralité climatique en 2050, voire l’anticiper.

Les agences EnR sont des catalyseurs naturels de l’action locale, en reliant la planification nationale de l’efficacité énergétique et la coopération internationale avec les projets et initiatives à l’échelle locale et régionale. Elles accompagnent les autorités locales et régionales (ALR) à différents niveaux. Plusieurs agences EnR ont des missions spécifiques dans le soutien aux ALR pour la planification climatique, en fournissant des informations, des outils, des formations, ainsi qu’en collectant des données et des indicateurs pour suivre les progrès.

Lors de cette session, le réseau européen des agences de l’énergie (EnR) présentera un rapport sur l’état actuel de l’action climatique locale dans les pays membres, et échangera avec les participants sur les types d’actions que les agences nationales peuvent promouvoir pour faciliter l’action locale : outils, formation, renforcement des capacités, intégration des politiques et dialogue multi-niveaux pour une meilleure cohérence entre politiques européennes, nationales et locales.

DKarbonation est le projet porté par le territoire dunkerquois pour, d'une part, enclencher la transformation de la zone industrielle portuaire de Dunkerque, dont l'occupation est dominée par de l'industrie sidérurgique et métallurgique et l'amener vers la neutralité carbone et, de l'autre, favoriser le développement économique du territoire en accueillant de nouvelles industries bas carbone. « DKarbonation » bénéficie des financements de l'appel à projets « Zones Industrielles Bas Carbone » afin d'étudier la faisabilité technico-économique des infrastructures collectives qui permettront d'accompagner les industriels dans le déploiement de leur feuille de route décarbonation. Comment assurer la cohérence entre les différentes études ? Comment apporter des solutions collectives territoriales à des groupes qui dépendent de stratégies et politiques européennes ou mondiales ? Une étude stratégique a été lancée en octobre 2024 pour définir la trajectoire de décarbonation d'ici à 2050 et identifier les scénarios qui permettront d'atteindre le Net Zéro. Dans un contexte économique mondial très mouvant et incertain, comment la puissance publique, collectivités locales, Etat, Europe, peut contribuer à favoriser la décarbonation des industries ? Comment peut-elle créer les conditions favorables à l'atteinte des objectifs du Green Deal ? Cette étude permettra de construire une boussole fiable et robuste pour nous guider sur la voie de la décarbonation.

SNBC3 et PPE3 tracent la voie de la décarbonation du système énergétique pour 2050. A côté de la sobriété et de l'électrification, les usages ""chaleur"" et ""mobilité"" utiliseront la biomasse. Avec quelles ressources, via quels vecteurs et pour quelles applications ? De nombreuses combinaisons sont possibles. Jusqu'où la limite de la ressource agricole et forestière permettra d'aller ? Avons-nous trop ou trop peu d'ambition pour la biomasse? Quelle place pour le (bio)gaz et les biocarburants (aviation)? Comment gérer les forêts pour respecter la biodiversité et s'adapter au changement climatique en servant des usages matériaux et énergie en développement? Quelles marges de manœuvre pour une nouvelle politique alimentaire plus ""végétalisée"" limitant les surfaces agricoles pour l'alimentation animale? Quelle gouvernance nationale/territoriale pour des politiques partagées sur la biomasse?
En s'appuyant sur la note de La Fabrique Ecologique ""Les bioénergies : quelle place dans la transition énergétique?"", l'atelier débattra des principes et modalités de politiques nationale/territoriale permettant la mutation de l'agriculture, de la forêt et du secteur énergétique, en visant la ""souveraineté"" (alimentaire/énergétique), le renforcement de la biodiversité, l'atténuation du changement climatique et l'adaptation, ainsi que des emplois de qualité en milieu rural. Un travail en petits groupes permettra d'approfondir les approches agricole et forestière et les questions de gouvernance.

Le port de Strasbourg est un acteur engagé dans la transition écologique et travaille à la décarbonation des activités portuaires et au développement de la multimodalité, notamment dans le cadre de sa labellisation ZIBAC. Plusieurs chantiers sont en cours : modernisation des infrastructures ferroviaires en faveur du report modal, extension du réseau de chaleur urbaine R-PAS, développement des activités industrielles et logistiques décarbonées, évolution du port au pétrole vers un port aux énergies, verdissement de la flotte fluviale et électrification des quais d'accueil des bateaux de tourisme... Des transformations qui se heurtent aujourd'hui à des filières déjà en tension de recrutement et à la nécessité d'accompagner les salariés dans le développement de nouvelles compétences liée à la transition énergétique. Au cours de cet atelier, nous vous proposerons d'identifier les leviers pour répondre au défi de l'adaptation des compétences de demain. Après une présentation par le PAS des grands chantiers de transition, l'atelier sera co-animé par la Maison de l'emploi de Strasbourg et la Maison métropolitaine d'insertion pour l'emploi de Lyon. Réparti en groupe de travail thématiques, sur la base d'un premier niveau de diagnostic des enjeux et initiatives existantes, les congressistes seront invités à identifier les pistes d'actions utiles au territoire.

L'atelier sera organisé autour des enseignements de l'exploration "Familles ZFE" mise en oeuvre en 2023-2024 sur les territoires de Lyon Métropole, Limoges Métropole et la CA de La Rochelle, en partenariat avec le Ministère de la Transition et l'ADEME notamment. Le principe de l'exploration était simple : accueillir sur un territoire concerné par une politique de restriction de l'usage de la voiture (ZFE, élargissement de la zone horodatée) une expérimentation impliquant une vingtaine de ménages vulnérables motorisés pour leur proposer un panel de solutions alternatives de mobilité à tester dans différents contextes. Si la proposition initiale était simple, la mise en oeuvre effective s'est avérée plus complexe, avec des enseignements riches au service des politiques publiques de mobilité sur les territoires urbains. Plusieurs questions pourront ainsi être adressées au cours de l'atelier : comment identifier des zones de vulnérabilité sur un territoire concerné par exemple par une ZFE (approche socio-spatiale) ? Comment recruter des ménages vulnérables pour les embarquer dans une démarche d'accompagnement "pratique" au changement ? Comment créer un panel de solutions alternatives de mobilité, dépasser la dépendance à la voiture mais aussi gérer des parcours utilisateurs relativement rigides ?

Découvrez la manière dont le territoire dunkerquois mobilise les transitions qu'elle accompagne comme levier pour davantage de justice sociale en développant le pouvoir d'agir de ses habitants, en travaillant la résilience de son écosystème, en innovant sur son modèle de mobilité, tout en s'appuyant sur de nombreux partenaires comme les bailleurs sociaux, le secteur privé et la mobilisation de ses services communautaires (résorption des logements vacants, amélioration de l'habitat, lutte contre l'habitat indigne et accompagnement social lié au logement).

Le patrimoine bâti du département du Morbihan vieillit, la rénovation énergétique globale de la centaine de bâtiment va prendre plusieurs années... mais en attendant, le service maintenance s'attache à ajuster les réglages autant que possible, avec des résultats souvent surprenants ! L'atelier permettra de présenter 6 cas concrets récents, où l'ajustement de paramètres simples comme la consigne ou les horaires ont permis des économies importantes et quantifiées : une modification de l'équilibre entre chauffage et ventilation dans un bâtiment de bureaux (centre médico-social), l'optimisation des horaires et du réduit sur une médiathèque, et l'impact du facteur humain dans un collège quand l'agent de maintenance pilote finement... ou pas. Les réglages à faire sont parfois opposés selon que le bâtiment soit isolé ou pas ! Les exemples sont représentatifs car ils s'inspirent de bâtiments et de systèmes standards, dans un contexte où la consommation d'énergie est déjà relativement bien suivie depuis des années : l'impact du réglage « final » est malgré tout très parlant : entre -15% et -25% de consommation d'énergie !
L'atelier se veut très concret et pratique, et permettra d'échanger avec les participants sur ce qui a fonctionné ou pas, et ce qui a été possible avec les moyens limités dont on dispose.

Grâce aux outils d'aide à la décision de nouvelle génération développés par Efficacity et ses partenaires, basés sur des méthodologies éprouvées et des retours d'expérience, découvrez comment optimiser vos choix d'investissement en faveur de la transition énergétique en tenant compte d'un contexte budgétaire contraint, dans trois domaines clés : rénovation du patrimoine tertiaire de la collectivité ou du patrimoine résidentiel des bailleurs sociaux ; stratégie énergétique d'un quartier à aménager ou à rénover ; plan local des réseaux de chaleur & froid.

À l'occasion de la révision de son PCAET, Rennes Métropole a souhaité travailler l'appropriation de la démarche d'élaboration de sa trajectoire GES pour les élus et acteurs impliqués. La collectivité s'est donc engagée dans la création d'un jeu sérieux permettant d'appréhender le sujet complexe de la planification énergétique et écologique par l'angle de la pratique plutôt que de la théorie.
Cet atelier présentera la démarche de création d'un serious game. Il mettra en évidence les principes pédagogiques mobilisés et comment les notions de co-bénéfices, contraintes économiques et sociales associées à la transition énergétique ont été intégrées grâce aux mécaniques de jeu. L'atelier présentera également le retour d'expérience de l'organisation et l'animation de la Conférence locale du climat 2024 à Rennes durant laquelle environ 60 personnes ont pu participer à une partie de jeu immersive. Enfin, sera exposé l'approfondissement de la démarche via l'utilisation des supports du jeu par Rennes Métropole auprès des élus et agents permettant d'aboutir à un premier positionnement stratégique dans le cadre de la révision du PCAET.
Les participants auront à disposition les différentes pièces créées pour le jeu, notamment les cartes actions quantifiées correspondantes aux différents leviers de réduction de GES.

De plus en plus de collectivités locales se dotent d'un plan solaire, qui toutefois se limite le plus souvent au déploiement du photovoltaïque. Si c'est une bonne chose de planifier la production d'électricité solaire sur son territoire, cela ne répond qu'à une part de la transition. Le besoin de chaleur doit être décarboné (il est fortement carboné) et la chaleur solaire peut être mobilisée à cette fin partout en France.
Un plan solaire local doit interroger les besoins d'énergie et ses usages, pour apporter la réponse technique la plus pertinente. Pour cela, une mise à niveau des connaissances sur les technologies de production de chaleur solaire (de 40 à 400°C) est primordiale pour les services de planification. L'identification des besoins de chaleur au sein du territoire doit permettre d'aligner des solutions techniques qui pourront se combiner (sources de chaleur EnR&R ou électrification) pour décarboner. Réseaux de chaleur actuels et futurs, chaufferies collectives, chaufferies individuelles pour le tertiaire et le résidentiel, pour chaque cible une stratégie de décarbonation doit être élaborée, avec des solutions complémentaires ou concurrentes qui inclues l'option solaire.
Identifier les besoins, sensibiliser les maîtres d'ouvrage concernées sur les solutions et leur financement, et mobiliser les professionnels du secteur, sont au coeur de la mise en oeuvre d'un plan de « chaleur solaire territorial ».

Inventons nos vies bas carbone est un atelier participatif et pédagogique. Suspendues à une ficelle, des cartes de largeur proportionnelle aux émissions de gaz à effet de serre présentent les ordres de grandeur de l'empreinte carbone française. Le climat n'étant qu'une des limites planétaires, nos cartes incluent aussi les enjeux d'effondrement de la biodiversité et d'épuisement des ressources. Les participant·e·s réfléchissent aux leviers d'action, individuels et collectifs, pour inventer des vies sobres, heureuses, à la hauteur des enjeux.
Le plan de mandat de la Ville de Lyon prévoit la sensibilisation à la transition écologique de tous les agents, pour créer une culture commune et expliquer les engagements de la Ville en les ajustant aux réalités de terrain. Répondant à cette ambition, nous avons adapté l'atelier au territoire de Lyon : « Inventons Notre Ville Bas Carbone » est né !
En 3h30, les agents comparent les émissions liées aux activités du quotidien, font le lien avec les politiques publiques de la collectivité et imaginent des actions pour réduire l'impact des activités de leur service. C'est aussi l'occasion de partager des inquiétudes vis-à-vis des défis à relever.
Un format court en ligne est aussi proposé avec des vidéos, quizz, jeux, pour balayer à son rythme les enjeux de la transition écologique. Près de 900 agents sont sensibilisés à ce jour. Comment atteindre la cible des 8500 agents sensibilisés en 2026, sans brusquer ni minimiser les enjeux ?

Le couplage sectoriel est essentiel pour exploiter pleinement le potentiel des énergies renouvelables et décarboner nos économies. Cependant, ses avantages sont souvent méconnus et son rôle peut être négligé dans les stratégies de transition énergétique. Cet atelier explorera l'approche holistique mise en œuvre au Danemark et comment le couplage sectoriel y favorise l'intégration des énergies renouvelables et l'amélioration de l'efficacité énergétique du système énergétique. En s'appuyant sur l'exemple danois du développement conjoint de l'éolien et des réseaux de chaleur, les participants seront invités à discuter des défis à relever mais aussi des opportunités à saisir pour accélérer la concrétisation de projets matures de couplage sectoriel.

Afin d’accompagner le changement climatique la maison de l’emploi du Grand Nancy et la MMI'e de Lyon vous proposent de découvrir leurs projets d’accompagnement, de découverte des métiers de la transition écologique et de formation pour des publics éloignés de l’emploi afin de faire rimer justice climatique et justice sociale.

Engagées sur les thématiques d’emploi et d’environnement, les deux maisons de l’emploi pilotent des projets structurants afin de permettre un accès facilité aux métiers de la Transition écologique, pour beaucoup en tension. Économie circulaire, bâtiment durable, métiers de l’eau, du vivant...les domaines d’activité sont aussi variés que passionnants et c’est notre mission de les rendre inclusifs pour palier à la pénurie de main d’œuvre.

A Nancy, TERRA est un programme immersif visant à accompagner les demandeurs d’emploi vers les métiers de demain. À travers des interventions de professionnels, des visites d’entreprises et des ateliers, le dispositif permet de découvrir des secteurs porteurs et d’accéder à une formation ou un emploi.

A Lyon, la MMI’e propose, pour les référents emploi, un volet de formation aux enjeux climatiques, à l’adaptation du travail et aux métiers adaptées aux publics jeunes décrocheurs. Le but étant de former des ambassadeurs de ces métiers pour en massifier la découverte et l’attractivité.

Venez découvrir ces deux actions à impact, répondant fortement aux enjeux sociaux et environnementaux de notre société.

L'atelier sera organisé autour des enseignements de l'exploration "Familles ZFE" mise en oeuvre en 2023-2024 sur les territoires de Lyon Métropole, Limoges Métropole et la CA de La Rochelle, en partenariat avec le Ministère de la Transition et l'ADEME notamment. Le principe de l'exploration était simple : accueillir sur un territoire concerné par une politique de restriction de l'usage de la voiture (ZFE, élargissement de la zone horodatée) une expérimentation impliquant une vingtaine de ménages vulnérables motorisés pour leur proposer un panel de solutions alternatives de mobilité à tester dans différents contextes. Si la proposition initiale était simple, la mise en oeuvre effective s'est avérée plus complexe, avec des enseignements riches au service des politiques publiques de mobilité sur les territoires urbains. Plusieurs questions pourront ainsi être adressées au cours de l'atelier : comment identifier des zones de vulnérabilité sur un territoire concerné par exemple par une ZFE (approche socio-spatiale) ? Comment recruter des ménages vulnérables pour les embarquer dans une démarche d'accompagnement "pratique" au changement ? Comment créer un panel de solutions alternatives de mobilité, dépasser la dépendance à la voiture mais aussi gérer des parcours utilisateurs relativement rigides ?

Venez découvrir comment surmonter les frontières grâce aux communautés énergétiques. Les communautés énergétiques représentent un levier pour la transition énergétique, en transformant les citoyens en acteurs des énergies renouvelables. C'est aussi un outil de cohésion sociale sur ce sujet parfois clivant. Créer une communauté énergétique transfrontalière, c'est donc accélérer la transition en même temps que construire une Europe de la coopération. Une revue d'exemples, des barrières, et des solutions sera présentée et plus particulièrement deux projets locaux alsaciens ainsi que le projet du GECT hispano-portugais Duero-Douro.

Découvrez la manière dont le territoire dunkerquois mobilise les transitions qu'elle accompagne comme levier pour davantage de justice sociale en développant le pouvoir d'agir de ses habitants, en travaillant la résilience de son écosystème, en innovant sur son modèle de mobilité, tout en s'appuyant sur de nombreux partenaires comme les bailleurs sociaux, le secteur privé et la mobilisation de ses services communautaires (résorption des logements vacants, amélioration de l'habitat, lutte contre l'habitat indigne et accompagnement social lié au logement).

Le patrimoine bâti du département du Morbihan vieillit, la rénovation énergétique globale de la centaine de bâtiment va prendre plusieurs années... mais en attendant, le service maintenance s'attache à ajuster les réglages autant que possible, avec des résultats souvent surprenants ! L'atelier permettra de présenter 6 cas concrets récents, où l'ajustement de paramètres simples comme la consigne ou les horaires ont permis des économies importantes et quantifiées : une modification de l'équilibre entre chauffage et ventilation dans un bâtiment de bureaux (centre médico-social), l'optimisation des horaires et du réduit sur une médiathèque, et l'impact du facteur humain dans un collège quand l'agent de maintenance pilote finement... ou pas. Les réglages à faire sont parfois opposés selon que le bâtiment soit isolé ou pas ! Les exemples sont représentatifs car ils s'inspirent de bâtiments et de systèmes standards, dans un contexte où la consommation d'énergie est déjà relativement bien suivie depuis des années : l'impact du réglage « final » est malgré tout très parlant : entre -15% et -25% de consommation d'énergie !
L'atelier se veut très concret et pratique, et permettra d'échanger avec les participants sur ce qui a fonctionné ou pas, et ce qui a été possible avec les moyens limités dont on dispose.

Grâce aux outils d'aide à la décision de nouvelle génération développés par Efficacity et ses partenaires, basés sur des méthodologies éprouvées et des retours d'expérience, découvrez comment optimiser vos choix d'investissement en faveur de la transition énergétique en tenant compte d'un contexte budgétaire contraint, dans trois domaines clés : rénovation du patrimoine tertiaire de la collectivité ou du patrimoine résidentiel des bailleurs sociaux ; stratégie énergétique d'un quartier à aménager ou à rénover ; plan local des réseaux de chaleur & froid.

À l'occasion de la révision de son PCAET, Rennes Métropole a souhaité travailler l'appropriation de la démarche d'élaboration de sa trajectoire GES pour les élus et acteurs impliqués. La collectivité s'est donc engagée dans la création d'un jeu sérieux permettant d'appréhender le sujet complexe de la planification énergétique et écologique par l'angle de la pratique plutôt que de la théorie.
Cet atelier présentera la démarche de création d'un serious game. Il mettra en évidence les principes pédagogiques mobilisés et comment les notions de co-bénéfices, contraintes économiques et sociales associées à la transition énergétique ont été intégrées grâce aux mécaniques de jeu. L'atelier présentera également le retour d'expérience de l'organisation et l'animation de la Conférence locale du climat 2024 à Rennes durant laquelle environ 60 personnes ont pu participer à une partie de jeu immersive. Enfin, sera exposé l'approfondissement de la démarche via l'utilisation des supports du jeu par Rennes Métropole auprès des élus et agents permettant d'aboutir à un premier positionnement stratégique dans le cadre de la révision du PCAET.
Les participants auront à disposition les différentes pièces créées pour le jeu, notamment les cartes actions quantifiées correspondantes aux différents leviers de réduction de GES.

De plus en plus de collectivités locales se dotent d'un plan solaire, qui toutefois se limite le plus souvent au déploiement du photovoltaïque. Si c'est une bonne chose de planifier la production d'électricité solaire sur son territoire, cela ne répond qu'à une part de la transition. Le besoin de chaleur doit être décarboné (il est fortement carboné) et la chaleur solaire peut être mobilisée à cette fin partout en France.
Un plan solaire local doit interroger les besoins d'énergie et ses usages, pour apporter la réponse technique la plus pertinente. Pour cela, une mise à niveau des connaissances sur les technologies de production de chaleur solaire (de 40 à 400°C) est primordiale pour les services de planification. L'identification des besoins de chaleur au sein du territoire doit permettre d'aligner des solutions techniques qui pourront se combiner (sources de chaleur EnR&R ou électrification) pour décarboner. Réseaux de chaleur actuels et futurs, chaufferies collectives, chaufferies individuelles pour le tertiaire et le résidentiel, pour chaque cible une stratégie de décarbonation doit être élaborée, avec des solutions complémentaires ou concurrentes qui inclues l'option solaire.
Identifier les besoins, sensibiliser les maîtres d'ouvrage concernées sur les solutions et leur financement, et mobiliser les professionnels du secteur, sont au coeur de la mise en oeuvre d'un plan de « chaleur solaire territorial ».

Inventons nos vies bas carbone est un atelier participatif et pédagogique. Suspendues à une ficelle, des cartes de largeur proportionnelle aux émissions de gaz à effet de serre présentent les ordres de grandeur de l'empreinte carbone française. Le climat n'étant qu'une des limites planétaires, nos cartes incluent aussi les enjeux d'effondrement de la biodiversité et d'épuisement des ressources. Les participant·e·s réfléchissent aux leviers d'action, individuels et collectifs, pour inventer des vies sobres, heureuses, à la hauteur des enjeux.
Le plan de mandat de la Ville de Lyon prévoit la sensibilisation à la transition écologique de tous les agents, pour créer une culture commune et expliquer les engagements de la Ville en les ajustant aux réalités de terrain. Répondant à cette ambition, nous avons adapté l'atelier au territoire de Lyon : « Inventons Notre Ville Bas Carbone » est né !
En 3h30, les agents comparent les émissions liées aux activités du quotidien, font le lien avec les politiques publiques de la collectivité et imaginent des actions pour réduire l'impact des activités de leur service. C'est aussi l'occasion de partager des inquiétudes vis-à-vis des défis à relever.
Un format court en ligne est aussi proposé avec des vidéos, quizz, jeux, pour balayer à son rythme les enjeux de la transition écologique. Près de 900 agents sont sensibilisés à ce jour. Comment atteindre la cible des 8500 agents sensibilisés en 2026, sans brusquer ni minimiser les enjeux ?

Venez tester vos connaissances dans ""Les parcours de l'énergie"", animation développée par Inddigo pour permettre aux élus et agents des territoires de cerner concrètement les enjeux énergétiques.

En groupe, autour de cartes à jouer visuelles, vous découvrirez de façon ludique les consommations énergétiques observées aujourd'hui en France, déterminerez leur ordre de grandeur, identifierez les sources d'énergies utilisées et affinerez votre connaissance sur les différentes filières.

Quelles sont les énergies disponibles sur votre territoire ? Leurs caractéristiques, les avantages et inconvénients ?
Quels sont leurs potentiels pour atteindre la neutralité carbone et leurs limites ? ...

Autant de questions auxquelles cet atelier vous aidera à apporter des réponses.

Vous êtes curieux et souhaitez en savoir plus sur les filières énergétiques ? Cet atelier est fait pour vous.

(Dés)usages énergétiques est un serious game qui met en débat les usages énergétiques actuels au prisme des limites planétaires et des contraintes socio-économiques pesant sur les individus. Ce serious-game vise à éclairer les choix de consommation et à explorer les leviers permettant d'accompagner les changements de comportements sans stigmatiser les personnes. Au cours de l'atelier, votre objectif sera d'incarner des personnages fictifs pour les aider à adopter des modes de vie sobres, que ce soit en sortant de l'ébriété ou de la précarité énergétique. Le serious-game « (Dés)usages énergétiques » propose des représentations humoristiques des consommations énergétiques tout en s'appuyant sur des données scientifiques. Il donne à voir des situations de consommation vécues afin de sortir d'une vision surplombante et des idées reçues sur les modes de vie de chacun-e.

Les opérations d'ACC se développent (ambition de massification), avec principalement des entreprises et collectivités en consommateurs. Les ménages sont peu impliqués (faibles consommations, TRVE, rotations,..). Il existe quelques mécanismes de soutien pour faciliter les opérations dites sociales, cependant celles-ci restent marginales. Par le biais d'un jeu de rôles, nous réfléchirons collectivement sur l'utilisation d'un tel outil (l'ACC) pour lutter contre la précarité énergétique.

Pour mettre en lumière les pépites énergétiques et écologiques du territoire, l'idée est d'inventer un narratif différent en s'inspirant des codes de la publicité drôle, esthétique, sexy, réveuse, etc. Sur le modèle des spots "Vendez-moi cette voiture", "Bruxelles, les pieds", Brussels fit, la plus grande salle de gym du monde", "Faire du ciel le plus bel endroit de la terre" ... Les participants seront invités à inventer ou à détourner des slogans et à tourner de courts spots vidéos avec du matériel vidéo et des accessoires mis à leur disposition (vêtements, objets, ) pour inciter à la consommation responsable, au développement des ENR, à la sobriété, à la rénovation, à la mise en place de mesures d'adaptation, ... Quelques exemples de différents pays seront présentés en introduction. Il y aura la possiblité de faire des propositions en français ou en anglais pour les participants d'autres pays.

Pour intégrer les enjeux environnementaux dans ses politiques, la Région Grand Est s’est engagée dans une démarche novatrice : une grande révision de ses dispositifs d’aides. De nouveaux critères ‘verts’ y ont été intégrés (mesures d’impact, bonifications…). Objectif : sensibiliser et embarquer nos partenaires… et nos services. Dans une logique d’amélioration continue, venez réfléchir avec nous à comment améliorer et pérenniser nos résultats !v

Une expérience savoureuse !
Le 13 juin 2025, Grand Poitiers a adopté son nouveau Plan Climat.
Goûtez à la méthodologie ambitieuse qui a permis d'associer citoyens et acteurs locaux à la transformation du territoire.
Composée d'un panel représentatif de citoyens, d'élus, d'associations et d'Companies, l'Assemblée Climat se distingue par son organisation innovante, où l'art stimule l'intelligence collective et l'engagement des participants est facilité par des modalités inclusives, encourageant la mobilisation du plus grand nombre.
Une formule entrée - plat - dessert à la carte :
Découvrez la recette de cette Assemblée Climat en explorant les ingrédients de la construction d'une démarche de transition collaborative. Conçu comme un parcours interactif « à la carte », l'atelier vous invite à voter pour choisir les 3 sujets qui seront abordés parmi 4 propositions :
- Composer une assemblée citoyenne : mode d'emploi
- Neutralité carbone : choisir une trajectoire et construire un récit grâce aux 4 scénarios Transition(s) 2050 de l'ADEME
- L'art, moteur d'intelligence collective : quand la culture inspire les solutions
- Faciliter la participation : des modalités techniques au service de la mobilisation du plus grand nombre
Ces ingrédients peuvent être adaptés et répliqués par toutes les collectivités désireuses de renforcer leurs démarches de transition en s'appuyant sur la créativité et l'énergie des acteurs locaux.

Dans un souci d'accélération du développement solaire photovoltaïque sur son territoire, la Métropole européenne de Lille (MEL) anime plusieurs dispositifs visant à faciliter le passage à l'action des communes, des Companies - et des habitants.
Pour aiguiller au mieux les particuliers dans leur projet de solarisation, la MEL s'appuie sur son cadastre solaire et son partenaire expert, l'Association Solaire en Nord.
Au-delà du conseil personnalisé et gratuit proposé à tous les habitants, Solaire en Nord a initié une première démarche d'achat groupé d'installations photovoltaïques en Hauts-de-France.
Ce sont 9 foyers, désormais producteurs d'énergie solaire sur la commune de Sainghin-en-Mélantois (2 800 hab.), qui ont bénéficié d'un accompagnement collectif sur mesure pour dimensionner et sécuriser la réalisation de leurs installations.
Forte de cette première expérience, la Métropole européenne de Lille prévoit de renouveler cette opération auprès de plusieurs autres collectifs d'habitants.
Avec notre partenaire Solaire en Nord, et la commune de Sainghin-en-Mélantois, la MEL vous présentera les principales étapes de cette expérimentation - de la constitution du collectif jusqu'à la visite des installations mises en service, en passant par le choix de l'entreprise qualifiée ; ainsi que les principaux enseignements de cette démarche.

L'atelier sera organisé autour des enseignements de l'exploration "Familles ZFE" mise en oeuvre en 2023-2024 sur les territoires de Lyon Métropole, Limoges Métropole et la CA de La Rochelle, en partenariat avec le Ministère de la Transition et l'ADEME notamment. Le principe de l'exploration était simple : accueillir sur un territoire concerné par une politique de restriction de l'usage de la voiture (ZFE, élargissement de la zone horodatée) une expérimentation impliquant une vingtaine de ménages vulnérables motorisés pour leur proposer un panel de solutions alternatives de mobilité à tester dans différents contextes. Si la proposition initiale était simple, la mise en oeuvre effective s'est avérée plus complexe, avec des enseignements riches au service des politiques publiques de mobilité sur les territoires urbains. Plusieurs questions pourront ainsi être adressées au cours de l'atelier : comment identifier des zones de vulnérabilité sur un territoire concerné par exemple par une ZFE (approche socio-spatiale) ? Comment recruter des ménages vulnérables pour les embarquer dans une démarche d'accompagnement "pratique" au changement ? Comment créer un panel de solutions alternatives de mobilité, dépasser la dépendance à la voiture mais aussi gérer des parcours utilisateurs relativement rigides ?

Venez découvrir comment surmonter les frontières grâce aux communautés énergétiques. Les communautés énergétiques représentent un levier pour la transition énergétique, en transformant les citoyens en acteurs des énergies renouvelables. C'est aussi un outil de cohésion sociale sur ce sujet parfois clivant. Créer une communauté énergétique transfrontalière, c'est donc accélérer la transition en même temps que construire une Europe de la coopération. Une revue d'exemples, des barrières, et des solutions sera présentée et plus particulièrement deux projets locaux alsaciens ainsi que le projet du GECT hispano-portugais Duero-Douro.

Découvrez la manière dont le territoire dunkerquois mobilise les transitions qu'elle accompagne comme levier pour davantage de justice sociale en développant le pouvoir d'agir de ses habitants, en travaillant la résilience de son écosystème, en innovant sur son modèle de mobilité, tout en s'appuyant sur de nombreux partenaires comme les bailleurs sociaux, le secteur privé et la mobilisation de ses services communautaires (résorption des logements vacants, amélioration de l'habitat, lutte contre l'habitat indigne et accompagnement social lié au logement).

Le patrimoine bâti du département du Morbihan vieillit, la rénovation énergétique globale de la centaine de bâtiment va prendre plusieurs années... mais en attendant, le service maintenance s'attache à ajuster les réglages autant que possible, avec des résultats souvent surprenants ! L'atelier permettra de présenter 6 cas concrets récents, où l'ajustement de paramètres simples comme la consigne ou les horaires ont permis des économies importantes et quantifiées : une modification de l'équilibre entre chauffage et ventilation dans un bâtiment de bureaux (centre médico-social), l'optimisation des horaires et du réduit sur une médiathèque, et l'impact du facteur humain dans un collège quand l'agent de maintenance pilote finement... ou pas. Les réglages à faire sont parfois opposés selon que le bâtiment soit isolé ou pas ! Les exemples sont représentatifs car ils s'inspirent de bâtiments et de systèmes standards, dans un contexte où la consommation d'énergie est déjà relativement bien suivie depuis des années : l'impact du réglage « final » est malgré tout très parlant : entre -15% et -25% de consommation d'énergie !
L'atelier se veut très concret et pratique, et permettra d'échanger avec les participants sur ce qui a fonctionné ou pas, et ce qui a été possible avec les moyens limités dont on dispose.

Grâce aux outils d'aide à la décision de nouvelle génération développés par Efficacity et ses partenaires, basés sur des méthodologies éprouvées et des retours d'expérience, découvrez comment optimiser vos choix d'investissement en faveur de la transition énergétique en tenant compte d'un contexte budgétaire contraint, dans trois domaines clés : rénovation du patrimoine tertiaire de la collectivité ou du patrimoine résidentiel des bailleurs sociaux ; stratégie énergétique d'un quartier à aménager ou à rénover ; plan local des réseaux de chaleur & froid.

À l'occasion de la révision de son PCAET, Rennes Métropole a souhaité travailler l'appropriation de la démarche d'élaboration de sa trajectoire GES pour les élus et acteurs impliqués. La collectivité s'est donc engagée dans la création d'un jeu sérieux permettant d'appréhender le sujet complexe de la planification énergétique et écologique par l'angle de la pratique plutôt que de la théorie.
Cet atelier présentera la démarche de création d'un serious game. Il mettra en évidence les principes pédagogiques mobilisés et comment les notions de co-bénéfices, contraintes économiques et sociales associées à la transition énergétique ont été intégrées grâce aux mécaniques de jeu. L'atelier présentera également le retour d'expérience de l'organisation et l'animation de la Conférence locale du climat 2024 à Rennes durant laquelle environ 60 personnes ont pu participer à une partie de jeu immersive. Enfin, sera exposé l'approfondissement de la démarche via l'utilisation des supports du jeu par Rennes Métropole auprès des élus et agents permettant d'aboutir à un premier positionnement stratégique dans le cadre de la révision du PCAET.
Les participants auront à disposition les différentes pièces créées pour le jeu, notamment les cartes actions quantifiées correspondantes aux différents leviers de réduction de GES.

De plus en plus de collectivités locales se dotent d'un plan solaire, qui toutefois se limite le plus souvent au déploiement du photovoltaïque. Si c'est une bonne chose de planifier la production d'électricité solaire sur son territoire, cela ne répond qu'à une part de la transition. Le besoin de chaleur doit être décarboné (il est fortement carboné) et la chaleur solaire peut être mobilisée à cette fin partout en France.
Un plan solaire local doit interroger les besoins d'énergie et ses usages, pour apporter la réponse technique la plus pertinente. Pour cela, une mise à niveau des connaissances sur les technologies de production de chaleur solaire (de 40 à 400°C) est primordiale pour les services de planification. L'identification des besoins de chaleur au sein du territoire doit permettre d'aligner des solutions techniques qui pourront se combiner (sources de chaleur EnR&R ou électrification) pour décarboner. Réseaux de chaleur actuels et futurs, chaufferies collectives, chaufferies individuelles pour le tertiaire et le résidentiel, pour chaque cible une stratégie de décarbonation doit être élaborée, avec des solutions complémentaires ou concurrentes qui inclues l'option solaire.
Identifier les besoins, sensibiliser les maîtres d'ouvrage concernées sur les solutions et leur financement, et mobiliser les professionnels du secteur, sont au coeur de la mise en oeuvre d'un plan de « chaleur solaire territorial ».

Inventons nos vies bas carbone est un atelier participatif et pédagogique. Suspendues à une ficelle, des cartes de largeur proportionnelle aux émissions de gaz à effet de serre présentent les ordres de grandeur de l'empreinte carbone française. Le climat n'étant qu'une des limites planétaires, nos cartes incluent aussi les enjeux d'effondrement de la biodiversité et d'épuisement des ressources. Les participant·e·s réfléchissent aux leviers d'action, individuels et collectifs, pour inventer des vies sobres, heureuses, à la hauteur des enjeux.
Le plan de mandat de la Ville de Lyon prévoit la sensibilisation à la transition écologique de tous les agents, pour créer une culture commune et expliquer les engagements de la Ville en les ajustant aux réalités de terrain. Répondant à cette ambition, nous avons adapté l'atelier au territoire de Lyon : « Inventons Notre Ville Bas Carbone » est né !
En 3h30, les agents comparent les émissions liées aux activités du quotidien, font le lien avec les politiques publiques de la collectivité et imaginent des actions pour réduire l'impact des activités de leur service. C'est aussi l'occasion de partager des inquiétudes vis-à-vis des défis à relever.
Un format court en ligne est aussi proposé avec des vidéos, quizz, jeux, pour balayer à son rythme les enjeux de la transition écologique. Près de 900 agents sont sensibilisés à ce jour. Comment atteindre la cible des 8500 agents sensibilisés en 2026, sans brusquer ni minimiser les enjeux ?

Les collectivités locales disposent de compétences administratives spécifiques selon leur niveau. Ainsi, elles interviennent dans différents domaines (logement, culture, sport, tourisme, etc.). L'exercice de ces compétences les amène à devoir transporter des marchandises et des biens, par leurs propres moyens ou via des Companies spécialisées ainsi que leurs sous-traitants (ex : collecte des déchets). Par ailleurs, la collectivité est amenée à commander des biens, se faire livrer des marchandises ou en expédier pour fonctionner. Le transport de marchandises (fait donc partie des activités quotidiennes de la collectivité, même si ce n'est pas une compétence identifiée en tant que telle et qu'elle ne l'exerce pas forcément en propre. Au cours de cet atelier, nous verrons comment une collectivité peut avoir une logistique exemplaire qui s'applique à l'exercice de ses compétences mais également à son mode de fonctionnement avec des cas très concrets et des recommandations. Au programme :
- présentation des résultats d'une étude réalisée par l'ADEME
- témoignage de l'eurométropole de Strasbourg (Camille Treil, chargé de mission logistique urbaine) sur comment le fluvial ré-interroge la manière d'organiser un chantier et comment la commande publique est un levier d'action
- présentation par les Boîtes à Vélo France (Laëtitia Pfeffer) du guide « Développer les usages professionnels de vélos-cargos sur les territoires »

La décarbonation de l’industrie des territoires est un enjeu clé des dix prochaines années. Aujourd’hui, 70 % des émissions de gaz à effet de serre de l’industrie sont liées à la combustion de gaz naturel et de charbon. Pour les procédés non électrifiables, l’hydrogène est une solution pertinente qui contribue à la réduction des émissions, renforce la sécurité énergétique et améliore la résilience des industries.

Au-delà de l’approche industrielle individuelle, le développement de l’hydrogène s’inscrit dans une logique plus large de projet de territoire : mutualisation des usages, optimisation des réseaux électriques, décarbonation d’un bassin industriel, construction d’écosystèmes territoriaux robustes. À ce titre, la sécurisation de certains usages industriels clefs, comme celui de l’enrobé, est stratégique, car elle impacte directement les collectivités locales via la commande publique.

CVE et RGDS partageront leur vision et leur approche, ainsi qu’un cas concret d’étude de pré-faisabilité hydrogène combustion menée sur un site industriel qui permettra d’aborder :
• La méthodologie d’évaluation de la combustion hydrogène
• Les impacts opérationnels, techniques, économiques et environnementaux
• Les conditions de réussite pour faire de l’H2 un levier de coopération territoriale

Cet atelier vise à montrer comment un projet hydrogène peut devenir un véritable projet de territoire, combinant impératifs industriels, enjeux énergétiques et ambitions climatiques.

Cet atelier explore le potentiel de la thalassothermie pour répondre aux besoins énergétiques des zones littorales méditerranéennes. À travers des exemples concrets comme les projets Thassalia et Massiléo à Marseille, les participants découvriront comment cette technologie utilise l'énergie thermique de l'eau de mer pour le chauffage et la climatisation de bâtiments, tout en réduisant les émissions de gaz à effet de serre. L'atelier abordera les retours d'expérience, mettant en lumière les défis techniques, les bénéfices économiques, et les pratiques pour minimiser les impacts sur le milieu marin. L'animation proposera un travail en sous-groupes autour de thèmes comme l'opportunité du positionnement des installations pour préserver la biodiversité et les stratégies d'adaptation locale. Chaque groupe partagera ses conclusions, contribuant à une discussion collective sur l'optimisation de la thalassothermie et ses perspectives d'extension en Méditerranée. Cet atelier s''adresse aux collectivités, bureaux d'études, et Companies désireuses de développer des solutions innovantes et durables, en réponse aux ambitions des territoires méditerranéens pour un avenir énergétique plus propre et résilient.

L'atelier offre l'occasion de comprendre les liens entre la propriété foncière - sous forme de bail emphytéotique - et la transition vers la durabilité, particulièrement dans le domaine des constructions industrielles. Toutefois, il est à noter que le principe est applicable à tout type de constructions.
La FTI (Fondations pour les Terrains industriels de Genève) est un opérateur foncier en zone d'activité, au bénéfice d'un statut de droit public. La fondation est missionnée par l'État de Genève pour valoriser des terrains à vocation industrielles sous la forme de baux emphytéotiques. Le modèle s'applique à toute entité publique qui gère du foncier.
Deux chefs de projet de la FTI présentent leur pratique de mise en valeur parcellaire soumises à des contraintes constructives de durabilité, pour favoriser l'application de choix technologiques et constructifs, en vue de la transition énergétique.
Seront abordées durant l'atelier, à la fois les caractéristiques d'un opérateur foncier de droit public, les particularités du bail emphytéotique, les notions d'accompagnement d'un développeur / constructeur / entrepreneur et le rôle des contraintes qui lui sont posées.
L'objectif des 2 intervenants, est de faire connaitre le contexte, de présenter des projets et de répondre aux questions.
Le résultat attendu de l'atelier lui-même est la sensibilisation des participant-es aux potentiels qu'offrent l'usage maitrisé du bail emphytéotique en vue de réaliser la transition vers la durabilité.

En tant que professionnels acteurs de la transition écologique, vous sentez-vous parfois au carrefour d'injonctions contradictoires, d'attentes et de réticences, du rationnel et de l'irrationnel que les enjeux actuels impliquent ? Cela vous amène peut-être à vous demander comment associer les aspects techniques et la dimension humaine car vous sentez que ça coince... ?

Dans le cadre de leur approvisionnement en électricité, Territoire d’énergie Loire-Atlantique et Nantes Métropole ont lancé la 1ère aventure collective d'achats d'énergie de long terme pour les collectivités (Groupement de 8 membres : syndicat, collectivités, SEM) : ce n'est pas un marché d'1 an, ni même de 3 … mais bien de 20 ans pour un CADER avec des producteurs éolien et photovoltaïque (bénéfices de la loi APER…).

Une démarche qui sent bon l'alliance des territoires, l'innovation, la décorrélation des prix de marchés de la bourse de l'électricité, la reproductibilité … voire plus si affinité !

Sous la forme d'une discussion entre 2 collectivités (Territoire d’énergie Loire-Atlantique et Nantes Métropole), l'aventure vous sera « contée » en s’arrêtant sur les réussites et difficultés rencontrées avec l'œil de l'expert tantôt le Cabinet Seban pour les aspects juridiques et tantôt Collectif Energie pour les aspects techniques et économiques.

Toutes les étapes seront passées en revue, depuis les ambitions politiques jusqu’à la passation du marché de fourniture en passant notamment par le marché de mise en concurrence des producteurs : le CADER !

Alors, pour tout savoir de notre passionnante aventure et enrichir collectivement notre connaissance sur le sujet, nous n'attendons plus que vous !

Venez découvrir comment surmonter les frontières grâce aux communautés énergétiques. Les communautés énergétiques représentent un levier pour la transition énergétique, en transformant les citoyens en acteurs des énergies renouvelables. C'est aussi un outil de cohésion sociale sur ce sujet parfois clivant. Créer une communauté énergétique transfrontalière, c'est donc accélérer la transition en même temps que construire une Europe de la coopération. Une revue d'exemples, des barrières, et des solutions sera présentée et plus particulièrement deux projets locaux alsaciens ainsi que le projet du GECT hispano-portugais Duero-Douro.

Venez échanger avec le CNFPT autour des nouvelles offres de formations et de vos opportunités professionnelles. [Créneaux disponibles plus bas]

Présentation de la prochaine session de formation pour le poste de chargé d'accompagnement à la rénovation énergétique du bâtiment en mars 2026 avec la CMA et la MDE de Strasbourg

D’ici 2030, ce sont 11 500 accompagnateurs Ensembliers Solidaires qui devront être formés pour changer la vie de 2 millions de français en exclusion énergétique, leur redonner un logement sain et protecteur, santé et bien-être, économies d’énergie et plus encore.
La massification de la rénovation performante et globale de l’habitat des personnes les plus modestes nécessite la mobilisation de compétences techniques et sociales spécifiques ainsi qu’une connaissance approfondie des dispositifs d’aides financières disponibles
pour accompagner les familles de bout en bout dans leurs dossiers et travaux.
L’accompagnateur Ensemblier Solidaire, aux compétences techniques et sociales, permet à des familles en situation de grande précarité sociale et financière, personnes seules souvent âgées, isolées, vivant souvent dans des conditions de mal-logement et donc en
grande précarité énergétique dans leur habitat, d’accéder et de bénéficier de leurs droits pour réaliser des travaux d’amélioration de leur habitat.
En cherchant à optimiser des solutions techniques et financières (maximiser la performance énergétique, optimiser les financements, privilégier les éco-matériaux…), l’accompagnateur Ensemblier Solidaire privilégie les projets de rénovation de l’habitat durables,
performants, respectueux de l’environnement et adaptés aux contraintes de vie des propriétaires occupants et visant à réduire considérablement leur facture d’énergie et leur empreinte carbone

- Un atelier immersif où les participants incarnent un service communal pour diagnostiquer, planifier et accompagner des actions concrètes de lutte contre la précarité énergétique.
Après-midi – Du diagnostic aux actions : outiller les territoires pour lutter efficacement contre la précarité énergétique
(Objectif : Présenter des dispositifs concrets et des outils d’analyse pour mieux identifier et lutter contre la précarité énergétique)

- Focus sur les critères de décence de l’habitat et actions contre l’indécence.
Intervenant : Danyel Dubreuil (Réseau Cler)

- Lutter concrètement contre la précarité énergétique et faire de la solidarité un levier de transition juste et inclusive.
Intervenants : Véronique KUENEMANN (Correspondante Solidarité EDF) et Estelle METZGER (Coordinatrice Secours Catholique CARITAS Alsace)

- Analyse des chiffres clés issus du tableau de bord de l’ONPE, pour mieux comprendre et agir face au mal-logement et la précarité énergétique
- Discussion sur la vulnérabilité des ménages face aux vagues de chaleur et les solutions d’adaptation
Intervenants : Lise-Marie Dambrine (ADEME/ ONPE)

Cette table ronde donnera la parole à deux collectivités locales qui portent des projets différents et financé par du FEDER : bâtiment construction passive et Rénovation du bâtiment d’une école. Les intervenants confirmés :
- Communauté de communes du Pays de Sainte Odile. Construction passive du pôle administratif à Obernai.
- Commune de Rhinau. Rénovation de l’école du Centre à Rhinau.

Table ronde avec des projets de réseau de chaleur urbain avec un mix énergétique de biomasse, solaire thermique et récupération de chaleur fatale et de valorisation des biodéchets. Les intervenants confirmés :
- Lingenheld. Création de l'unité de méthanisation
- Dalkia. Création du réseau de chaleur EnR/R de SAVERNE

En Allemagne, les villes élaborent des plans de chaleur communaux qui montrent à quoi pourrait ressembler un approvisionnement en chaleur climatiquement neutre dans un avenir (proche). Le passage du gaz naturel et du fioul aux pompes à chaleur et aux réseaux de chaleur, ainsi que le grand besoin de rénovation, représentent un défi majeur pour les villes et tous les propriétaires de bâtiments. Ce workshop abordera comment la ville de Fribourg relève ces défis et dans quels domaines elle est active. Nous souhaitons échanger à ce sujet avec vous.
(Présentation de 15 à 20 minutes, suivie d’un échange/discussion)

De la sobriété au développement des énergies renouvelables, place au citoyen!
Des premières initiatives citoyennes à la structuration de réseaux et de communautés énergétiques, des témoignages inspirants illustreront le rôle grandissant des citoyens dans la souveraineté energétique européenne. Acteurs associatifs, publics, privés, échangeront autour des difficultés et des clés de réussite de leurs coopérations énergétiques sur le terrain, en France et en Europe.

Des projets d'implantation de production d'énergie, aux orientations énergétiques nationales et européennes, comment les citoyens sont-ils associés aux décisions en matière d'énergie? Faut-il les associer davantage ou mieux?
Réponses à ces questions à travers des regards croisés de représentants de collectivités française, suisse et allemande, engagées dans la mobilisation citoyenne: initiatives réussies, bonnes pratiques de démocratie participative, écueils à éviter.

En 2025, comment parvenir à un droit d'accès à l'énergie garanti pour chaque citoyen.ne ? Dans une logique de partage de la ressource, quel pourrait être ce minima garanti, et quel devoir de sobriété cela suppose t il ?
Le scénario Clever, portés par 26 partenaires européens, propose une trajectoire de transition énergétique européenne, qui montre l'importance et la faisabilité d'une réduction forte de la demande énergétique.
Nous explorerons avec nos experts les enjeux de la sobriété énergétique, pour une transition énergétique toujours plus équitable, et soutenable.

Nombreuses sont les voix qui nous alertent sur les inégalités face au changement climatique; en particulier, les femmes sont plus exposées que les hommes aux impacts et conséquences du dérèglement climatique. Or elles sont encore largement sous-représentées dans les métiers de la transition énergétique et les postes de direction dans ces secteurs.
Autour de la table, nos expertes illustreront ces enjeux et les leviers d'actions pour une approche intégrée de la transition, réduisant les inégalités, et combattant les stéréotypes.

Construction des prix des énergies, flexibilité, marchés de l'énergie, cette séquence vous apportera toutes les clés de compréhension de cet univers complexe.
Les experts réunis autour de cette table ronde débattront de l'intérêt de la faisabilité d'une péréquation des prix de l'énergie en Europe. Est ce possible ? Souhaitable? Ou au contraire, cela nuirait-il aux efforts d'efficacité et de sobriété?
Une table ronde technique et opérationnelle, en résonnance avec les débats relatifs à la gouvernance énergétique européenne et l'accès à l'énergie pour tous.

Toujours plus présente, malgré des impacts énergétiques et écologiques colossaux, que nous apporte l'intelligence artificielle pour la transition énergétique?
Sommes nous conscients des mutations en cours et à venir, et saurons nous les saisir , pour une transition énergétique durable?
Face à cette dualité profonde, nos experts nous éclaireront sur les enjeux énergétiques, carbone, environnementaux, de l'inteligence artificielle, pour des choix éclairés, s'ils sont encore possibles.

Le Réseau de Chaleur Urbain (RCU) Eco2Wacken, alimente massivement en chaleur décarbonée (taux d’ENR de 87%) une large partie du quartier du Wacken à Strasbourg, (quartier d’affaire européen ou siègent les institutions européennes). La centrale biomasse mise en service en 2016 a connu une évolution majeure à partir de 2021 grâce à l’arrivée d’une nouvelle source d’énergie décarbonée: la chaleur dite « fatale », récupérée à quelques kilomètres de là auprès de sites industriels du bassin portuaire.
Pour assurer l’interconnexion des RCU strasbourgeois (dont le réseau Eco2-Wacken) et le pilotage optimal de ces flux de chaleur renouvelable, un hub énergétique innovant a été implanté en 2024 dans la zone portuaire nord de Strasbourg. Ce dernier fonctionne comme une « tour de contrôle énergétique », capable d’orienter en temps réel et en fonction de la demande, la chaleur récupérée auprès des sites industriels producteurs vers les différents réseaux de chaleur consommateurs.

Partez à la découverte d’une initiative exemplaire de transition énergétique locale. Cette visite vous permettra de comprendre comment l'énergie fatale industrielle, autrefois perdue, est aujourd'hui valorisée pour chauffer des milliers de logements strasbourgeois.
Première étape de la visite : le site industriel Blue Paper, papeterie située au Port Autonome de Strasbourg, qui investit depuis plus de 10 ans dans la décarbonation de son mix énergétique en logique circulaire. A ce jour plus de 80% de l’énergie primaire utilisée sur le site est décarbonée. Depuis 2021, Blue Paper est devenu le premier site industriel à alimenter le réseau de chaleur R-PAS à partir de chaleur issue de ses process pour chauffer les quartiers, industriels voisins.
La seconde étape de la visite se déroule à la Capitainerie du Port de Strasbourg, pour un temps d’échanges privilégié avec les représentants du Port de Strasbourg et d’usagers du réseau R-PAS, dont la SPL 2 Rives. Vous comprendrez comment le Port de Strasbourg a intégré la valorisation de la chaleur fatale dans sa démarche d'écologie industrielle (CLES), initiée en 2013 et comment cette initiative s'inscrit dans la stratégie du port qui vise à devenir, à l'horizon 2030, un acteur majeur de la décarbonation et un leader de l'économie circulaire.
Pour conclure, vous visiterez le Hub Energétique « Quai Jacoutot », point d’interconnexion stratégique des réseaux R-PAS et des réseaux de chaleur urbains. Le rôle du Hub est d’optimiser en continu la répartition de la chaleur provenant des sites industriels du port entre les différents consommateurs et répondre aux enjeux des réseaux multi-producteurs. Pour ce faire, le Hub met en œuvre un système de pilotage avancé faisant appel à l’IA. La présentation mettra en perspective cette réalisation avec le Schéma Directeur des Énergies de l'Eurométropole, montrant comment ce projet contribue concrètement à la décarbonation du territoire.

Découvrez la centrale hydroélectrique EDF de Strasbourg. En service depuis 1970, l'aménagement hydroélectrique EDF de Strasbourg est l'une des dix grandes centrales EDF du Rhin franco-allemand. La centrale « au fil de l'eau » est située en amont du port fluvial de Strasbourg. Elle est équipée de six groupes turbines d'une puissance totale de 150 mégawatts. Le circuit de visite permet de découvrir les écluses, les équipements de production hydroélectrique de la centrale et les installations de la passe à poissons.
Une pièce d'identité en cours de validité sera demandée pour accéder au site.

Sans faire de bruit, de grandes installations d'énergies renouvelables s'intègrent progressivement dans notre territoire pour décarboner de manière concrète les activités industrielles, en toute discrétion. Venez découvrir, dans cette grande boucle, trois installations exemplaires : une centrale solaire photovoltaïque flottante de 20 MWc, développée par Générale du Solaire à Leuttenheim ; une centrale solaire thermique de 1 200 m² qui fournit de l'eau chaude pour le lavage des cuves de camions de la société TIMMEL à Beinheim ; et enfin, la deuxième centrale de géothermie profonde de France à Rittershoffen, développée et exploitée par Électricité de Strasbourg, qui alimente un industriel de la région en chaleur haute température.

Fil conducteur de l'après-midi ? L'électricité ! Laissez-vous surprendre par cette visite toute en contraste, entre découverte bucolique d'une petite centrale hydroélectrique de 750 kW nichée depuis le début du XXème siècle au cœur du quartier de la Niederbourg et, à moins de 5 minutes, un centre commercial intégrant de nombreuses initiatives de transition écologique et énergétique, dont les ombrières photovoltaïques surplombant le parking en toiture des bâtiments.

Et si votre diagnostic de vulnérabilité devenait un vrai levier d’action ?

Pas toujours simple de s’approprier un diagnostic de vulnérabilité : parfois trop dense, parfois trop flou, souvent difficile à traduire en actions concrètes et locales.

Vous en avez déjà un sous la main, mais il vous semble impersonnel ou peu utile ? Vous préparez le prochain et ne savez pas par où commencer ? Cet atelier est fait pour vous.

Rejoignez notre atelier interactif pour découvrir les clés d'un diagnostic de vulnérabilité réussi ! En petits groupes, vous explorerez les grands défis de cet exercice : choisir les bons indicateurs, donner du sens aux données, prioriser les enjeux, raconter une histoire qui parle au territoire… Puis vous partagerez vos retours pour enrichir la vision collective.

Vous repartirez avec des repères concrets, un regard plus affûté, et des outils Facili-TACCT pour mieux piloter la suite. Un temps d’échange entre pairs, ancré dans le réel, pour sortir des diagnostics “standardisés” et construire une trajectoire d’adaptation qui vous ressemble.

***Important : atelier organisé dans le cadre de Facili-TACCT, le service qui outille les collectivités pour réaliser un diagnostic de vulnérabilité selon la méthode TACCT (Trajectoires d’adaptation au changement climatique des territoires), soutenue par l’ADEME. Il s’adresse en priorité aux chargés de mission “climat” des collectivités et territoires.*** Et si votre diagnostic de vulnérabilité devenait un vrai levier d’action ?

Pas toujours simple de s’approprier un diagnostic de vulnérabilité : parfois trop dense, parfois trop flou, souvent difficile à traduire en actions concrètes et locales.

Vous en avez déjà un sous la main, mais il vous semble impersonnel ou peu utile ? Vous préparez le prochain et ne savez pas par où commencer ? Cet atelier est fait pour vous.

Rejoignez notre atelier interactif pour découvrir les clés d'un diagnostic de vulnérabilité réussi ! En petits groupes, vous explorerez les grands défis de cet exercice : choisir les bons indicateurs, donner du sens aux données, prioriser les enjeux, raconter une histoire qui parle au territoire… Puis vous partagerez vos retours pour enrichir la vision collective.

Vous repartirez avec des repères concrets, un regard plus affûté, et des outils Facili-TACCT pour mieux piloter la suite. Un temps d’échange entre pairs, ancré dans le réel, pour sortir des diagnostics “standardisés” et construire une trajectoire d’adaptation qui vous ressemble.

***Important : atelier organisé dans le cadre de Facili-TACCT, le service qui outille les collectivités pour réaliser un diagnostic de vulnérabilité selon la méthode TACCT (Trajectoires d’adaptation au changement climatique des territoires), soutenue par l’ADEME. Il s’adresse en priorité aux chargés de mission “climat” des collectivités et territoires.***

Le Grand Est comprend 62 000 installations photovoltaïque (PV) de toutes tailles, une capacité installée de 1400 MW en 2023 et un taux de croissance du parc de 20 % par an.
Ainsi, c’est près de 300 MW qui sont installés chaque année, la moitié en toiture et l’autre moitié en parcs au sol. Un dynamisme qui place le Grand Est en tête des régions au Nord de la Loire en termes de capacité installée. Ce bilan flatteur se heurte cependant à un obstacle structurel : la filière peine à former et à recruter dans ce secteur en pleine croissance. En cause, des parcours souvent peu valorisés et insuffisamment identifiés par les futurs apprenants ainsi que les financeurs

Pour répondre à cette préoccupation, les représentants du secteur ainsi que les organismes de formation initiale et continue ont élaboré le projet « Les Potentiels Solaires ». Celui-ci vise à développer au cours des cinq prochaines années une offre de formation régionale au service la filière photovoltaïque afin d’encourager les carrières dans les métiers de la pose, de la maintenance ainsi que de l’exploitation de centrales villageoises.

Venez échanger sur les compétences professionnelles et les opportunités de carrière au sein de cette filière d'avenir !

Une ambition de séquestration carbone ? Un projet de plantation d’arbres en ville ? Une rénovation énergétique avec des matériaux issus du réemploi ou biosourcés ? Un besoin pour régénérer une forêt dégradée ?
Avez-vous déjà entendu parler de la contribution carbone locale ?
Il s’agit d’un levier nécessaire dans la lutte contre le changement climatique et pour l’atteinte de la neutralité carbone mondiale à l’horizon 2050. Elle permet de mobiliser des financements, via la vente de crédits carbone certifiés, pour des projets de réduction ou d’évitement des émissions de gaz à effet de serre, ou de développement de puits de carbone naturels (forêts, sols agricoles, zones humides), et ainsi permettre la transition écologique. Au niveau national, le label bas-carbone, porté par le Ministère de la Transition Écologique, assure la qualité et le suivi de ces projets.
En tant que contributeur, vous pouvez vous engager pour la régénération du territoire en soutenant financièrement des projets locaux, avec un impact mesurable, vérifiable et un fort pouvoir de transformation.
En tant que collectivité ou porteur de projet local, vous pouvez bénéficier d’un levier de financement innovant pour aider à financer vos projets bas-carbone.
Venez rencontrer les membres de la fédération des coopératives carbone et initiatives locales, la première association qui fédère les acteurs territoriaux de la contribution carbone au niveau national, et échangez sur vos idées de projets !

Territorialisation des COP, suivi des émissions de gaz à effet de serre, sobriété, mobilité, adaptation au changement climatique... En tant que territoire vous êtes quotidiennement sollicité pour rendre des comptes, planifier, organiser vos réponses stratégiques et opérationnelles aux enjeux climatiques ! Pourtant, de nombreux outils existent pour vous aider, et parmi les différents acteurs experts de la donnée, les Observatoires régionaux de l'énergie et du climat (OREC) sont à votre service pour fournir la donnée de référence territoriale, calculée de manière transparente et comparable sur tous les territoires. Cet atelier "Interactions" a pour objectif de vous permettre de mieux connaître le rôle des OREC, identifier celui de votre territoire, et mettre en visibilité les outils et les données qu'ils vous mettent à disposition, l'approche méthodologique choisie et les partenariats existants avec de nombreux dispositifs nationaux comme la plateforme TeT ou TerriSTORY. L'atelier permettra également de présenter les derniers travaux et avancées pilotés par le RARE, en lien avec l'ADEME, le CGDD et la DGEC, ou encore le SGPE, pour encore mieux appuyer les collectivités dans leurs dynamiques de planification bas-carbone et climat. Retrouvez-nous à Strasbourg lors des Assises de l'énergie 2025 !

Comment passer d'un concept législatif à l'échelle européenne à un projet concret à l'échelle d'un territoire ? Cet atelier vous présentera comment plusieurs acteurs, de différente nature et à différents niveaux d'intervention (national, départemental, intercommunal) coopèrent et s'articulent pour concrétiser l'ambition de développement des énergies renouvelables par et pour les citoyens. L'atelier s'appuiera ainsi le projet de coopération franco-italienne RECROSSES (programme Interreg ALCOTRA), dédié au développement des communautés d'énergie renouvelable, dont l'Association des Centrales Villageoises et l'ASDER sont partenaires. Ce projet permet d'accompagner l'émergence et le développement de collectifs citoyens comme les Centrales Villageoises Solely Brequin, qui portent des actions en faveur de la transition énergétique dans la vallée de la Maurienne. Les regards croisés des différentes parties prenantes permettront de clarifier le cadre juridique autour des communautés d'énergie, et de présenter le retour d'expérience d'un projet local et concret, en mettant en lumière les complémentarités des acteurs impliqués et les écueils et bonnes pratiques pour favoriser la réplication.

La France et l’Allemagne partagent l’objectif de zéro artificialisation nette (ZAN) d’ici 2050. Les deux pays reconnaissent l’enjeu de l’artificialisation excessive des sols et sont à la recherche de solutions adaptées. Cependant, leurs approches divergent en raison de structures étatiques différentes (centralisation en France vs fédéralisme en Allemagne) et de priorités distinctes en matière de gestion du foncier. Cet atelier portera un regard croisé franco-allemand sur la politique foncière. Il abordera brièvement les contextes législatifs des deux pays. Il traitera de la politique proactive contre l’artificialisation des sols en Allemagne intégrée dans ses stratégies de protection du climat et d'adaptation au changement climatique. Il mettra également l’accent sur les retours d’expériences de la mise en oeuvre du concept „Ville éponge“ très répandu dans les villes allemandes.
Cet atelier adoptera un format participatif, laissant la place à l’échange entre intervenant.e.s et participant.e.s, afin de favoriser une discussion enrichissante et collaborative.

Cet atelier propose de présenter les actions menées dans le financement des projets de la transition énergétique par Dijon métropole, d’organiser des temps de questions réponses entre « investisseurs privés » (les participants à l’atelier) et la « collectivité facilitatrice de la transition » (Dijon métropole) pour challenger le montage d’ensemble et des projets, partager les expériences, et participer aux partages des connaissances et à la réplication avec d’autres collectivité engagées dans la transition.

Les Services Territoriaux Intégrés de Rénovation, également connus sous l'acronyme OSS « one stop shops », sont un phénomène majeur dans le paysage de la rénovation menée par les citoyens (citizen-led renovation). Ce nouveau mandat européen se focalise sur la transcription des nouvelles obligations légales prévues par la EPBD. Cet atelier permettra d'explorer les solutions offertes par la coopération européenne, permettant d'accompagner les acteurs locaux dans la mise en oeuvre d'OSS. Les agences de l'énergie sont souvent les principaux acteurs derrière la réplication de ces services novateurs. La directive Européenne (EED) mentionne leur rôle en tant que facilitateurs des services territoriaux. Organisations indépendantes guidées par l'intérêt public, les agences accompagnent les collectivités, acteurs économiques et citoyens dans leurs démarches énergétiques. Cet atelier mettra en lumière des bonnes pratiques régionales issues des quatre coins d'Europe, et proposera aux participants un vademecum sur le développement de ces services afin de créer un environnement propice à la massification des rénovations. L'élément-clé du développement de ce service: la coopération européenne rendue possible par une communauté d'acteurs de tous horizons dans le cadre du projet EU PEERS. Ce workshop présentera différents outils: en particulier les projets européens (EU PEERS), la participation à un réseau pan-européen (FEDARENE), et le recours au fonds social pour le climat.

Face à l'impérieuse nécessité de réduire les émissions de gaz à effet de serre et à la crise énergétique, il est indispensable d'ac¬célérer la rénovation énergétique des bâtiments publics et d'agir rapidement sur les trois axes de la décarbonation : sobriété, efficacité énergétique et énergies renouvelables. Le contrat de performance énergétique (CPE) intègre ces trois dimensions, c'est un outil structurant qui permet de garantir des baisses d'énergie et de carbone significatives dans la durée, avec des gains financiers largement sécurisés. L'atelier commencera par une présentation générale de ce qu'est le CPE et comment le mettre en place, puis continuera par plusieurs retours d'expérience.

Nous vous invitons à rencontrer les acteurs à l'origine du jeu In extremis. L'atelier sera divisé en un temps d'échanges informels où créateurs (énergéticiens et auteurs de jeux) vous présenteront le travail commun pour concevoir les 16 expériences du jeu, toutes basées sur des systèmes politiques et/ou sociaux d'hier, d'aujourd'hui, ou... de demain !
Un deuxième sera immersif en devenant acteur des gouvernances possibles et en... jouant !

Comment amener l'ensemble des services de la ville à imaginer l'évolution des pratiques professionnelles d'ici 2050 en tenant compte des enjeux environnementaux ? Une question classique dans les collectivités, mais une réponse atypique à Blagnac. Pas d'expertise, pas de conférence, mais une « journée Cap transition écologique » 100% intelligence collective, émergence et partage d'idées... Nous avions constaté que des dispositifs de type « conférences » ou « fresques » pouvaient générer des émotions (colère/culpabilité/ anxiété...) rendant difficile la production d'idées et l'apport de solutions. La collectivité a choisi l'approche de l'Institut NégaWatt basée sur l'intelligence collective et la créativité. Nous sommes partis des ressentis « comment je vis ça, personnellement ? », « en quoi ça me concerne ? », « comment je peux contribuer dans mon métier ? » via des ateliers interactifs et des formats d'échanges variés pour faciliter la prise de parole. Autre particularité, un process en 3 étapes pour mobiliser tous les acteurs de la collectivité : début 2024, la constitution d'un réseau de 14 co-animateurs volontaires parmi nos agents formés par NégaWatt ; les 12 journées Cap entre le 6 juin et le 7 novembre ; enfin un séminaire élus/directeurs le 13 décembre pour la restitution et les suites à donner. Au total, 817 agents ont participé ; les contributions sont riches et les attentes fortes. Nous avons recueilli une évaluation de 4/5 de la part des agents.

Plaine Commune, territoire de 450 000 habitant·es en Seine-Saint-Denis, s'est engagé dans la révision anticipée de son plan climat en 2023 pour répondre à deux objectifs majeurs : réaliser des trajectoires carbone-énergie reposant sur des objectifs de politique publique clairs, ce afin d’avoir des objectifs d’atténuation pour chaque secteur (mobilité, tertiaire et logements), et changer d’échelle dans la transformation écologique.
La révision du plan climat a offert un cadre de réflexion partagé et permis à de nombreux élu·es et collègues de s’approprier les enjeux de transition écologique dans leurs domaines. Ce travail collectif a également permis d’approfondir des enjeux sur lesquels les politiques publiques manquent encore de structuration, à l’instar de la rénovation énergétique des logements ou des besoins de froid.
Enfin, il propose des reconfigurations importantes de nos politiques publiques afin de changer d’échelle. Si une partie de ces réflexions sont encore en cours, elles témoignent d’un enjeu majeur de la transition écologique : les cadres (juridiques et économiques) existants sont par endroits insuffisants et il faut les déborder, avec créativité et réalisme.
Dans cet atelier, nous aborderons tant la méthode de travail de cette révision, les résultats auxquels elle aboutit, et les réflexions encore en cours. Avec un objectif clair : que notre expérience puisse servir à d’autres, et contribuer ainsi à la massification des politiques de transition écologique.

La consommation des Français en électricité ne cesse d'augmenter. D'où provient l'électricité aujourd'hui et d'où proviendra t-elle dans 30 ans ? Afin de subvenir aux besoins des Français en électricité pour les 30 prochaines années tout en respectant les objectifs zéro carbone de l'État, quel mix électrique allez-vous composez ? La Course au Courant est un jeu de plateau collaboratif dans lequel les joueurs doivent collaborer pour composer le mix électrique français des 30 prochaines années. U

Le Grand Est comprend 62 000 installations photovoltaïque (PV) de toutes tailles, une capacité installée de 1400 MW en 2023 et un taux de croissance du parc de 20 % par an.
Ainsi, c’est près de 300 MW qui sont installés chaque année, la moitié en toiture et l’autre moitié en parcs au sol. Un dynamisme qui place le Grand Est en tête des régions au Nord de la Loire en termes de capacité installée. Ce bilan flatteur se heurte cependant à un obstacle structurel : la filière peine à former et à recruter dans ce secteur en pleine croissance. En cause, des parcours souvent peu valorisés et insuffisamment identifiés par les futurs apprenants ainsi que les financeurs

Pour répondre à cette préoccupation, les représentants du secteur ainsi que les organismes de formation initiale et continue ont élaboré le projet « Les Potentiels Solaires ». Celui-ci vise à développer au cours des cinq prochaines années une offre de formation régionale au service la filière photovoltaïque afin d’encourager les carrières dans les métiers de la pose, de la maintenance ainsi que de l’exploitation de centrales villageoises.

Venez échanger sur les compétences professionnelles et les opportunités de carrière au sein de cette filière d'avenir !

Et si votre diagnostic de vulnérabilité devenait un vrai levier d’action ?

Pas toujours simple de s’approprier un diagnostic de vulnérabilité : parfois trop dense, parfois trop flou, souvent difficile à traduire en actions concrètes et locales.

Vous en avez déjà un sous la main, mais il vous semble impersonnel ou peu utile ? Vous préparez le prochain et ne savez pas par où commencer ? Cet atelier est fait pour vous.

Rejoignez notre atelier interactif pour découvrir les clés d'un diagnostic de vulnérabilité réussi ! En petits groupes, vous explorerez les grands défis de cet exercice : choisir les bons indicateurs, donner du sens aux données, prioriser les enjeux, raconter une histoire qui parle au territoire… Puis vous partagerez vos retours pour enrichir la vision collective.

Vous repartirez avec des repères concrets, un regard plus affûté, et des outils Facili-TACCT pour mieux piloter la suite. Un temps d’échange entre pairs, ancré dans le réel, pour sortir des diagnostics “standardisés” et construire une trajectoire d’adaptation qui vous ressemble.

***Important : atelier organisé dans le cadre de Facili-TACCT, le service qui outille les collectivités pour réaliser un diagnostic de vulnérabilité selon la méthode TACCT (Trajectoires d’adaptation au changement climatique des territoires), soutenue par l’ADEME. Il s’adresse en priorité aux chargés de mission “climat” des collectivités et territoires.***

Une ambition de séquestration carbone ? Un projet de plantation d’arbres en ville ? Une rénovation énergétique avec des matériaux issus du réemploi ou biosourcés ? Un besoin pour régénérer une forêt dégradée ?
Avez-vous déjà entendu parler de la contribution carbone locale ?
Il s’agit d’un levier nécessaire dans la lutte contre le changement climatique et pour l’atteinte de la neutralité carbone mondiale à l’horizon 2050. Elle permet de mobiliser des financements, via la vente de crédits carbone certifiés, pour des projets de réduction ou d’évitement des émissions de gaz à effet de serre, ou de développement de puits de carbone naturels (forêts, sols agricoles, zones humides), et ainsi permettre la transition écologique. Au niveau national, le label bas-carbone, porté par le Ministère de la Transition Écologique, assure la qualité et le suivi de ces projets.
En tant que contributeur, vous pouvez vous engager pour la régénération du territoire en soutenant financièrement des projets locaux, avec un impact mesurable, vérifiable et un fort pouvoir de transformation.
En tant que collectivité ou porteur de projet local, vous pouvez bénéficier d’un levier de financement innovant pour aider à financer vos projets bas-carbone.
Venez rencontrer les membres de la fédération des coopératives carbone et initiatives locales, la première association qui fédère les acteurs territoriaux de la contribution carbone au niveau national, et échangez sur vos idées de projets !

Territorialisation des COP, suivi des émissions de gaz à effet de serre, sobriété, mobilité, adaptation au changement climatique... En tant que territoire vous êtes quotidiennement sollicité pour rendre des comptes, planifier, organiser vos réponses stratégiques et opérationnelles aux enjeux climatiques ! Pourtant, de nombreux outils existent pour vous aider, et parmi les différents acteurs experts de la donnée, les Observatoires régionaux de l'énergie et du climat (OREC) sont à votre service pour fournir la donnée de référence territoriale, calculée de manière transparente et comparable sur tous les territoires. Cet atelier "Interactions" a pour objectif de vous permettre de mieux connaître le rôle des OREC, identifier celui de votre territoire, et mettre en visibilité les outils et les données qu'ils vous mettent à disposition, l'approche méthodologique choisie et les partenariats existants avec de nombreux dispositifs nationaux comme la plateforme TeT ou TerriSTORY. L'atelier permettra également de présenter les derniers travaux et avancées pilotés par le RARE, en lien avec l'ADEME, le CGDD et la DGEC, ou encore le SGPE, pour encore mieux appuyer les collectivités dans leurs dynamiques de planification bas-carbone et climat. Retrouvez-nous à Strasbourg lors des Assises de l'énergie 2025 !

La vallée de Chamonix est un territoire où les changements climatiques se manifestent de manière spectaculaire dans le paysage. Quelques acteurs locaux, conscients de leurs impacts potentiels sur ces mutations, ont initié leur Bilan Carbone. C’est le cas de la Communauté de Communes, qui souhaite adapter sa politique de promotion touristique selon ce critère. C’est aussi le cas de la Compagnie des Guides, pionnière en la matière, qui voit sa stratégie carbone produire ses progrès année après année… mais également plafonner en fonction de la nature même de ses activités. En effet, par définition, le tourisme implique un déplacement hors de son domicile. De renommée internationale, Chamonix attire des visiteurs venus du monde entier, et donc arrivés par avion. Dans sa dernière version parue en 2024, le Bilan Carbone de la Compagnie des Guides indique que 99% de son empreinte est attribuable à la venue des touristes jusqu’à Chamonix, dont 78% aux seuls 31% de clients venus en avion.
Cet atelier vise à faire réfléchir les participants sur les pistes possibles pour un tourisme décarboné, autour de deux options principales :
- Quelles solutions inciteraient les touristes à préférer des modes de transport plus durables : offres combinées, tarifs préférentiels, compensation, ... ?
- Est-ce que des contraintes fortes (quotas, interdictions, taxes, …) sont envisageables ?
Rejoignez-nous pour imaginer ces solutions… et les facteurs de réussite pour leur mise en œuvre effective !

De nombreuses collectivités souhaitent développer des projets d'autoconsommation collective (ACC) mais les modalités de mise en oeuvre sont parfois encore mal maîtrisées : Quelle puissance installer pour sa centrale ? Quelle clé de répartition choisir ? Quelles économies attendre ? Quels acteurs solliciter et quels sont leur rôle ? Le réseau Les Générateurs Grand-Est vous propose de co-construire les modalités techniques de votre opération d'ACC patrimoniale : à travers des outils visuels, vous pourrez apprécier l'opportunit

Cet atelier challenge explore les moyens de concrétiser le potentiel d'effacement électrique pour les bâtiments des collectivités locales. Face aux obstacles techniques, financiers, et organisationnels qui freinent la mise en place d'un contrat d'effacement, les participants travailleront ensemble pour identifier des solutions innovantes et pragmatiques. Après une présentation des principaux

Les fonds de partage de la valeur visent à redistribuer une part des bénéfices des projets d'énergies renouvelables (EnR) pour soutenir la biodiversité et les territoires. Cet atelier explorera leur potentiel à renforcer la désirabilité des EnR en les inscrivant dans une dynamique locale et en s'inspirant d'initiatives européennes similaires. Déroulé de l'atelier (1h30) : Introduction - Présentation des fonds de partage de la valeur et de leur rôle dans la conciliation entre transition énergétique et protection de la biodiversité, avec un regard croisé sur les approches européennes. Identification des enjeux locaux - En groupes, les participants analysent freins et opportunités en adoptant la perspective de divers acteurs (élus, citoyens, associations, développeurs...). Co-construction de solutions - Élaboration collective de fiches projets détaillant la répartition des fonds, la gouvernance, les types d'initiatives financées et leurs impacts sur la désirabilité des EnR. Restitution et synthèse - Présentation des propositions et échange collectif pour tirer des enseignements des modèles européens. Cet atelier offrira un espace d'échange sur les bonnes pratiques, en croisant expériences locales et européennes, et permettra de partager les travaux du WWF.

Le Grand Est comprend 62 000 installations photovoltaïque (PV) de toutes tailles, une capacité installée de 1400 MW en 2023 et un taux de croissance du parc de 20 % par an.
Ainsi, c’est près de 300 MW qui sont installés chaque année, la moitié en toiture et l’autre moitié en parcs au sol. Un dynamisme qui place le Grand Est en tête des régions au Nord de la Loire en termes de capacité installée. Ce bilan flatteur se heurte cependant à un obstacle structurel : la filière peine à former et à recruter dans ce secteur en pleine croissance. En cause, des parcours souvent peu valorisés et insuffisamment identifiés par les futurs apprenants ainsi que les financeurs

Pour répondre à cette préoccupation, les représentants du secteur ainsi que les organismes de formation initiale et continue ont élaboré le projet « Les Potentiels Solaires ». Celui-ci vise à développer au cours des cinq prochaines années une offre de formation régionale au service la filière photovoltaïque afin d’encourager les carrières dans les métiers de la pose, de la maintenance ainsi que de l’exploitation de centrales villageoises.

Venez échanger sur les compétences professionnelles et les opportunités de carrière au sein de cette filière d'avenir !

Et si votre diagnostic de vulnérabilité devenait un vrai levier d’action ?

Pas toujours simple de s’approprier un diagnostic de vulnérabilité : parfois trop dense, parfois trop flou, souvent difficile à traduire en actions concrètes et locales.

Vous en avez déjà un sous la main, mais il vous semble impersonnel ou peu utile ? Vous préparez le prochain et ne savez pas par où commencer ? Cet atelier est fait pour vous.

Rejoignez notre atelier interactif pour découvrir les clés d'un diagnostic de vulnérabilité réussi ! En petits groupes, vous explorerez les grands défis de cet exercice : choisir les bons indicateurs, donner du sens aux données, prioriser les enjeux, raconter une histoire qui parle au territoire… Puis vous partagerez vos retours pour enrichir la vision collective.

Vous repartirez avec des repères concrets, un regard plus affûté, et des outils Facili-TACCT pour mieux piloter la suite. Un temps d’échange entre pairs, ancré dans le réel, pour sortir des diagnostics “standardisés” et construire une trajectoire d’adaptation qui vous ressemble.

***Important : atelier organisé dans le cadre de Facili-TACCT, le service qui outille les collectivités pour réaliser un diagnostic de vulnérabilité selon la méthode TACCT (Trajectoires d’adaptation au changement climatique des territoires), soutenue par l’ADEME. Il s’adresse en priorité aux chargés de mission “climat” des collectivités et territoires.***

Une ambition de séquestration carbone ? Un projet de plantation d’arbres en ville ? Une rénovation énergétique avec des matériaux issus du réemploi ou biosourcés ? Un besoin pour régénérer une forêt dégradée ?
Avez-vous déjà entendu parler de la contribution carbone locale ?
Il s’agit d’un levier nécessaire dans la lutte contre le changement climatique et pour l’atteinte de la neutralité carbone mondiale à l’horizon 2050. Elle permet de mobiliser des financements, via la vente de crédits carbone certifiés, pour des projets de réduction ou d’évitement des émissions de gaz à effet de serre, ou de développement de puits de carbone naturels (forêts, sols agricoles, zones humides), et ainsi permettre la transition écologique. Au niveau national, le label bas-carbone, porté par le Ministère de la Transition Écologique, assure la qualité et le suivi de ces projets.
En tant que contributeur, vous pouvez vous engager pour la régénération du territoire en soutenant financièrement des projets locaux, avec un impact mesurable, vérifiable et un fort pouvoir de transformation.
En tant que collectivité ou porteur de projet local, vous pouvez bénéficier d’un levier de financement innovant pour aider à financer vos projets bas-carbone.
Venez rencontrer les membres de la fédération des coopératives carbone et initiatives locales, la première association qui fédère les acteurs territoriaux de la contribution carbone au niveau national, et échangez sur vos idées de projets !

Territorialisation des COP, suivi des émissions de gaz à effet de serre, sobriété, mobilité, adaptation au changement climatique... En tant que territoire vous êtes quotidiennement sollicité pour rendre des comptes, planifier, organiser vos réponses stratégiques et opérationnelles aux enjeux climatiques ! Pourtant, de nombreux outils existent pour vous aider, et parmi les différents acteurs experts de la donnée, les Observatoires régionaux de l'énergie et du climat (OREC) sont à votre service pour fournir la donnée de référence territoriale, calculée de manière transparente et comparable sur tous les territoires. Cet atelier "Interactions" a pour objectif de vous permettre de mieux connaître le rôle des OREC, identifier celui de votre territoire, et mettre en visibilité les outils et les données qu'ils vous mettent à disposition, l'approche méthodologique choisie et les partenariats existants avec de nombreux dispositifs nationaux comme la plateforme TeT ou TerriSTORY. L'atelier permettra également de présenter les derniers travaux et avancées pilotés par le RARE, en lien avec l'ADEME, le CGDD et la DGEC, ou encore le SGPE, pour encore mieux appuyer les collectivités dans leurs dynamiques de planification bas-carbone et climat. Retrouvez-nous à Strasbourg lors des Assises de l'énergie 2025 !

Depuis mai 2024, 10 territoires de France expérimentent l'urbanisme favorable à la santé. Cette approche de l'aménagement permet de s'engager dans la transition écologique tout en prenant soin de la santé des habitantes et habitants. Accompagnés par un dispositif innovant imaginé par l'ADEME et l'Ecolab (laboratoire d'innovation du Ministère de la Transition Ecologique) - et dont le Cerema, l'Inca et Santé Publique France sont partenaires - ces territoires ont été suivis et conseillés par des experts pour concrétiser leur projet. Ces expérimentations terrain, nommées « Expé URBA SanTé » témoignent, de par leur diversité de taille et de projet (mobilité active, végétalisation, aménagement temporaire...), de l'étendue des approches permettant de promouvoir un Urbanisme Favorable à la Santé. Une large place est faite à l'évaluation, afin de qualifier au mieux les co-bénéfices entre transition écologique et enjeux de santé et bien-être. Sur cet atelier, en plus d'un aperçu global du dispositif « Expé URBA SanTé », nous aurons le témoignage de 2 lauréats : - Le village de Pont de l'Arche en Normandie, qui rénove intégralement son école en prenant en compte toutes les dimensions de la santé et de la transition écologique - L'Eurométropole de Strasbourg, qui implique des jeunes de quartiers prioritaires de la ville pour définir avec eux des aménagements favorables à leur santé

L'installation d'un projet de méthanisation dans une commune est à la croisée de nombreux enjeux : réglementaires, de transition énergétique, de production d'énergie renouvelable, de valorisation des déchets organiques, d'acceptabilité. Le développement d'un tel projet prend du temps, est soumis à un cadre réglementaire très stricte, et suscite souvent beaucoup de questions de la part des acteurs locaux (élus, riverains, associations).

Cet atelier a pour but de vous livrer le témoignage d'un maire qui va accueillir d'ici quelques mois une unité de méthanisation développée par CVE Biogaz sur sa commune. Pierre Boileau, Maire de Ludres, vous expliquera son positionnement, son rôle et son implication depuis la genèse du projet, les atouts identifiés pour son territoire, la relation construite avec le porteur de projet, les défis qu'il a pu rencontrer en tant que maire et la manière dont il les a relevés.

Aujourd'hui, de nombreuses collectivités s'intéressent à la filière méthanisation sans pour autant en connaître toutes les spécificités. Ce précieux retour d'expérience aura donc vocation à éclairer le chemin de ceux qui veulent s'engager pour la transition écologique et prendre la route de la méthanisation

Présentation des retours d'expérience de projets d'infrastructures énergétiques du territoire (production, distribution, efficacité) , travaillés en collaboration entre : acteur privé, collectivité (ou acteur du territoire), Fond Régionaux de la Transition Energétique. Les fonds régionaux sont des sociétés parapubliques, disposant d'un actionnariat des Conseils Régionaux, ayant pour mission d'investir dans la transition énergétique à la maille de leurs régions. Ils sont fédérés par l'association FRTE. Les fonds régionaux sont les partenaires des collectivités dans la mise en oeuvre des projets : représentation des collectivités dans la gouvernance, actions de développement en lien avec les besoins des territoires, investissement court ou long terme sur les projets. L'objectif de l'intervention est de présenter des REX de besoins du territoire et les réponses apportées par les FRTE (H2, ENR thermique, Rénovation, ENR électrique, Méthanisation), pour construire des projets répondant aux intérêts des collectivités et Companies, en partageant au mieux la valeur. Situations : Une collectivité : 1. Sollicitée par un développeur pour déployer un projet ; 2. Souhaitant valoriser son patrimoine ; 3. Souhaitant mettre en oeuvre la transition, sans savoir par où commencer ; 4. Souhaitant accompagner les acteurs de son territoire. Intervenants : AREC CVL, AREC Occitanie, Energies HDF, Grand Est Energies, SEM BREIZH.

En février 2023, l’ADEME et la Région Grand Est ont signé la toute première « Convention de Transition écologique » de France permettant la délégation à la Région Grand Est d’une partie du « fonds chaleur » dont dispose l’ADEME Grand Est.
L’ADEME et la Région Grand Est, déjà partenaires au travers du programme commun Climaxion, ont renforcé leur collaboration avec cette délégation de 24 millions d’euros sur 3 ans, à laquelle s’ajoute une enveloppe « animation » de près d’1 million d’euros pour mettre en place l’ingénierie nécessaire à la gestion de ce fonds.
Ce partenariat permet à la Région Grand Est de renforcer sa politique de proximité en accompagnant les acteurs du territoire régional qui portent des projets de production d’énergies thermiques renouvelables de petite puissance. Il s’inscrit pleinement dans l’ambition de la Région d’être Région à énergie positive et bas carbone d’ici 2050.

L'évolution du système électrique, tirée par les perspectives d'électrification des usages et le développement des énergies renouvelables ajouté au nucléaire, rend essentiel le développement de la flexibilité des consommations du quotidien. C'est-à-dire la possibilité de décaler et de moduler les consommations électriques, au cours d'une même journée, chaque jour de l'année. Utiliser les leviers de l'efficacité, de la sobriété et de la flexibilité permettra d'optimiser l'utilisation du système électrique et d'éviter des développements de réseaux. L'efficacité et la sobriété diminuent le niveau global de consommation. La flexibilité permet d'optimiser le placement de la consommation, pour utiliser au mieux l'énergie décarbonée quand elle est disponible, et limiter la consommation lors des périodes de pointe, matin et soir. En tirant parti d'un gisement déjà significatif dans les secteurs tertiaires et résidentiels, le développement des flexibilités de consommation peut offrir dès aujourd'hui, au travers de faibles investissements, des bénéfices pérennes pour les consommateurs et pour la collectivité. Quels leviers pour inciter les consommateurs à accepter un pilotage « automatisé » de leurs consommations ? Quels gains pour les Companies et les collectivités locales, pour les particuliers ? Quels bénéfices pour la collectivité ? Quelles solutions techniques ?

L'hydrogène prend de plus en plus d'importance en tant que vecteur énergétique pour un approvisionnement futur en énergie décarbonée. Cet atelier commencera par une présentation du potentiel en hydrogène et des besoins en hydrogène dans la région frontalière entre la France, la Suisse et l'Allemagne. Il sera suivi d'un atelier guidé et interactif, où les participant·e·s analyseront et évalueront les besoins en hydrogène selon les régions et les secteurs, et apporteront leur vision sur la montée en puissance de l'économie de l'hydrogène.

Comment réussir la transition énergétique sur un parc de près de 1 800 bâtiments ?

Dans un environnement de plus en plus complexe, la maîtrise énergétique d'un patrimoine aussi vaste et diversifié que celui de l'Eurométropole et la Ville de Strasbourg est un vrai défi.

De la stratégie globale à l'accompagnement humain en passant par les rénovations d'ampleur, le sujet, colossal, se décline dans toutes les directions.

Tour d'horizon à 360° des actions lancées à Strasbourg : définition de la trajectoire énergétique, réorganisation interne, plan de sobriété, nouveaux marchés et logiciels dédiés, simplification de l'exploitation technique, contrats de performance énergétique, relamping...

Cet atelier mettra en avant des exemples concrets de réalisation et retours d'expériences. Il permettra également de partager les démarches de chacun sur le sujet.

Le Serious Game LIFE V-aiR a été développé pour acculturer les décideurs aux problématiques air-climat-énergie de façon innovante et ludique en utilisant un casque de réalité virtuelle. Venus à bord du vaisseau Blue Sky Explorer d'un futur où la pollution de l'air et le changement climatique font toujours plus de morts, le pilote et son équipage ont l'opportunité de remonter le temps pour redresser leur territoire en choisissant diverses actions d'amélioration sur la mobilité, l'agriculture, l'énergie, l'air intérieur etc. Parmi les modules sectoriels disponibles, l'un est dédié à la demande énergétique du territoire, ce sera le sujet de cet atelier : le joueur doit trouver l'équilibre le plus vertueux parmi plusieurs sources de production d'énergie disponibles, dans le respect des objectifs territoriaux et des ressources primaires. Le jeu utilise les données locales des régions et territoires, ce qui permet d'être vraiment adapté aux problématiques et ressources de chaque joueur selon son territoire. Le jeu a été développé dans le cadre du Programme européen LIFE par un consortium international d'experts de l'air, du climat, de la sensibilisation, de la communication, de la gamification et de la VR. Il est disponible en anglais, français, allemand, espagnol et roumain. D'autres langues sont possibles. La résolution du module est faite en binôme et dure 15 à 20 minutes, un planning d'inscriptions sera mis en place pour une meilleure fluidité.

Entre 2024 et 2030 les collectivités territoriales devront au moins doubler leurs investissements climatiques pour respecter les trajectoires de neutralité carbone définies dans la SNBC. Dans une étude co-portée avec la Banque Postale l'Institut pour l'Economie du Climat (I4CE) estime à 11Md?/an l'investissement supplémentaire qui incomberait aux collectivités territoriales sur cette période. Dans un contexte d'austérité budgétaire et de forte pression sur l'équilibre des finances locales, les collectivités doivent pouvoir estimer le coût de leur action climatique pour éclairer la décision et intégrer ces actions à leur programmation budgétaire pour le prochain mandat. Dans le cadre d'une démarche co-pilotée par I4CE et Bordeaux Métropole, 11 collectivités ont participé à l'élaboration d'une méthodologie visant à guider pas à pas les collectivités de l'estimation du coût de leur action climatique à l'intégration dans les divers exercices de programmation. L'ensemble des outils issus de cette démarche sont mis à disposition des collectivités territoriales pour permettre leur appropriation par le plus grand nombre. Venez découvrir nos résultats et échanger sur leur déclinaison dans votre collectivité. Atelier organisé par I4CE et Bordeaux Métropole avec la participation de collectivités pilotes de la démarche.

Pour piloter leur transition écologique et suivre l'atteinte de leurs objectifs, les collectivités sont confrontées à d'importants défis en matière de reporting et de communication. Ces difficultés émergent de la multiplicité des référentiels et dispositifs de suivi des plans et projets du territoire, avec de nombreux indicateurs collectés en doublon et des process très chronophages de collecte, traitement et partage des données selon différents formats. Face à ces enjeux, les collectivités ont besoin de réinventer leur organisation, en mettant l'accent sur la transversalité et la mutualisation entre les services, en rationalisant les process relatifs à la gestion des données et en harmonisant les formats des indicateurs. Ce processus de transformation de l'organisation conduit également à s'interroger sur les différents outils collaboratifs qui peuvent l'accompagner et le faciliter. L'atelier sera organisé sous la forme d'un retour d'expérience et d'un échange sur une expérimentation conduite sur ces enjeux pendant près d'une année au sein des services de la Communauté Urbaine de Dunkerque, avec l'appui de l'Institut Efficacity.

Quelle place pour les ""communs numériques"" dans l'intermédiation numérique nécessaire à la mise en place de circuit-court de l'énergie ?

Lors de cet atelier, plusieurs acteurs se réunissent pour une table ronde présentant les spécificités et les enjeux de l'intermédiation numérique dans la mise en oeuvre de circuit-court de l'énergie et particulièrement des opérations d'autoconsommation collective. Si les circuit-courts sont facteurs de résilience face aux alés à la fois du marché de l'énergie et d'un réseau d'infrastuctures centralisées, comment éviter d'être tributaire de solutions numériques propriétaire et... centralisée ?

A travers ces échanges, l'atelier vise à partager les possibles pour la création et le partage de « commun numérique » au service de la transition énergétique, que ce soit en terme technique que d'inovation sociale tant sur les aspects de gouvernance que de solidarité.

Que ce soit à travers des collectivités locales, des coopératives citoyenns, des acteurs économiques et du numérique, venez découvrir les enjeux de la place du numérique dans les circuit-court de l'énergie.

Face aux enjeux environnementaux et sociétaux inédits, la mobilité quotidienne évolue et se réinvente. Cet atelier explore les alternatives à la voiture individuelle en mettant en lumière des solutions innovantes et éco-conçues : véhicules intermédiaires plus légers, accessibles et respectueux de l’environnement, mais aussi des pratiques de mobilité partagée telles que les transports collectifs, le covoiturage, le vélo en libre-service et l’auto-partage.

Comment combiner ces options pour répondre aux besoins variés des habitants, qu’ils soient en milieu urbain, périurbain ou rural ? Quels défis et opportunités ces nouvelles formes de déplacement posent-elles pour nos infrastructures et nos espaces publics ? Autant de questions essentielles auxquelles répondront nos intervenants en s’appuyant sur des projets concrets et des initiatives inspirantes.

Le serious game Osez l'Ecologie Industrielle et Territoriale se joue à l'aide d'un plateau de jeu et de cartes. Le format est adapté pour être conforme à la durée de 1 heure proposée dans le cadre des Assises. Chaque animateur est en mesure d'animer un groupe de 8 participants. Initiatives Durables est en mesure d'animer 2 groupes en parallèle (soit 16 personnes). Ludique et participatif, ce format permet d'envisager les coopérations territoriales comme un levier opérationnel de la transition énergétique. Ce format est inspirant et engage les acteurs à passer à l'action. A l'occasion de ce jeu, Initiatives Durables propose de partager des retours d'expérience inspirants de synergies développées sur les enjeux énergie et décarbonation sur différents territoires. > Découvrir l'Écologie Industrielle et Territoriale, levier de performance collective ; > Réfléchir à la mise en oeuvre de synergies entre les différents acteurs d'un territoire ; > S'inspirer d'exemples concrets. L'animation participative proposée permettra aux participants d'explorer des coopérations et synergies portant sur les enjeux énergétiques et de décarbonation. Plus généralement, l'ensemble des ressources suivantes peuvent être intégrées aux réflexions des participants, toujours sous l'angle de la transition énergétique : optimisation de l'utilisation des ressources matières, déchets, eau, énergie, compétences et leurs mutations, services et infrastructures (dont la logistique).

Dans un monde en quête de solutions durables, les gaz renouvelables se révèlent comme une réponse prometteuse aux défis énergétiques et environnementaux. Rejoignez-nous pour une conférence où des experts reconnus partageront leurs visions et leurs expériences.

Cet atelier consistera en un retour d'expérience de la démarche de transition écologique entreprise par la Direction de la culture de la Ville et de l'Eurométropole de Strasbourg.
L'objectif sera de restituer comment une Direction composée de 870 agent.es a opéré un vaste mouvement de transition en faisant des contraintes imposées par la transition écologique, une opportunité de changement et de réinterprétation de ses pratiques professionnelles.

Cet atelier s'articulera autour des 4 axes suivants :
1. FORMER les acteurs culturels aux enjeux de la transition écologique : la Classe Climat
2. TRANSFORMER les pratiques professionnelles des agent.es grâce à une dynamique d'entrainement collectif : les P.O.T.E.s
3. RACONTER la transition écologique de la culture afin de véhiculer un récit désirable et transformer les imaginaires
4. DEPLOYER les enjeux de transition écologique au-delà du seul territoire strasbourgeois afin de favoriser collectivement la transformation du secteur culturel

Le contenu de l'atelier sera articulé autour d'un retour d'expérience franc et (on l'espère) inspirant sur les forces, difficultés, résultats et perspectives d'une démarche d'accompagnement au changement autour des enjeux de transition écologique.

Lors de cet atelier, vous apprendrez et discuterez des concepts liés à la tarification du CO2 et de la manière dont vous pouvez utiliser ce concept pour réduire les émissions de CO2.
Les ateliers commenceront par une explication du concept, suivie d’un échange interactif. La stratégie de tarification du CO2 en cours d’élaboration dans le cadre du projet Interreg DeCarb-Pro servira de base pour cette discussion. Un exemple tiré de l’un des partenaires de DeCarb-Pro sera présenté pour illustrer une application concrète destinée aux autorités locales.

La déclinaison locale du projet TIMS, SEMIS (Solutions pour une Eco-Mobilité Inclusive au sein de l'Eurométropole de Strasbourg) prévoit plusieurs actions : 1-sensibilisation à la ZFE-m auprès des publics précaires, habitants des QPV ; 2-renforcement de l'accompagnement individualisé de ces publics par le biais de conseils en mobilité décarbonée ; 3-sensibilisation et accompagnement au changement de comportement d'agents de l'Eurométropole, aux métiers et fonctions techniques et contraintes organisationnelles fortes. L'atelier sera dédié aux réflexions concernant cette 3ème action. Après un an de déploiement et des premiers constats : les outils initiaux montrent leurs limites, une réflexion est lancée pour repenser la manière d'aborder le sujet de la mobilité. Le but : sensibiliser aux enjeux et orienter massivement vers des changements de pratiques durables et décarbonées. Plusieurs critères servent de guides dans cette réorientation stratégique : -Conserver l'essence de l'accompagnement, déployée auprès d'une partie des agents, garantissant une cohérence aux étapes suivantes, -Toucher efficacement et faire adhérer les personnes accompagnées, en construisant un accompagnement permettant une montée en puissance des actions menées, ciblant un report modal des déplacements Cet atelier sera l'occasion de croiser les expertises et partager les expériences pour identifier des clés permettant de construire le format de l'accompagnement de demain

Alors que les objectifs nationaux de développement des EnR sont de plus en plus élevés, les collectivités se retrouvent au coeur du développement des projets via la régionalisation des objectifs PPE ou encore les zones d'accélération définies à l'échelle communale. Au-delà de leur rôle pilote d'aménagement du territoire, la question se pose des avantages qu'elles peuvent en retirer. En effet, l'enjeu est de transformer ces projets énergétiques en projets de territoires et d'en faire des opportunités de développement de ces derniers. À travers un format participatif en petits groupes de réflexion, cet atelier vise à faire émerger les pistes de solutions qui permettent de créer des boucles locales vertueuses (financières, énergétiques, sociales...) autour des projets d'EnR. Pourront être abordés des montages participatifs tels que l'autoconsommation, les communautés d'énergie, mais aussi l'implication des citoyens via le financement participatif, des mécanismes financiers comme l'intracting, ou toute autre solution innovante. De nombreuses possibilités existent pour créer de véritables projets ancrés sur les territoires afin de s'engager collectivement dans la transition énergétique. Il s'agira de les mettre en avant et d'échanger autour de leur faisabilité. AMORCE, association de collectivités engagées dans la transition écologique et énergétique de leur territoire, apportera son expertise et l'expérience de ses adhérents pour alimenter les réflexions lors de cet atelier.

L’Union Européenne envisage une nouvelle architecture pour son budget à long terme post 2027 qui comprendrait des plans nationaux à la manière du plan de relance et résilience. Comment s’assurer qu’ils reflètent la réalité des besoins et stratégies des territoires ? Jusqu'à maintenant les stratégies énergie, climat et adaptation sont très « top down » : des objectifs sont fixés au niveau européen, puis la ""l’effort "" est partagé entre les États membres qui élaborent une stratégie nationale, parfois déclinée au niveau régionale, sans lien avec la planification locale. Pourtant, les collectivités ont des obligations de planification climat air énergie, eau, déchets, sols. Comment inverser l’exercice de planification et partir des besoins locaux réels et des ressources locales disponibles pour construire les planifications régionales, nationales puis européennes ?
L'atelier permettra de construire ensemble des propositions concrètes de gouvernance multi-niveaux de planification, de financement, et de mise en œuvre du futur budget européen pour sortir des logiques sectorielles et du financement projet par projet pour soutenir des plans locaux d'investissement multi-annuel.

La rénovation énergétique des bâtiments est une thématique centrale dans la lutte contre le dérèglement climatique. Ce concept nécessite beaucoup de moyens humains et financiers (subventions privées et/ou publiques), qui peuvent être gaspillés totalement ou en partie, si en amont, on ne se pose pas la question des risques climatiques. Par exemple, une isolation ou une pompe à chaleur qui vient d'être posée dans un sous-sol peut être détruite par une inondation. Comment donc intégrer les risques climatiques dans l'accompagnement à la rénovation de bâtiments ? Et comment former les artisans sur cette thématique ? Lors de l'atelier, trois exemples d'intégration seront présentés, suivis par deux groupes de travail. Kai HÜNEMÖRDER, Chambre des métiers de Hambourg : Prise en compte des risques climatiques lors du conseil à la rénovation, à travers des expositions et des animations, à l'attention des artisans et particuliers. Vincent MESNARD (INGEDAIR) pour Climaxion : Intégration des risques climatiques dans l'accompagnement des projets subventionnés par Climaxion. Chloé LE SAUX pour l'Agence du Climat sur l'EMS : Et si rénover son logement était une occasion unique pour s'adapter au changement climatique ? Présentation d'un outil développé pour les conseillers de l'Agence du Climat Groupe de travail 1 : Comment intégrer les risques climatiques dans l'accompagnement à la rénovation de bâtiments ? Groupe de Travail 2 : Comment former les artisans sur cette thématique ?

Les projets de la transition énergétique sont régulièrement source de conflits. Une tension se crée souvent entre un développeur, et les acteurs du territoire d'accueil du projet.

Une concertation, obligation légale, est mise en place pour permettre aux habitants de s'exprimer. Mais dans quel mesure engage-t-il un veritable dialogue entre les parties?

La médiation, avec ses outils de gestion de conflit, propose le recours à un tiers formé, extérieur au conflit (ou au conflit potentiel). Le médiateur permettra d'engager un dialogue, de chercher les causes, identifier des besoins et des intérêts et dessiner un chemin qui permette de dépasser les blocages, en renouant le dialogue.

La médiation n'est pas une baguette magique qui permettra d'aligner les habitants sur un projet prédéfini, mais moyennant un effort de flexibilité de chacun des parties, elle peut fortement réduire la conflictualité des projets.

Cet atelier sera un moment d'échanges entre médiateurs spécialisé dans l'environnement et les porteurs de projets. Les buts de l'échange sont accueillir un partage d'expériences des porteurs de projets et des collectivités autour des méthodes de gestion de conflit, et d'éclaircir ce qu'apporte la médiation. Nous identifierons ensemble les besoins pour mieux avancer vers la résolution des conflits des projets de la transition énergétique. Venez avec des exemples concrèts de bloquages que nous pourrions examiner ensemble avec l’oeil médiateur!

La transition est un processus démocratique, territorialisé, de conduite de changement. Cartographier les parties prenantes, créer les conditions de leur engagement, accueillir et écouter leurs points de vue, analyser leur intérêt et leur difficulté à contribuer aux transformations à l'œuvre est une nécessité. Mais comment faire sans s'embourber dans des conflits indépassables ? Où sont les freins et les blocages structurels et comment les dépasser utilement ? L'atelier vise à partager un certain nombre de principes clés issus de l'expérience d'accompagnement de la Fabrique des transitions ainsi que des éléments de méthode utilisés pour y parvenir, et dans une dynamique interactive, cherchera à instruire quelques cas de figure rencontrés par les participants afin d'y réfléchir collectivement.

L'objectif de l'atelier est de partager avec les participants la stratégie énergétique, environnementale, agricole, alimentaire et sociale mise en place autour du biochar dans le cadre du projet de maraîchage urbain l'Ill des Terres Nouvelles en construction à Strasbourg, d'interagir sur d'autres expériences menées autour du biochar et d'évaluer ensemble les possibilités de dupliquer le modèle dans d'autres villes. Partie 1 : Le contexte original du projet Ill des Terres Nouvelles qui mixe production de légumes bio, production de biochar, valorisation en local des biodéchets du quartier et actions pédagogiques au coeur du quartier * La puissance de la solution biochar pour les sols, le climat et l'énergie * L'innovation technique : essais en cours / résultats attendus | Partie 2 : Echange sur les perspectives du modèle * Conditions de succès * Opportunités de déclinaison du modèle * Echange d'expérience sur des initiatives similaires

Face à l’impératif de décarbonation du système énergétique, la flexibilité électrique devient un levier essentiel pour l’équilibre offre-demande, notamment à l’échelle territoriale. Dans ce contexte, la marque collective Flex Ready®, portée par l’association Think Smartgrids, propose une réponse concrète aux obstacles techniques et organisationnels freinant le déploiement de la flexibilité dans les bâtiments tertiaires.
L’atelier présentera cette initiative innovante, qui vise à standardiser les échanges entre bâtiments, opérateurs énergétiques et acteurs de la flexibilité, tout en valorisant les retours d’expérience issus des premières expérimentations dans les territoires.
Objectifs de l’atelier :
- Présenter la marque Flex Ready®, ses principes, sa gouvernance, et son utilité pour les territoires ;
- Mettre en lumière des projets de flexibilité existants, portés par des acteurs publics et privés;
- Identifier les freins et leviers au déploiement de la flexibilité, via des ateliers participatifs ;
- Partager les dispositifs d’accompagnement techniques et financiers disponibles pour les collectivités, en particulier les plus rurales ou moins dotées.

L'Agence Parisienne du Climat vous propose de découvrir un nouveau format d'atelier, conçu avec l'appui de la Ville de Paris et de l'agence Une Autre Ville, réalisé auprès des habitants et habitantes autour de leur ressenti et de leurs habitudes pendant les canicules.

Le principe général de l'atelier est de les questionner à travers une mise en situation, sur leurs comportements pendant une journée caniculaire, aussi bien chez eux qu'à l'extérieur, puis de discuter des solutions à mettre en place. Les réponses sont localisées sur trois espaces, faisant chacun l'objet d'une carte spécifique :
- L'espace public, soit le quartier ;
- L'espace privé commun, soit la résidence ;
- L'espace domestique, soit l'intérieur du logement.

Il a été pensé pour recréer la chaîne complète d'usages afin de mieux comprendre les stratégies que les habitantes et habitants adoptent pour faire face à la chaleur, dans l'optique de réaliser un diagnostic sensible fidèle à leur vécu et de préconiser des solutions adaptées, mais aussi pour les embarquer dans l'adaptation de leur environnement proche - du logement au quartier - à l'aggravation des canicules.

Entre diagnostic et encouragement du passage à l'action, il se veut modulable pour s'intégrer dans différents contextes et poursuivre différents objectifs.

Faire connaitre les ordres de grandeur et informer quant à la contribution climatique de son séjour c'est bien. Proposer des solutions pour permettre aux touristes d'accorder plaisir, écologie et durabilité c'est mieux. C'est pourquoi, l'Association pour la transition Bas Carbone et Haut de France Tourisme ont conçu Mon Séjour Durable. Ce calculateur veut, de manière simple et ludique, par le prisme de l'empreinte carbone, sensibiliser les touristes tout en visant à orienter leurs choix d'activités futures vers des alternatives durables, plus écologiques et socialement responsables. Pensé comme un guide local cherchant à rendre plus vertueux le séjour touristique, Mon Séjour Durable ambitionne de se décliner au sein de chaque collectivité souhaitant faire du tourisme durable un moteur de transformation. Activités décarbonées, gastronomie locale, hébergements responsables, nos régions foisonnent de possibilités pour concilier écologie et séjour réussi.

Le 8 octobre 2024, Enercoop AURA, A . Raymond et la Communauté de communes Coeur de Savoie inauguraient une centrale photovoltaïque flottante avec une nouvelle technologie de flotteurs conçue en Savoie par la société Helioslite.
Réduire l'impact de la centrale sur les milieux aquatiques, faciliter les opérations de construction et de maintenance, diminuer considérablement l'impact carbone de la centrale : tels sont les objectifs qui ont réuni un acteur de l'innovation dans le domaine du solaire, un industriel, un fournisseur d'énergie et une collectivité. Un bel exemple de collaboration d'acteurs. Ce projet est un démonstrateur pour la mise en oeuvre d'un nouveau produit répondant à des problématiques de matériau (aluminium au lieu de plastique), de transport (fabrication en partie sur site des flotteurs), de recyclage, d'impact sur le plan d'eau (moins occultant que les solutions existantes). L'objectif est de tester un projet de ce type et de voir s'il est opportun de massifier cette solution.
Durant cet atelier nous partagerons ce retour d'expérience et échangerons sur les conditions de réussite s'appuyant sur des partenariats multi-niveaux.

A la suite de l'évaluation à mi-parcours de son Plan Climat Air Energie Territorial (PCAET), Toulouse Métropole a renforcé son programme opérationnel avec plus de 120 actions. Pour poursuivre la dynamique engagée, la collectivité complète cet effort massif en renforçant la mobilisation des différents acteurs du territoire, et plus particulièrement les acteurs socioéconomiques, afin d'atteindre, les objectifs territoriaux de réduction des émissions de gaz à effet de serre à horizon 2030.
Début 2024, avec l'impulsion de son Plan de mobilisation des Companies - Pacte Climat 2030 - Toulouse Métropole a été lauréate de l'Appel à Manifestation d'Intérêt national « Acteurs Socioéconomiques Engagés dans la Transition écologique des Territoires » lancé par Efficacity et le CEREMA. A cet effet, depuis l'année 2024, la collectivité bénéficie d'un accompagnement de ces deux acteurs pour : élaborer un catalogue d'ingénierie et de services, à destination des acteurs socioéconomiques en faveur de la transition écologique, via une plateforme numérique regroupant un outil d'autodiagnostic et un accès aux ressources, aides et dispositifs de la collectivité, de ses satellites et partenaires ; maintenir la dynamique partenariale et le partage d'expériences entre pairs via des temps d'ateliers collectifs ; co-construire une charte des acteurs engagés Pacte Climat 2030.
L'atelier est conçu comme un retour d'expériences et un temps d'échange sur le dispositif déployé par Toulouse Métropole.

Présentation des différentes solutions pour la valorisation de la chaleur fatale chez Industriels.

La transition est un processus démocratique, territorialisé, de conduite de changement. Cartographier les parties prenantes, créer les conditions de leur engagement, accueillir et écouter leurs points de vue, analyser leur intérêt et leur difficulté à contribuer aux transformations à l'œuvre est une nécessité. Mais comment faire sans s'embourber dans des conflits indépassables ? Où sont les freins et les blocages structurels et comment les dépasser utilement ? L'atelier vise à partager un certain nombre de principes clés issus de l'expérience d'accompagnement de la Fabrique des transitions ainsi que des éléments de méthode utilisés pour y parvenir, et dans une dynamique interactive, cherchera à instruire quelques cas de figure rencontrés par les participants afin d'y réfléchir collectivement.

L'Agence Parisienne du Climat vous propose de découvrir un nouveau format d'atelier, conçu avec l'appui de la Ville de Paris et de l'agence Une Autre Ville, réalisé auprès des habitants et habitantes autour de leur ressenti et de leurs habitudes pendant les canicules.

Le principe général de l'atelier est de les questionner à travers une mise en situation, sur leurs comportements pendant une journée caniculaire, aussi bien chez eux qu'à l'extérieur, puis de discuter des solutions à mettre en place. Les réponses sont localisées sur trois espaces, faisant chacun l'objet d'une carte spécifique :
- L'espace public, soit le quartier ;
- L'espace privé commun, soit la résidence ;
- L'espace domestique, soit l'intérieur du logement.

Il a été pensé pour recréer la chaîne complète d'usages afin de mieux comprendre les stratégies que les habitantes et habitants adoptent pour faire face à la chaleur, dans l'optique de réaliser un diagnostic sensible fidèle à leur vécu et de préconiser des solutions adaptées, mais aussi pour les embarquer dans l'adaptation de leur environnement proche - du logement au quartier - à l'aggravation des canicules.

Entre diagnostic et encouragement du passage à l'action, il se veut modulable pour s'intégrer dans différents contextes et poursuivre différents objectifs.

Faire connaitre les ordres de grandeur et informer quant à la contribution climatique de son séjour c'est bien. Proposer des solutions pour permettre aux touristes d'accorder plaisir, écologie et durabilité c'est mieux. C'est pourquoi, l'Association pour la transition Bas Carbone et Haut de France Tourisme ont conçu Mon Séjour Durable. Ce calculateur veut, de manière simple et ludique, par le prisme de l'empreinte carbone, sensibiliser les touristes tout en visant à orienter leurs choix d'activités futures vers des alternatives durables, plus écologiques et socialement responsables. Pensé comme un guide local cherchant à rendre plus vertueux le séjour touristique, Mon Séjour Durable ambitionne de se décliner au sein de chaque collectivité souhaitant faire du tourisme durable un moteur de transformation. Activités décarbonées, gastronomie locale, hébergements responsables, nos régions foisonnent de possibilités pour concilier écologie et séjour réussi.

Le 8 octobre 2024, Enercoop AURA, A . Raymond et la Communauté de communes Coeur de Savoie inauguraient une centrale photovoltaïque flottante avec une nouvelle technologie de flotteurs conçue en Savoie par la société Helioslite.
Réduire l'impact de la centrale sur les milieux aquatiques, faciliter les opérations de construction et de maintenance, diminuer considérablement l'impact carbone de la centrale : tels sont les objectifs qui ont réuni un acteur de l'innovation dans le domaine du solaire, un industriel, un fournisseur d'énergie et une collectivité. Un bel exemple de collaboration d'acteurs. Ce projet est un démonstrateur pour la mise en oeuvre d'un nouveau produit répondant à des problématiques de matériau (aluminium au lieu de plastique), de transport (fabrication en partie sur site des flotteurs), de recyclage, d'impact sur le plan d'eau (moins occultant que les solutions existantes). L'objectif est de tester un projet de ce type et de voir s'il est opportun de massifier cette solution.
Durant cet atelier nous partagerons ce retour d'expérience et échangerons sur les conditions de réussite s'appuyant sur des partenariats multi-niveaux.

Les projets de la transition énergétique sont régulièrement source de conflits. Une tension se crée souvent entre un développeur, et les acteurs du territoire d'accueil du projet.

Une concertation, obligation légale, est mise en place pour permettre aux habitants de s'exprimer. Mais dans quel mesure engage-t-il un veritable dialogue entre les parties?

La médiation, avec ses outils de gestion de conflit, propose le recours à un tiers formé, extérieur au conflit (ou au conflit potentiel). Le médiateur permettra d'engager un dialogue, de chercher les causes, identifier des besoins et des intérêts et dessiner un chemin qui permette de dépasser les blocages, en renouant le dialogue.

La médiation n'est pas une baguette magique qui permettra d'aligner les habitants sur un projet prédéfini, mais moyennant un effort de flexibilité de chacun des parties, elle peut fortement réduire la conflictualité des projets.

Cet atelier sera un moment d'échanges entre médiateurs spécialisé dans l'environnement et les porteurs de projets. Les buts de l'échange sont accueillir un partage d'expériences des porteurs de projets et des collectivités autour des méthodes de gestion de conflit, et d'éclaircir ce qu'apporte la médiation. Nous identifierons ensemble les besoins pour mieux avancer vers la résolution des conflits des projets de la transition énergétique. Venez avec des exemples concrèts de bloquages que nous pourrions examiner ensemble avec l’oeil médiateur!

L'objectif de l'atelier est de partager avec les participants la stratégie énergétique, environnementale, agricole, alimentaire et sociale mise en place autour du biochar dans le cadre du projet de maraîchage urbain l'Ill des Terres Nouvelles en construction à Strasbourg, d'interagir sur d'autres expériences menées autour du biochar et d'évaluer ensemble les possibilités de dupliquer le modèle dans d'autres villes. Partie 1 : Le contexte original du projet Ill des Terres Nouvelles qui mixe production de légumes bio, production de biochar, valorisation en local des biodéchets du quartier et actions pédagogiques au coeur du quartier * La puissance de la solution biochar pour les sols, le climat et l'énergie * L'innovation technique : essais en cours / résultats attendus | Partie 2 : Echange sur les perspectives du modèle * Conditions de succès * Opportunités de déclinaison du modèle * Echange d'expérience sur des initiatives similaires

Face à l’impératif de décarbonation du système énergétique, la flexibilité électrique devient un levier essentiel pour l’équilibre offre-demande, notamment à l’échelle territoriale. Dans ce contexte, la marque collective Flex Ready®, portée par l’association Think Smartgrids, propose une réponse concrète aux obstacles techniques et organisationnels freinant le déploiement de la flexibilité dans les bâtiments tertiaires.
L’atelier présentera cette initiative innovante, qui vise à standardiser les échanges entre bâtiments, opérateurs énergétiques et acteurs de la flexibilité, tout en valorisant les retours d’expérience issus des premières expérimentations dans les territoires.
Objectifs de l’atelier :
- Présenter la marque Flex Ready®, ses principes, sa gouvernance, et son utilité pour les territoires ;
- Mettre en lumière des projets de flexibilité existants, portés par des acteurs publics et privés;
- Identifier les freins et leviers au déploiement de la flexibilité, via des ateliers participatifs ;
- Partager les dispositifs d’accompagnement techniques et financiers disponibles pour les collectivités, en particulier les plus rurales ou moins dotées.

A la suite de l'évaluation à mi-parcours de son Plan Climat Air Energie Territorial (PCAET), Toulouse Métropole a renforcé son programme opérationnel avec plus de 120 actions. Pour poursuivre la dynamique engagée, la collectivité complète cet effort massif en renforçant la mobilisation des différents acteurs du territoire, et plus particulièrement les acteurs socioéconomiques, afin d'atteindre, les objectifs territoriaux de réduction des émissions de gaz à effet de serre à horizon 2030.
Début 2024, avec l'impulsion de son Plan de mobilisation des Companies - Pacte Climat 2030 - Toulouse Métropole a été lauréate de l'Appel à Manifestation d'Intérêt national « Acteurs Socioéconomiques Engagés dans la Transition écologique des Territoires » lancé par Efficacity et le CEREMA. A cet effet, depuis l'année 2024, la collectivité bénéficie d'un accompagnement de ces deux acteurs pour : élaborer un catalogue d'ingénierie et de services, à destination des acteurs socioéconomiques en faveur de la transition écologique, via une plateforme numérique regroupant un outil d'autodiagnostic et un accès aux ressources, aides et dispositifs de la collectivité, de ses satellites et partenaires ; maintenir la dynamique partenariale et le partage d'expériences entre pairs via des temps d'ateliers collectifs ; co-construire une charte des acteurs engagés Pacte Climat 2030.
L'atelier est conçu comme un retour d'expériences et un temps d'échange sur le dispositif déployé par Toulouse Métropole.

Pour des tailles industrielles, le développement de projet d'EnR n'est pas une mince affaire ! D'abord ce jeu fait découvrir le développement EnR en simulant un portage de projet. Surtout, ce jeu fait prendre conscience des arbitrages à faire entre la réduction du risque, la conservation de la maîtrise de la gouvernance et la maximisation des retombées économiques. En ludifiant cette complexité, les participants sont amenés à prendre collectivement les décisions pour faire aboutir leur projet. Ce jeu palpitant permet aussi de comprendre les stratégies de co-développement avec des opérateurs privés.

L'objectif de l'Atelier « Serious Game » est de permettre aux participants, grâce à une approche ludique et un débat collectif autour de questions définies, de : . comprendre les enjeux de l'alimentation, . identifier des pistes de solution, . s'engager sur de nouvelles pratiques. La première partie du Serious Game sera consacrée à un Etat des lieux, à travers un quizz portant, notamment, sur les idées reçues : . Alimentation au coeur de multiples enjeux . Alimentation et santé : quid de l'équilibre alimentaire, impact de la viande / santé - Alimentation et climat, impact de la viande / climat - quelques données du bilan carbone de l'alimentation . Propositions de solutions PNSS (programme national nutrition santé). La seconde partie du Serious Game sera consacrée à la composition d'une une assiette respectueuse de la santé, de l'environnement et de son budget. Des aliments et un jeu de cartes seront mis à disposition des participants. La dernière partie de l'Atelier aura pour objet de dégager collectivement, sur une fresque commune, 2 ou 3 engagements majeurs que chacun aura à coeur de mettre en pratique pour soi-même ou de porter autour de lui.

Beaucoup de collectivités ont décidé d’agir de manière opérationnelle sur des projets d’énergie renouvelable en créant des opérateurs d’économie mixte : les SEM. En parallèle, de nombreux collectifs de citoyens se sont constitués pour développer des projets d’énergies renouvelables.
Ces deux mouvements animés par les mêmes motivations de développement des énergies renouvelables et de réappropriation des questions énergétiques par les acteurs territoriaux ont toutes les raisons de se retrouver. Une telle coopération peut être la base de projet ambitieux porté par les acteurs du territoire.
Il n’est pourtant pas rare que ces deux mondes évoluent en parallèle sans se rencontrer, parfois par crainte du caractère institutionnel de l’un ou au contraire du fonctionnement en dehors des institutions de l’autre. En s’appuyant sur des exemples concrets et des témoignages, l’atelier propose des pistes pour construire la confiance entre SEM et citoyens afin de coopérer au bénéfice des territoires.

Le PLAN NATIONAL INTEGRE ENERGIE - CLIMAT mise à jour en juin 2024 prévoit une production de 10 TWh solaire à l'horizon 2035 contre 1,3 en 2021. Cet objectif revient à avoir une augmentation annuelle de la surface installée d'environ 23%. Si cet objectif reste réaliste, il n'en est pas moins très ambitieux. Pour atteindre cet objectif un plan d'action national solaire thermique a été élaboré. Venez nous aider à confronter ce plan à vos réalités de terrain et élaborer une stratégie de mise en oeuvre encore plus efficace et opérationnelle.

La massification de la rénovation nécessite de trouver les capitaux nécessaires pour les travaux, avec un retour sur investissement sur le long terme grâce aux économies d'énergie. Or, l'énergie citoyenne le prouve : on peut mobiliser l'épargne citoyenne locale pour accélérer la transition énergétique. Pour explorer ensemble cette opportunité de financer plus de rénovations, associez-vous pour concrétiser un projet porté par les citoyens autour de 4 cas-types (bâtiments publics, logements, Espace d'activités...) On balayera sur chaque table les enjeux suivants avec une méthode de gro Débat : Modèle économique, contractualisation et assurabilité, Garantie de performance, Organisation du jeu d'acteurs.

Pourquoi la consommation énergétique du secteur résidentiel ne diminue-t-elle pas, malgré des systèmes de chauffage plus efficaces, des bâtiments neufs plus performants et d'importants efforts de rénovation ? Un facteur souvent négligé est l'augmentation de la surface moyenne habitée par personne en Europe. Des phénomènes comme le vieillissement de la population, la décohabitation et la multiplication des logements vacants et des résidences secondaires alimentent cette tendance. Pourtant, des politiques efficaces pour y remédier font encore défaut. Cet atelier invite à explorer les solutions locales déjà mises en place par certaines collectivités françaises et allemandes pour optimiser l'usage du parc immobilier. Bourses locales d'échange de logements, prime à l'achat de logements anciens, taxe sur les logements vacants, architecture innovante, reconfiguration des logements... Ces démarches créent des co-bénéfices importants, en permettant par exemple la création de logements abordables sans nouvelle consommation des sols. Néanmoins, elles restent isolées et se heurtent à de nombreux obstacles. Comment leur impact pourrait-il être amplifié ? Organisé par le Forum pour l'avenir franco-allemand, cet atelier sera introduit par l'architecte allemand Arne Steffen qui travaille sur la sobriété immobilière en Allemagne.

Les territoires européens sont confrontés à des défis majeurs en matière de transition énergétique et de report modal, conformément aux objectifs du Pacte vert pour l'Europe et de la loi Climat et résilience. Les ports, en particulier, peuvent jouer un rôle crucial dans la réalisation de ces objectifs. Le Port autonome de Strasbourg (PAS) s'engage à soutenir le territoire dans cette démarche. Imaginez le port du futur, un acteur clé dans la multimodalité, la production et la distribution d'un mix énergétique décarboné, au service du report modal et de l'écosystème territorial, incluant le tissu industriel et les fonctionnalités urbaines. Face aux enjeux du changement climatique, aux obligations de report modal et aux défis liés au mix énergétique, nous proposons de coconstruire des solutions adaptées. Ces solutions combineront des réponses pour le report modal de « dernier kilomètre », de moyenne et de longue distance. En plus de contribuer à des économies d'énergie grâce à une augmentation du report modal, l'espace portuaire pourra également accueillir une nouvelle offre énergétique diversifiée.

Les projets de la transition énergétique sont régulièrement source de conflits. Une tension se crée souvent entre un développeur, et les acteurs du territoire d'accueil du projet.

Une concertation, obligation légale, est mise en place pour permettre aux habitants de s'exprimer. Mais dans quel mesure engage-t-il un veritable dialogue entre les parties?

La médiation, avec ses outils de gestion de conflit, propose le recours à un tiers formé, extérieur au conflit (ou au conflit potentiel). Le médiateur permettra d'engager un dialogue, de chercher les causes, identifier des besoins et des intérêts et dessiner un chemin qui permette de dépasser les blocages, en renouant le dialogue.

La médiation n'est pas une baguette magique qui permettra d'aligner les habitants sur un projet prédéfini, mais moyennant un effort de flexibilité de chacun des parties, elle peut fortement réduire la conflictualité des projets.

Cet atelier sera un moment d'échanges entre médiateurs spécialisé dans l'environnement et les porteurs de projets. Les buts de l'échange sont accueillir un partage d'expériences des porteurs de projets et des collectivités autour des méthodes de gestion de conflit, et d'éclaircir ce qu'apporte la médiation. Nous identifierons ensemble les besoins pour mieux avancer vers la résolution des conflits des projets de la transition énergétique. Venez avec des exemples concrèts de bloquages que nous pourrions examiner ensemble avec l’oeil médiateur!

L'objectif de l'atelier est de partager avec les participants la stratégie énergétique, environnementale, agricole, alimentaire et sociale mise en place autour du biochar dans le cadre du projet de maraîchage urbain l'Ill des Terres Nouvelles en construction à Strasbourg, d'interagir sur d'autres expériences menées autour du biochar et d'évaluer ensemble les possibilités de dupliquer le modèle dans d'autres villes. Partie 1 : Le contexte original du projet Ill des Terres Nouvelles qui mixe production de légumes bio, production de biochar, valorisation en local des biodéchets du quartier et actions pédagogiques au coeur du quartier * La puissance de la solution biochar pour les sols, le climat et l'énergie * L'innovation technique : essais en cours / résultats attendus | Partie 2 : Echange sur les perspectives du modèle * Conditions de succès * Opportunités de déclinaison du modèle * Echange d'expérience sur des initiatives similaires

L'Agence Parisienne du Climat vous propose de découvrir un nouveau format d'atelier, conçu avec l'appui de la Ville de Paris et de l'agence Une Autre Ville, réalisé auprès des habitants et habitantes autour de leur ressenti et de leurs habitudes pendant les canicules.

Le principe général de l'atelier est de les questionner à travers une mise en situation, sur leurs comportements pendant une journée caniculaire, aussi bien chez eux qu'à l'extérieur, puis de discuter des solutions à mettre en place. Les réponses sont localisées sur trois espaces, faisant chacun l'objet d'une carte spécifique :
- L'espace public, soit le quartier ;
- L'espace privé commun, soit la résidence ;
- L'espace domestique, soit l'intérieur du logement.

Il a été pensé pour recréer la chaîne complète d'usages afin de mieux comprendre les stratégies que les habitantes et habitants adoptent pour faire face à la chaleur, dans l'optique de réaliser un diagnostic sensible fidèle à leur vécu et de préconiser des solutions adaptées, mais aussi pour les embarquer dans l'adaptation de leur environnement proche - du logement au quartier - à l'aggravation des canicules.

Entre diagnostic et encouragement du passage à l'action, il se veut modulable pour s'intégrer dans différents contextes et poursuivre différents objectifs.

Faire connaitre les ordres de grandeur et informer quant à la contribution climatique de son séjour c'est bien. Proposer des solutions pour permettre aux touristes d'accorder plaisir, écologie et durabilité c'est mieux. C'est pourquoi, l'Association pour la transition Bas Carbone et Haut de France Tourisme ont conçu Mon Séjour Durable. Ce calculateur veut, de manière simple et ludique, par le prisme de l'empreinte carbone, sensibiliser les touristes tout en visant à orienter leurs choix d'activités futures vers des alternatives durables, plus écologiques et socialement responsables. Pensé comme un guide local cherchant à rendre plus vertueux le séjour touristique, Mon Séjour Durable ambitionne de se décliner au sein de chaque collectivité souhaitant faire du tourisme durable un moteur de transformation. Activités décarbonées, gastronomie locale, hébergements responsables, nos régions foisonnent de possibilités pour concilier écologie et séjour réussi.

Le 8 octobre 2024, Enercoop AURA, A . Raymond et la Communauté de communes Coeur de Savoie inauguraient une centrale photovoltaïque flottante avec une nouvelle technologie de flotteurs conçue en Savoie par la société Helioslite.
Réduire l'impact de la centrale sur les milieux aquatiques, faciliter les opérations de construction et de maintenance, diminuer considérablement l'impact carbone de la centrale : tels sont les objectifs qui ont réuni un acteur de l'innovation dans le domaine du solaire, un industriel, un fournisseur d'énergie et une collectivité. Un bel exemple de collaboration d'acteurs. Ce projet est un démonstrateur pour la mise en oeuvre d'un nouveau produit répondant à des problématiques de matériau (aluminium au lieu de plastique), de transport (fabrication en partie sur site des flotteurs), de recyclage, d'impact sur le plan d'eau (moins occultant que les solutions existantes). L'objectif est de tester un projet de ce type et de voir s'il est opportun de massifier cette solution.
Durant cet atelier nous partagerons ce retour d'expérience et échangerons sur les conditions de réussite s'appuyant sur des partenariats multi-niveaux.

La transition est un processus démocratique, territorialisé, de conduite de changement. Cartographier les parties prenantes, créer les conditions de leur engagement, accueillir et écouter leurs points de vue, analyser leur intérêt et leur difficulté à contribuer aux transformations à l'œuvre est une nécessité. Mais comment faire sans s'embourber dans des conflits indépassables ? Où sont les freins et les blocages structurels et comment les dépasser utilement ? L'atelier vise à partager un certain nombre de principes clés issus de l'expérience d'accompagnement de la Fabrique des transitions ainsi que des éléments de méthode utilisés pour y parvenir, et dans une dynamique interactive, cherchera à instruire quelques cas de figure rencontrés par les participants afin d'y réfléchir collectivement.

Face à l’impératif de décarbonation du système énergétique, la flexibilité électrique devient un levier essentiel pour l’équilibre offre-demande, notamment à l’échelle territoriale. Dans ce contexte, la marque collective Flex Ready®, portée par l’association Think Smartgrids, propose une réponse concrète aux obstacles techniques et organisationnels freinant le déploiement de la flexibilité dans les bâtiments tertiaires.
L’atelier présentera cette initiative innovante, qui vise à standardiser les échanges entre bâtiments, opérateurs énergétiques et acteurs de la flexibilité, tout en valorisant les retours d’expérience issus des premières expérimentations dans les territoires.
Objectifs de l’atelier :
- Présenter la marque Flex Ready®, ses principes, sa gouvernance, et son utilité pour les territoires ;
- Mettre en lumière des projets de flexibilité existants, portés par des acteurs publics et privés;
- Identifier les freins et leviers au déploiement de la flexibilité, via des ateliers participatifs ;
- Partager les dispositifs d’accompagnement techniques et financiers disponibles pour les collectivités, en particulier les plus rurales ou moins dotées.

A la suite de l'évaluation à mi-parcours de son Plan Climat Air Energie Territorial (PCAET), Toulouse Métropole a renforcé son programme opérationnel avec plus de 120 actions. Pour poursuivre la dynamique engagée, la collectivité complète cet effort massif en renforçant la mobilisation des différents acteurs du territoire, et plus particulièrement les acteurs socioéconomiques, afin d'atteindre, les objectifs territoriaux de réduction des émissions de gaz à effet de serre à horizon 2030.
Début 2024, avec l'impulsion de son Plan de mobilisation des Companies - Pacte Climat 2030 - Toulouse Métropole a été lauréate de l'Appel à Manifestation d'Intérêt national « Acteurs Socioéconomiques Engagés dans la Transition écologique des Territoires » lancé par Efficacity et le CEREMA. A cet effet, depuis l'année 2024, la collectivité bénéficie d'un accompagnement de ces deux acteurs pour : élaborer un catalogue d'ingénierie et de services, à destination des acteurs socioéconomiques en faveur de la transition écologique, via une plateforme numérique regroupant un outil d'autodiagnostic et un accès aux ressources, aides et dispositifs de la collectivité, de ses satellites et partenaires ; maintenir la dynamique partenariale et le partage d'expériences entre pairs via des temps d'ateliers collectifs ; co-construire une charte des acteurs engagés Pacte Climat 2030.
L'atelier est conçu comme un retour d'expériences et un temps d'échange sur le dispositif déployé par Toulouse Métropole.

Le développement des Low-tech dans une région donnée est avant tout une question de partage des connaissances. Nous verrons comment deux régions aux contextes culturels différents ont développé des communautés de pratique dans ce domaine. À Bistrita, en Roumanie, des communautés locales apprennent et réparent collectivement des bâtiments historiques abandonnés, en utilisant des techniques et des outils simples que chacun peut s'approprier. Cette initiative est menée dans le cadre du projet Bistrita-N?s?ud Ambulance for Monuments, hébergé par Petrus Italus Trust (PIT)-Bistri?a Heritage Organization. PIT a été créé en 2021 pour ramener le patrimoine architectural au centre des communautés... À Lorient, une communauté low-tech s'organise et met en place un programme pour développer la Low-tech. Cette communauté, qui a tout juste un an d'existence, a organisé en juin 2024 un Low-tech tour, une randonnée à vélo, ouverte à tous, d'une semaine à la rencontre des solutions low-tech disponibles dans le pays de Lorient. Ces deux régions font partie du projet Interreg Europe FEEL, qui se concentre sur les questions de low-tech et la sobriété.

Puisque la neutralité carbone du territoire à horizon 2050 ne pourra être atteinte sans la mobilisation de tout le territoire, nous nous positionnons en facilitateur de la transition de chaque typologie d'acteurs via une boite à outils opérationnels et sur-mesure. Nous les présenterons succinctement et vous inviterons à choisir parmi les suivants, 2 accompagnements à approfondir : - Agents territoriaux interne (animations, formations et accompagnements) - Communes du territoire (animation d'un réseau entre référents transition écologique) - Habitants (Maison Écocitoyenne et Juniors du Développement Durable) - Companies (accompagnement sur-mesure multithématique et évolutif) En parallèle, d'autres démarches transversales permettent d'embarquer différents types d'interlocuteurs. Nous vous proposons une nouvelle fois de choisir 2 démarches multi-cibles parmi ces propositions : - Projet ABCD - Acting By Collaborating Differently : Co-portage avec l'Université pour passer de la prise de conscience des défis climatiques à la mobilisation collective par la mise en oeuvre de projets innovants - Alliance de Bordeaux pour l'énergie solaire - Démarche stratégie partenariale du plan climat : questionnement de notre approche aux partenaires du territoire pour mieux répondre à leurs besoins à travers une démarche coconstruite Nous répondrons ensuite aux questions posées pendant l'atelier. Cet atelier se veut dynamique, les participants décideront in situ des thèmes abordés.

Souvent anciens, énergivores et peu adaptés au changement climatique ou aux chaleurs de plus en plus précoces de l'été, les 53000 bâtiments scolaires à travers la France génèrent souvent de l'inconfort pour les enseignants et les élèves qui les fréquentent au quotidien. Leur rénovation énergétique constitue donc un enjeu majeur pour les collectivités locales en terme financier et répond non seulement aux attentes des citoyens mais aussi aux exigences réglementaires en matière de transformation écologique. C'est pour répondre à ce défi qu'a été lancé le Plan rénovation écologique des écoles. Dans ce cadre, la Banque des Territoires a lancé le programme EDURENOV, pour accompagner la rénovation de 10 000 écoles d'ici à 2027. Cet atelier plus particulièrement destinés aux collectivités, élus & services, vous permettra de comprendre et découvrir concrètement à travers des retours d'expérience les parcours en ingénierie technique et financière à disposition pour faire avancer un projet de rénovation d'école - L'accompagnement par les Agences locales de l'énergie et du Climat, - Le programme et les solutions EDURENOV de la Banque des Territoires - Le financement par le programme ACTEE

Avec la loi APER, les communes et collectivités territoriales prennent un rôle prépondérant dans le déploiement des énergies renouvelables. Et les enjeux sont nombreux : quelle surface choisir ? comment embarquer sa population ? comment protéger la biodiversité tout en impulsant une transition énergétique nécessaire ? Autant de questions auxquelles les associations de protection de la nature peuvent aider à répondre, de part une connaissance fine du territoire. Forte de ses 6 200 associations adhérentes et ses fédérations régionales, France Nature Environnement s'est mobilisée avec collectivités autour de projets spécifiques. Nous proposerons un série de témoignages d'un travail commun entre associations environnementales et collectivités, qui illustreront cette dynamique vertueuse afin de pouvoir en essaimer d'autres dans les territoires.

Le biogaz est un gaz renouvelable produit localement à partir de résidus agricoles, d’effluents d’élevage et de déchets issus des territoires. Après épuration, il atteint le même niveau de qualité que le gaz naturel et peut donc être injecté dans les réseaux. On l’appelle alors biométhane ou gaz renouvelable. Son bilan carbone est quasi neutre (41,6 g CO2eq /kWh, soit six fois moins que le gaz naturel). Tout comme le gaz naturel, il sert à chauffer, cuisiner ou comme carburant (BioGNV).
Lors de cet atelier, découvrez comment la méthanisation peut aider un territoire à
- développer une économie circulaire
- pérenniser économiquement une agriculture durable au travers de la diversification des revenus des agriculteurs / valorisation des exploitations ;
- créer des emplois non-délocalisables directs et indirects

https://justdecarb.grdf.fr/biomethane-un-gaz-renouvelable-incontournable-au-mix-energetique-francais

Le portail français des énergies renouvelables est un outil opéré par l'IGN et le Cerema pour le compte du ministère de l'énergie. Support de la politique nationale de planification territoriale et de l'accélération des énergies renouvelables, il apporte aux collectivités locales un service cartographique intégré leur permettant de construire leur stratégie de développement des EnR sur leur territoire. Le portail français des EnR est un service cartographique web qui donne accès à plus de 70 couches de données différentes permettant de construire des zones d'accélération des EnR: données énergétiques en premier lieu : sur les gisements locaux d'EnR, toutes filières, comme le potentiel solaire photovoltaïque et thermique en toiture, au sol, sur ombrières de parkings, sur friches, sur les délaissés routiers et autoroutiers, ainsi que les zones favorables à l'éolien terrestres et les zones de développement potentiel des réseaux de chaleur et de froid. Sont aussi mises à disposition les données sur l'occupation du sol, sur les protections réglementaires sur la biodiversité, le paysage, le patrimoine, etc. Deux ans après la mise en ligne du portail, l'atelier fera le bilan des apports d'une telle plateforme à la stratégie d'accélération des EnR et proposera une mise en perspective, notamment au regard de la directive RED III.

Venez échanger avec le CNFPT autour des nouvelles offres de formations et de vos opportunités professionnelles

"Comment produire l'hydrogène ? Comment le transporter ? A quoi peut-il servir ? La filière hydrogène se développe et, avec elle, les métiers de l'industrie et du bâtiment se transforment au service de la transition énergétique,
organisé par l'Afpa."

- Focus sur la mobilité comme facteur clé de la transition énergétique et de l’inclusion sociale via le baromètre des Mobilités du Quotidien & projet Terr’Moov
Intervenants - Sébastien Bailleul (WIMOOV) et Thibaut Guerin (WIMOOV)

- Un outil cartographique pour mieux cibler les zones prioritaires d’intervention.
Intervenants : Emmanuel Goetz (RARE)

- Outil d’intervention mobile pour lutter contre l’inconfort thermique et accompagner les ménages vers la rénovation.
Intervenants, Martin Dassieu (ANCB) et Julie Grzyb (responsable Grand-Est)

- Déploiement d’une boîte à outils de lutte contre la Précarité Énergétique et animation d’un écosystème d’acteurs diversifiés
Intervenants - Nathalie Gaillard (Conseil départemental de la Mayenne) et Martin Carre (SOLIHA Mayenne)

Création d’un réseau de chaleur de récupération de chaleur fatale industrielle émise par les Badische Stahlwerke (BSW) afin d’alimenter le réseau de chaleur existant entre Strasbourg (F) et Kehl (D).
Projet en interconnexion entre la France et l’Allemagne porté par la Calorie Kehl-Strasbourg, SEM transfrontalière.

Intervenants (à confirmer) : Sabine Schimetschek, Directrice générale SEM CALORIE Kehl – Strasbourg + ville de Kehl

Perspectives post 2027 - Table ronde sur la nécessité de maintenir des financements directs conséquents des organismes HLM, gérés localement pour maintenir des loyers accessibles au plus modestes. Les intervenants confirmés ;

Intervenant : Unions régionales HLM du Grand Est

Le projet Interreg VI Rhin Supérieur Atmo-Rhena PLUS propose un observatoire air-climat-énergie de la zone (suivi d’indicateurs transfrontaliers) et une aide à la décision.
Lors de cet atelier SOLUTION, des partenaires français, allemands voire suisses témoigneront sous la forme d’une table ronde de ces travaux complexes : comment aboutir à une stratégie d’émulation et fusionner des données inhomogènes au service d’une vision transfrontalière ?

Le Rhin supérieur est une région transfrontalière à cheval sur la France, l’Allemagne et la Suisse. Physiquement il s’agit d’un bassin de population, de travail et industriel, traversé du Sud au Nord par le Rhin. La zone dispose d’importants potentiels énergétiques : géothermie profonde, méthanisation ou éolien, qui souffrent parfois de problèmes d’acceptabilité dans les trois pays. Il s’agit de concilier avec les régimes et usages partagés du fleuve Rhin dont l’hydraulique, installations solaires citoyennes transfrontalières, réseaux de chaleur traversant le Rhin etc. Ces potentiels transfrontaliers s’ajoutent aux potentiels nationaux. Afin de mettre en œuvre des projets, tout en mutualisant les moyens et en les catalysant à la faveur de financements européens, la Région Métropolitaine Trinationale du Rhin Supérieur a créé avec la Conférence du Rhin Supérieur une « Stratégie Climat Énergie » qui dresse une liste de projets de synergie dans le respect des stratégies énergétiques nationales.

Intervenant : Till Berger, Président du Groupe Énergie Climat de la Conférence du Rhin Supérieur

Comment les entreprises et modèles de gouvernance démocratiques de l’Économie sociale et solidaire contribuent-ils à une transition énergétique et citoyenne ? L’exemple des communautés énergétiques en France et en Europe.

Depuis le début de l’année 2024, la MOT mène en partenariat avec l’Eurométropole de Strasbourg, l’Eurodistrict Strasbourg-Ortenau et la Banque des territoires une étude sur la planification énergétique à l’échelle transfrontalière. Cette dernière a pour but de poser un cadre de compréhension des politiques de planification énergétiques menées sur le territoire du bassin de vie transfrontalier Strasbourg-Ortenau, mais aussi d’identifier des enjeux partagés et opportunités de coopération transfrontalière en matière d’énergie sur ce dernier.
Un atelier d’une heure au sein de la programmation dédiée au transfrontalier lors des AETE serait l’occasion pour la MOT de valoriser les résultats de ce travail, et notamment
• De présenter les cadres de la planification énergétique au sein du bassin de vie transfrontalier Strasbourg-Ortenau, dans un contexte binational
• De partager des exemples de projets inspirants de coopération transfrontalière en matière d’énergie issus d’autres frontières, et d’échanger avec les participants sur leur propre expérience en la matière.
• D’échanger avec les participants sur les enjeux et opportunités de coopération qui ont été identifiés lors de l’étude, et notamment sur les potentiels obstacles à cette coopération.

Rejoignez-nous pour une Pause ludique franco-allemande ! Autour d’un jeu, des spécialistes travaillant pour des villes françaises et allemandes échangeront sur l’occupation des sols, les défis de la limitation de l’artificialisation et les stratégies mises en place de part et d’autre du Rhin. Une occasion unique de discuter de manière conviviale et interactive des solutions face aux enjeux fonciers, en prolongeant les réflexions initiées lors de la session : « Politique foncière : Regards croisés franco-allemands entre contraintes et volontarisme

Confrontés aux conditions extrêmes du désert, Corentin et Caroline vont devoir s’abriter et se vêtir. Dans cette dernière étape, nos ingénieurs s'attaquent à la construction de leur cocon low-tech transportable, en utilisant exclusivement des biomatériaux. Ils seront guidés par une experte en upcycling afin de confectionner leurs vêtements du futur.

Nous vous proposons une visite organisée par l'association franco-germano-suisse TRION-Climate. Après la plénière de clôture, vous serez invité(e)s à rester déjeuner au Parlement européen et bénéficierez d'une visite du circuit visiteur. À 14h30, un bus viendra vous récupérer pour partir à la découverte du site géothermique de Bruchsal.

Découvrez la centrale géothermique de Bruchsal, première du Bade-Wurtemberg. L’eau chaude profonde alimente un processus spécial de centrale électrique qui produit de l'électricité et de la chaleur. Cette installation, exploitée par EnBW et la Stadtwerke Bruchsal, associe exploitation géothermique et extraction de lithium respectueuse de l’environnement. Grâce à une concentration pouvant atteindre 210 mg par litre d’eau géothermale, le fossé rhénan offre un fort potentiel pour une production de lithium sans recours aux combustibles fossiles.